Mers et Bateaux

Vocabulaire marin, de la voile et des bateaux

dessin de voilier

Mers&Bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. Retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance.

Connaitre le vocabulaire marin est indispensable. Bien plus qu’une culture maritime, les mots et expressions, dans le nautisme, permettre de se faire comprendre à bord d’un bateau. Le vocabulaire marin est un gage de sécurité.

Le lexique du vocabulaire marin

  • à contre : placer une voile ou la barre, dans le sens opposé de la marche normale.
  • abattée : se dit quand le bateau abat.
  • abattre : le fait d’éloigner le bateau du lit du vent. Le contraire de lofer.
  • Abordage : collision volontaire ou non entre deux bateaux.
  • Accastillage : L’équipement de pont, du bateau servant aux manoeuvres.
  • adonner : se dit du vent, quand celui ci à tendance à aller de l’avant vers l’arrière du bateau. Le vent adonne lorsqu’il devient plus favorable, par rapport à la route du voilier. Le contraire est refuser.
  • AIS : Système anti-collision permettant d’identifier les navires et donnant leur position, cap et vitesse.
  • aulofée : mouvement (spontané) d’un bateau qui lofe.
  • affaler : descendre une voile.
  • allure : angle de route du bateau, par rapport au vent.
  • amarres : bouts permettant d’amarrer un bateau au quai, ou à une bouée de mouillage.
  • amener : descendre une voile, voir un pavillon.
  • amer : Point remarquable, sur la côte permettant de calculer sa position.
  • amure : côté du bateau par lequel il reçoit le vent. On dit « bâbord amures », quand le vent vient de bâbord ; et « tribord amures », quand le vent vient de tribord.
  • ancre : équipement permettant d’immobiliser un bateau, en la mouillant au fond.
  • ardent : se dit d’un bateau qui a tendance, naturellement, ou pas, à se rapprocher du lit du vent.
  • ariser : Prendre un ris, ou plusieurs, dans une voile afin d’en réduire la surface.
  • artimon : L’artimon, est le mat le plus petit, et le plus en arrière, sur un Ketch, un bateau à deux mâts. La voile enverguée dessus porte le même nom.
  • au vent  : côté du bateau se trouvant du côté du lit du vent, face au vent.
  • bâbord : côté gauche du bateau quand on regarde vers l’avant. Bâbord et le côté opposé de tribord
  • bâbord amures : Quand le vent vient du côté bâbord du bateau.
  • balancine : cordage (bou) partant du haut d’un mât permettant de tenir la bôme à son extrémité.
  • barber hauler : système composé d’une poulie, dont l’objectif est d’éloigner une commande de l’axe du bateau. Souvent une écoute ou bras de spi.
  • barre : manche, roue, relié au safran. Permet au skipper de diriger le bateau.
  • barrer : conduire, diriger le bateau.
  • barre d’écoute de grand voile : Rail situé dans le cockpit ou sur le roof, sur lequel se déplace le palan de l’écoute de grand-voile.
  • barre de flèche : Pièce située sur le mât et écartant les haubans.
  • bastaque : élément du gréement dormant d’un voilier. Ils ont deux et retiennent le mât sur l’arrière. La bastaque au vent est bordée, celle sous le vent est choquée.
  • bastingage : protection, le long du pont.
  • bau : plus grande largeur du bateau.
  • bôme : espar horizontal articulé dans l’axe permettant de gréer la grand voile.
  • border : se dit de l’action de tirer une écoute, une drisse.
  • bordure : Côté inférieur d’une voile.
  • bosse : petit cordage permettant de ferler une voile. Bosse d’enrouleur, bosse de ris.
  • bout  : nom donné aux cordages d’un bateau.

les-allures-en voiliers

  • cadène : la cadène permet de tenir les haubans, tenant le mat. Elle est tenue sur le pont du bateau ou la coque.
  • cape : Technique permettant de limiter les effets du gros temps. C’est une allure d’attente, qui laisse le bateau dériver. Utile pour reposer l’équuipage ou récupérer un homme à la mer.
  • Chariot de grand voile : Chariot qui coulisse sur la barre d’écoute et sur lequel est fixé le palan d’écoute de grand-voile.
  • chaumard : pièce d’accastillage , fixée sur l’étrave, où l’on passe les amarres.
  • choquer : l’action de relâcher ou détendre une écoute ou une drisse.
  • chandeliers : tiges rigides verticales permettant de passer les filières de sécurité le long du bateau.
  • Chute : Côté arrière d’une voile.
  • Cockpit : endroit situé à l’arrière du voilier, ou en son centre, où se trouvent la barre et les principales manoeuvres.
  • Corps-mort : bloc ou est relié une bouée via une chaîne permettant de mouiller un bateau.
  • cunningham  : réglage situé sur le point d’amure de la voile. Il permet de régler le creux.
  • davier : pièce d’accastillage située sur l’avantt du bateau par où passe la chaîne de l’ancre.
  • Délaminage : Décollement des différentes peaux et matériaux composant les matériaux composites. Souvent suite à une infiltration d’eau. Rend la structure souple.
  • dérive : partie de la coque jouant le rôle de système anti dérive. Par opposition à la quille, la dérive n’est pas lestée et peut être relevée.
  • dessaler : lorsqu’un bateau chavire.
  • diamant : endroit ou se croise la verge et les pattes sur une ancre.
  • draille : élément du gréement dormant permettant de renforcer le mât. Le câble de la mi-hauteur, jusqu’à descendre vers l’étrave, On peut, éventuellement, y établir une trinquette.
  • drisse  : élément du gréement courant, servant à hisser ou affaler une voile.
  • écoute : Bout qui permet de régler une voile.
  • empanner : par vent arrière, c’est le fait de changer d’amure.
  • enfourner : enfoncer la proue et l’avant du pont sous l’eau.
  • étai : élément du gréement dormant. Il soutient le mât sur l’avant.
  • étarquer : action de tendre fortement un bout.
  • étrave  : extrémité avant du voilier.
  • faseyer : Une voile fasseye quand elle flotte au vent, sans être bordée.
  • fuite : allure de sauvegarde au portant, utilisée par mauvais temps.
  • foc : voile située à l’avant du mât.
  • ferler  : plier une voile.
  • Galhauban : Hauban latéral pris en tête de mât.
  • génois : voile d’avant plus grand que le foc, avec un recouvrement important de la grand-voile. Le génois peut être sur enrouleur.
  • gennaker : voile d’avant intermédiaire, entre le génois et le spinnaker asymétrique.
  • gîte : inclinaison d’un voilier, sous l’effet du vent. Cela peut aussi être le cas quand le voilier est mal équilibré, de par les effets embarqués.
  • godille : aviron qui s’utilise depuis l’arrière du bateau, en faisant un mouvement en huit. Permet à un équipier, seul, de faire avancer un bateau.
  • grain : vent fort et de courte durée, accompagné de pluie ou de grêle.
  • grand-voile : voile principale du navire, hissée à l’arrière du grand mât, et sur la bôme.
  • gréement courant: Partie mobile du gréement permettant d’envoyer et de régler la voilure.
  • gréement dormant : Partie fixe du gréement permettant de maintenir le mât.
  • guindeau : treuil permettant de remonter une ancre et la ligne de mouillage. Il peut être manuel ou électrique.
  • gouvernail  : dispositif mobile permettant de diriger le bateau.

plan voilier

  • hale-bas : gréement courant permettant de maintenir la bôme ou un tangon vers le bas. Pour la bôme, il peut être constitué d’un palan.
  • hauban : câble faisant partie du gréement dormant d’un voilier. Il soutient le mât latéralement.
  • haler : tirer sur un câble.
  • hisser  : monter une voile, une charge.
  • jas : barre transversale d’une ancre, elle lui permet de crocher.
  • Jauge : Ensemble de règles précisant le cadre technique que doit respecter un voilier de course pour respecter une classe.
  • ketch  : voilier à deux mâts constitué d’un grand mât, à l’avant, et d’un plus petit, à l’arrière, appelé mât d’artimon.
  • Lest : poids, situé au plus bas, permettant contre-balancer la gîte du voilier.
  • Ligne de flottaison : La ligne de flottaison est la limite de la surface de flottaison. Elle sépare les oeuvres vives des oeuvres mortes.
  • lit du vent :direction d’où vient le vent.
  • Lof : Brusque remontée dans le vent.
  • lofer : rapprocher l’axe du bateau du lit du vent. Le contraire est abattre.
  • Longueur hors tout : La plus grande longueur du bateau, comprenant les parties externes à la coque.
  • louvoyer  : virer successivement de bord, au près, afin de remonter au vent.
  • Mille nautique : Unité de distance maritime égale à environ 1852 mètres.
  • mou : Un voilier est mou quand il a tendance à abattre.
  • Mouiller : Jeter l’ancre.
  • moustaches  : permet de tenir, latéralement, le bout-dehors.
  • nœud  : C’est l’unité de mesure de la vitesse utilisée en navigation. Un nœud correspond à un mille marin par heure, soit 1,852 kilomètre par heure.
  • œillet : petit trou en forme d’œil, pratiqué dans une voile. Il permet de passer une bosse ou une écoute.
  • orin  : bout, attaché au diamant d’une ancre permettant de la faire décrocher plus facilement.
  • Pare-battage : bouées permettant de protéger la coque.
  • pataras : câble du gréement dormant d’un voilier. Il soutient le mât sur l’arrière.
  • passe-coque : Tube traversant la coque et permettant de positionner les capteurs des instruments de navigations, ou bien les prises et entrées d’eau de mer et les évacuations d’eaux usées.
  • piano : Ensemble des bloqueurs, situés dans le cockpit, sur le roof en général.
  • point d’amure : point bas avant d’une voile.
  • point de drisse : point haut d’une voile, qui permet de la hisser.
  • point d’écoute : point bas arrière d’une voile, qui permet de la border.
  • pont : plate-forme permettant de protéger l’intérieur d’un bateau. On peut circuler dessus.
  • poupe : partie arrière d’un bateau.
  • proue : partie avant d’un bateau.
  • près : allure permettant de remonter au vent.
  • près serré : allure au plus près du vent.
  • puits de dérive : logement dans la coque permettant de faire coulisser la dérive verticalement.
  • palan  : ensemble de cordage et poulies permettant de démultiplier les efforts.
  • quille : partie lestée, sous le voilier, qui permet de faire contre-poids. Dans le même temps, elle sert de plan anti-dérive. La quille peut être fixe, relevable voir pivotante.
  • quête : angle inférieur à 90° formé par le mât et la ligne de flottaison4.
  • rappel : c’est l’action , pour l’équipage , de se mettre au vent, pour faire conserver une gîte raisonnable au bateau.
  • réa : partie mobile d’une poulie , ou s’enroule le bout.
  • refuser : contraire de adonner. Quand le vent a tendance à revenir de l’arrière vers l’avant.
  • ridoir : outil permettant de tendre et régler le gréement dormant.
  • ris : système de réduction de la voilure.
  • roulis  : mouvement transversal du bateau.
  • safran : partie immergée et pivotante du gouvernail permettant d’orienter le bateau.
  • sillage : Trace laissée par un bateau, sur l’eau, quand il avance.
  • solent : petit foc.
  • spinnaker : grande voile d’avant, creuse, sans guindant. Utilisée aux allures portantes.
  • spi : diminutif de « spinnaker ».
  • sous-barbe : cable maintenant le bout-dehors horizontale, et dans l’axe du voilier.
  • sous le vent  : partie du bateau se trouvant du côté opposé au lit du vent.
  • talonner : toucher le fond de la mer avec la quille du bateau.
  • tangage : mouvement longitudinal d’un bateau.
  • tangon : espar utilisé pour tenir écartée une voile (foc, trinquette, spi).
  • tourmentin : Très petit foc utilisé dans le mauvais temps.
  • traînards : aussières traînant dans l’eau afin de réduire la vitesse du bateau, sur l’eau, à l’allure de fuite.
  • tribord : côté droit du bateau, en regardant vers l’avant.
  • Tribord amures : Un voilier tribord amures reçoit le vent par la droite du navire.
  • U  : pavillon du code international. Il représente la lettre U et signifie la présence d’un danger.
  • vent apparent : vent relatif. résultat de la vitesse du navire et du vent vrai.
  • vent debout : Quand le vent arrive face à l’étrave.
  • vent vrai : Direction réelle du vent.
  • violons de ris : poulies par lesquelles passent les bosses de ris pour ariser la voilure.
  • virer de bord : changer de cap, mais aussi le côté d’où vient le vent. manoeuvre s’effectuant en passant face au vent.
  • vit-de-mulet : pièce métallique fixant la bôme au mât.
  • VMG  : référence permettant l’optimisation entre la vitesse d’un voilier suivant la direction du vent et la distance à parcourir.
  • winch  : treuil permettant de border des écoutes ou étarquer des drisses

description voile

A quoi sert le langage et le vocabulaire marin?

Pour un plaisancier, maîtriser le lexique et les termes spécifiques au nautisme revêt une importance cruciale . On pourrait même dire que maitriser ce vocabulaire marin permet de naviguer en eaux claires

Tout d’abord, la pratique de la voile exige une compréhension précise des instructions de sécurité; quel que soit le voilier, du dayboat au voilier hauturier . En maîtrisant les termes nautiques, vous pouvez communiquer efficacement, réduisant ainsi les risques d’accidents évitables. Qu’il s’agisse des feux de navigation, des balises ou des règles de priorité, chaque mot revêt une signification capitale, sauvegardant ainsi la vie des marins et de leur précieux équipage.

L’utilisation appropriée du vocabulaire marin permet de transmettre des informations précises et concises , facilitant les manœuvres délicates et renforçant l’efficacité de l’équipage.

Enfin, et cela est toujours utile, connaître le vocabulaire marin favorise une intégration sociale au sein de la grande famille des plaisanciers . Comme un dialecte secret partagé entre initiés, ce langage spécifique crée des liens solides entre les marins. En maîtrisant ce vocabulaire, le plaisancier devient un membre respecté de cette confrérie, capable de partager des histoires, des astuces et des expériences avec d’autres amoureux de la mer. C’est un sésame ouvrant les portes d’une communauté où se tissent des amitiés durables et des souvenirs impérissables.

Pourquoi le vocabulaire marin est important?

Le vocabulaire marin est important lorsque l’on navigue sur un bateau pour plusieurs raisons :

Sécurité : Le vocabulaire marin est utilisé pour communiquer des informations importantes sur la navigation, la météo, les conditions de la mer, les obstacles, les feux et les signaux de navigation. Si vous ne comprenez pas ces termes, vous risquez de ne pas comprendre les instructions importantes et de prendre des décisions dangereuses qui peuvent mettre en danger votre bateau et votre équipage.

Communication : En connaissant le vocabulaire marin, vous pouvez communiquer efficacement avec d’autres marins et les autorités portuaires. Cela vous permet de vous intégrer facilement dans la communauté des marins et d’obtenir des informations importantes sur les conditions de navigation et les ports d’escale.

Précision : Les termes marins sont souvent très précis et spécifiques, et leur utilisation permet une communication claire et concise. Cela est particulièrement important lors de situations d’urgence où il est essentiel que les messages soient compris rapidement et sans ambiguïté.

Tradition : Le vocabulaire marin fait partie intégrante de la tradition maritime. En connaissant et en utilisant ces termes, vous vous connectez à une riche histoire et culture maritime qui remonte à des siècles.

En somme, la connaissance du vocabulaire marin est donc cruciale pour assurer la sécurité, la communication et la précision lors de la navigation, tout en préservant la tradition maritime.

Pour aller plus loin:

  • Les différents types de gréement d’un bateau
  • Décrire le gréement d’un bateau
  • Décrire une voile
  • Décrire le pont d’un bateau
  • Décrire la coque d’un bateau

Comment recourir à une location d’un catamaran en Corse ?

Vous connaissez désormais, grâce à cet article, tout le lexique afférent à la voile et aux bateaux. Que vous soyez un passionné ou un simple amateur, la mer, le grand large et les excursions maritimes font fantasmés de nombreuses personnes. Dans le cadre de vos congés d’été vous aspirez peut être à vivre une expérience exceptionnelle en pleine mer. Certains endroits sont plus appropriés que d’autres pour profiter de ces moments, ce qui est le cas de la mer méditerranée et de l’Ile de Beauté. Ainsi dans le cas où vous souhaitez recourir à une location d’un catamaran avec skipper en Corse , laissez nous vous conseiller sur les critères à analyser avant de réaliser votre choix.

En effet si ce projet vous fait rêver il n’en reste pas moins onéreux. L’avantage d’un catamaran consiste généralement en sa dimension importante. Celui-ci peut donc accueillir plusieurs personnes ce qui vous permettra d’une part de mutualiser les frais de location et d’autre part de profiter de ce moment en groupe d’amis, famille ou proches. Il vous incombe donc d’analyser le prix de location proposé par rapport au nombre de personnes pouvant être accueilli. Le deuxième avantage de ce type de sortie réside dans le fait que vous jouirez d’un bateau exceptionnel vous permettant de bénéficier d’une excursion mémorable. Celui-ci est premièrement stable et donc adapté à recevoir tout type de personne ayant le mal de mer ou non. Il est aussi spacieux et très rapide. Enfin cette sortie implique qu’un skipper chevronné vous accompagne pour bien évidemment diriger le catamaran, mais également pour vous permettre de profiter d’une sortie en mer appréciable en jouant au guide et en vous faisant découvrir des coins inaccessibles pour les non connaisseurs.

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  • 10 min de lecture

Expressions et vocabulaire de marins

Parlez-vous le langage des marins ? Un bateau comporte tellement de pièces et les manœuvres sont tellement diverses qu’un jargon spécifique a fait son apparition au fil du temps. Voici un florilège des mots et expressions marines les plus utiles.

Capitaine à la barre criant vocabulaire marin

Alpha : J'ai un plongeur ou un scaphandrier à la mer. Tenez-vous à l'écart et avancez lentement.

Amarrer : retenir le bateau avec une amarre (cordage ou un câble qui permet de relier le navire à un ponton fixe).

Accoster : rapprocher le bateau d’un objet flottant jusqu’à le toucher.

Aborder : proche du concept d’accoster mais avec une notion de violence, de choc physique.

Accastillage : ensemble des accessoires de pont qui servent sur un voilier à la manœuvre des voiles.

Antifouling : peinture qui protège la coque des organisme marins et les empêche de s’accrocher aux œuvres vives.

Ariser : réduire la surface de la grand-voile.

Assiette : inclinaison longitudinale d'un navire.

code international des signaux maritimes bravo

Bravo : je charge, ou décharge, ou je transporte des marchandises dangereuses.

Bâbord : Partie gauche du navire lorsque l’on se tourne vers l’avant.

Balisage : signalisation de la route à suivre et des dangers à l’aide de balises.

Barre : tige, roue ou maintenant "joystick" qui sert à la manœuvre du gouvernail.

Bas-fond : le fond est éloigné de la surface et la profondeur est suffisante pour naviguer sans risque d'échouement.

Ber : cale ou charpente (parfois aussi de cordages) qui supporte le bateau lors du halage, de la mise à l'eau, du transport.

Biture : longueur de chaîne disposée sur le pont en préparation du mouillage.

Bôme : barre rigide articulée sur le mât qui permet d'orienter la grand-voile d'un bateau.

Bordache : élève à l’école navale.

code international des signaux maritimes charlie

Charlie :oui (réponse affirmative), ou le groupe qui précède doit être compris comme une affirmation.

Cabine : pièce où l’on habite (bureau, chambre …)

Caillou : récif rocheux.

Cale : endroit où sont stocké les marchandises sous le pont.

Cap : direction vers laquelle le bateau est orienté. Angle que forment la route suivie et la direction du nord.

Carène : partie immergée de la coque d'un bateau, assimilée aux œuvres–vives.

Carlingue : pièces de renfort de la structure longitudinale d'un bateau.

Chaloupe : grosse embarcation de construction plus robuste que celle d'un canot utilisé pour tous les services de rade ou de mer ou comme bateau de pêche.

Chantier naval : Lieu de construction des navires et bateaux.

Chasser : glisser sur le fond, pour une ancre au mouillage.

Choquer : détendre, donner du mou à un cordage (contraire de border).

Coffre : bouée, reliée au corps-mort, pour amarrer un bateau.

Couleurs : pavillon national.

Crête : sommet d'une vague.

code international des signaux maritimes delta

Delta : ne me gênez pas, je manœuvre avec difficulté.

Déballastage : vidange des compartiments (ballasts) qui contiennent de l'eau de mer prise comme lest par un navire.

Déjauger : se soulever, pour un bateau, la ligne de flottaison montant au-dessus du niveau de l'eau.

Dériver : s'éloigner de sa direction sous la poussée du vent ou sous l'action d'un courant.

Docks : bassin entouré de quais, dans lequel entrent les navires pour le chargement et le déchargement de leur cargaison.

Duc-d'Albe : pilotis ancrés dans le fond des bassins ou des chenaux, sur lequel un navire peut s'amarrer ou s'appuyer.

code international des signaux maritimes echo

Echo : je viens sur tribord.

Echouage : opération qui consiste à laisser un navire se poser sur ses fonds à un endroit où un bateau peut s'échouer sans danger.

Ecoutille : Ouverture dans le pont d'un navire pour donner accès aux cales et aux entreponts.

Encablure : ancienne mesure de longueur pour mesurer des chaînes d'amarrages ou des distances moyennes des câbles.

Éperon : partie de la proue d'un bâtiment qui se termine en pointe et qui a plus ou moins de saillie sur l'avant.

Erre : vitesse résiduelle d’un navire lorsqu'il n'a plus de propulsion.

Étambot : partie arrière d'un navire, synonyme de poupe.

Étrave : partie avant d'un navire (la proue sur un voilier)

code international des signaux maritimes foxtrot

Foxtrot : je suis désemparé, communiquez avec moi.

Fardage : prise au vent offerte par la partie émergée du navire ou œuvres-mortes. Un fardage trop important peut compliquer singulièrement les manœuvres dans un port encombré.

Faux pont : pont situé au-dessous du pont principal. Sur les anciens navires, pont ou plancher mobile, au-dessous du pont supérieur.

Flamme : banderole longue et étroite en forme de triangle, qu'on attache au sommet d'un mât.

Fond : partie basse de la cale.

Fourrure : protection d'un câble en l'entourant d'un filin.

code international des signaux maritimes golf

Golf : j'ai besoin d'un pilote

Gaffe : longue tige munie d'un crochet recourbé vers l'intérieur à une extrémité pour attraper des objets flottants ou un cordage à la mer.

Galerie : sorte de balcon découvert autour de la poupe ou de l'abri de navigation.

Garcette : petit cordage court pour amarrer un petit équipement (seau, voile…).

Génope : cordage entouré serré autour d'un autre cordage, pour l'empêcher de glisser.

Gîte : l'inclinaison d'un navire sur son axe longitudinal sur bâbord ou tribord.

Gouverner : manœuvrer la barre d'un bateau pour qu'il suive son cap.

Grappin : petite ancre qui a quatre ou cinq branches recourbées, pour les petites embarcations.

Gréement : sur un navire à moteur, ensemble du matériel nécessaire à la manœuvre et à la sécurité du navire.

code international des signaux maritimes hotel

Hotel : j'ai un pilote à bord

Hale à bord : cordage permettant de ramener à bord une voile ou un objet.

Halieutique : relatif à la pêche en mer et aux espèces pêchées.

Haubans : câbles et cordages placés de chaque côté du mât, qui maintiennent celui-ci vertical.

Hauturier : qui se rapporte à la navigation au large, en haute mer, loin des côtes.

Houache : remous causé à la surface de l'eau par le déplacement du bateau, synonyme généralement du sillage laissé à l'arrière par le bateau.

Hublot : petite ouverture vitrée ou non, percée dans la muraille d'un bateau, pour donner du jour et de l'air.

code international des signaux maritimes india

India : je viens sur bâbord

In-bord : se dit d'un moteur installé à l'intérieur de la coque (par opposition au moteur hors-bord).

Incidence : angle d'attaque de la voile par rapport au vent apparent.

Île : étendue de terre entièrement entourée d'eau. Voir aussi Îlot, Presqu'île, Archipel.

Isobare : sur une carte météorologique, les isobares relient les points de la surface terrestre ayant une pression atmosphérique égale. Lorsque les isobares sont rapprochées, il y a un fort gradient de pression et il y a de fortes chances que le vent soit fort.

Isthme : étroite bande de terre entre deux mers, joignant deux continents ou deux îles entre eux, ou une presqu'île ou une péninsule à un continent ou à une étendue terrestre plus importante.

Itague : cordage qui passe dans une poulie simple et raidie à l'aide d'un palan.

code international des signaux maritimes juliet

Juliet : tenez vous à distance, j'ai un incendie à bord et je transporte des marchandises dangereuses, ou j'ai une fuite de substances dangereuses.

Jambe-de-chien : nœud permettant de raccourcir un cordage sous tension, sans le couper.

Jas d’ancre : barre perpendiculaire à la verge d'une ancre, maintenant la partie supérieure de l'ancre écartée du fond afin qu'elle ne se pose pas à plat et que l'une des pattes repose nécessairement sur le fond, pour qu'elle croche plus facilement.

Jauge : mesure des caractéristiques d'un navire.

Journal de bord : registre dans lequel on consigne tous les détails de la navigation. Obligatoire à partir de la troisième catégorie, mais utile et recommandable en quatrième et cinquième catégories. L'expression « Livre de bord », qui désigne en principe autre chose, est utilisé si couramment au sens de journal de bord qu'il en est devenu de facto un synonyme.

Jumelles : dispositif optique binoculaire grossissant.

Jusant : période pendant laquelle la marée est descendante. C'est aussi le courant de marée descendante.

code international des signaux maritimes kilo

Kilo : je désire communiquer avec vous ou je vous invite à transmettre.

Ketch : voilier à deux mâts dont le mât avant (grand mât) est plus grand que le mât arrière.

code international des signaux maritimes lima

Lima : stoppez votre navire immédiatement.

Laisse : espace laissé à découvert par la marée.

Lamaneur : assistant à l'amarrage des navires.

Large : zone maritime située à une bonne distance des côtes, la haute mer, en dehors des eaux côtières.

Latitude : valeur angulaire, positionnement d'un point sur Terre au nord ou au sud de l'équateur.

Lieue : la lieue marine est une ancienne unité de distance qui représente 3 milles marins (soit 5,5km).

Ligne de vie : câble métallique, cordage ou sangle textile tendu de l'avant à l'arrière d'un bâtiment, sur chaque bord, sur lequel on peut amarrer son harnais, afin de ne pas risquer de tomber à la mer

Livet : intersection entre le pont principal d'un bateau et la coque.

Loch : instrument de navigation mesurant la vitesse d'un navire.

Longitude : valeur angulaire, positionnement est-ouest d'un point sur Terre.

Louvoyer : tracer des zigzags afin de "remonter" au vent.

Loxodromie : route de navigation à cap constant, coupant tous les méridiens (et les parallèles) sous un angle constant, représentée sur les cartes marines les plus courantes par une droite.

code international des signaux maritimes mike

Mike : mon navire est stoppé et n'a plus d'erre.

Maille : anneau de métal constituant l'élément unitaire d'une chaîne.

Maïence ou Mayence : cuisine de bord ou sont préparés et distribués les repas.

Manifeste : récapitulatif détaillé de toutes les marchandises de la cargaison.

Marée : phénomène ondulatoire périodique dû à l'attraction du Soleil et de la Lune qui déforme la masse d'eau océanique et fait que l’eau de retire ou que le niveau de l’eau remonte pendant quelques heures.

Marégraphe : appareil destiné à mesurer les variations du niveau de la mer en raison des marées.

Marnage : différence de hauteur entre le niveau de la marée haute et celui de la basse mer.

Mille marin ou Mille Nautique : distance correspondant à 1 852 mètres.

Mayday :signal international de détresse utilisé pour la sauvegarde de la vie humaine en mer, correspondant à l'ancien SOS

Mouiller : immerger au fond une ou plusieurs ancres afin d'immobiliser le bateau.

Multicoque : terme désignant les voiliers à plusieurs coques, catamarans, trimarans et praos.

code international des signaux maritimes november

November : non (réponse négative), ou le signal qui précède doit être compris sous forme négative.

Nable : ouverture munie d’un bouchon, dans les fonds d'une embarcation, permettant d'évacuer l'eau.

Natte : élément de protection qu'on place dans la mâture et dans le gréement pour le garantir du frottement.

Nébulosité : couverture nuageuse. L'une des méthodes pour la mesurer consiste à diviser le ciel en huit secteurs approximativement égaux ; on compte alors le nombre de secteurs couverts, pour exprimer la nébulosité en huitièmes, parfois appelés octats.

Nerf de chute : petit cordage ou garcette qui règle la tension de la chute d'une voile.

Neuvage : état d’un navire à la fin de sa construction, à son entrée en service.

Nœud : unité de mesure de la vitesse correspondant à un mille nautique à l’heure.

code international des signaux maritimes oscar

Oscar : homme à la mer

Œil : boucle formée à l'extrémité d'un cordage à l'aide d'un nœud ou d'une épissure.

Œillet : trou, dont le pourtour est renforcé, dans une voile pour y passer un cordage.

Organeau : anneau à l’extrémité d’une ancre, par lequel elle est fixée à sa chaîne.

Oscar : Homme à la mer.

code international des signaux maritimes papa

Papa (Au port) : toutes les personnes doivent se présenter à bord, le navire va prendre la mer.

Palan : assemblage de poulies et de cordages, dont on se sert, soit pour exécuter des manœuvres à bord des navires, soit pour soulever de pesants fardeaux.

Pantoire : solide cordage, terminé par un œillet ou une poulie, et dont l’autre extrémité est fixe.

Passavant : partie latérale du pont permettant de passer d'avant en arrière (et inversement).

Pavillon : drapeau utilisé pour la signalisation entre bateaux ou pour signaler la nationalité du bâtiment.

Phare : système de signalisation maritime, constitué d'un puissant système d'éclairage placé généralement en haut d'une tour.

Pied : partie inférieure du mât.

Ponton : dans un port, plate-forme flottante à laquelle peuvent s'amarrer les bateaux.

Poupe : partie arrière d’un navire.

Proue : partie avant d’un navire.

code international des signaux maritimes quebec

Quebec : mon navire est indemne, je demande la libre-pratique.

Quadrant : sur les anciens compas, la rose des vents n'était pas graduée en degrés, mais se

divisait en quatre quadrants de 90 degrés chacun.

Quai : levée servant à l'accostage, l'amarrage et le débarquement ou l'embarquement des personnes et des marchandises.

Quête : angle d’inclinaison d’un mât par rapport à la verticale.

Quille : partie axiale inférieure de la coque.

code international des signaux maritimes romeo

Romeo : signal de procédure.

Raban : cordon ou tresse servant à serrer une voile sur une vergue.

Radar : système de détection et de localisation d'objets (autres navires, littoral, icebergs, etc.).

Radoub : cale ou bassin pouvant se vider, permettant d'entretenir ou de réparer la coque d'un bâtiment.

Récif : rocher, chaîne de rochers ou massif coralien à fleur d'eau constituant un danger pour la navigation.

Renflouement : opération consistant à remettre une épave entièrement à flot.

Renverse : moment où le courant change de direction.

Ride : cordage servant à raidir un hauban.

Rouer : plier un câble, une manœuvre en rond, en cerceaux.

Routier : c arte marine à petite échelle (couvrant une grande surface), sur laquelle on trace la route générale d'un bateau, par exemple pour la traversée d'un océan.

code international des signaux maritimes sierra

Sierra : je bats en arrière.

Safran : partie plate du gouvernail d’un bateau.

Saisine : cordage destiné à saisir un objet, c'est-à-dire à l'assujettir fermement.

Sasser : passer une écluse, ou la faire franchir.

Sentine : endroit, à fond de cale, où se rassemblent les eaux usées.

Sextant : instrument qui contient la sixième partie d’un cercle, et qui sert à mesurer les angles pour déterminer la position du bateau.

Sondeur : appareil servant à mesurer la profondeur.

Surliure : ligature faite à l'extrémité d'un cordage afin d'éviter que les torons se détorsadent.

code international des signaux maritimes tango

Tango : Ne me gênez pas je fais du chalutage jumelé.

Tableau : partie arrière relativement plane de la coque d’un bateau.

Talweg : Prolongement d'une dépression entre deux anticyclones ou zones de haute pression.

Taquet : dispositif situé sur le navire permettant de bloquer un cordage.

Tenue : capacité d'une ancre à bien crocher le fond, sans chasser, ou du fond à bien la retenir. Un fond de sable ou de vase a généralement une meilleure tenue qu'un fond en gravier ou galets. Solidité d'un nœud, sa capacité à rester en place sans se défaire.

Tidal : relatif à la marée ou aux variations de niveau de la mer et aux courants que le mouvement de la marée engendre.

Timon : longue pièce de bois attachée au gouvernail d’un navire et qui sert à le mouvoir.

Tonnage : mesure du volume d'un bateau.

Touline : filin lancé à terre ou sur un autre bateau, pour envoyer une amarre ou une bosse.

Tribord : côté droit d'un navire en regardant vers l'avant.

code international des signaux maritimes uniform

Uniform : Vous courez vers un danger.

UT : temps universel, correspondant à l'heure du temps moyen du méridien de Greenwich. France, il faut ajouter une heure à l'heure légale d'hiver pour obtenir l'heure UTC, et deux heures à l'heure d'été.

code international des signaux maritimes victor

Victor : je demande assistance.

Vadrouille : balai ou brosse servant à laver les ponts des navires.

Verloquet : cordage permettant de guider une charge suspendue pendant son déplacement.

VHF : initiales de Very High Frequency (très haute fréquence). Système de radiotéléphonie en ondes métriques permettant des liaisons d'une portée d'environ 30 à 35 milles et fonctionnant dans la bande de 156 à 162 MHz.

Virer : changer de direction en cas de changement de cap ou pour contourner une bouée par exemple.

Voie d'eau : ouverture accidentelle dans les œuvres vives de la coque, par laquelle l'eau pénètre dans le bateau.

Vrillage : différence d'ouverture d'une voile entre le haut et le bas du mât.

code international des signaux maritimes whiskey

Whiskey : Demande d'assistance médicale.

Way-point : mot anglais signifiant « point de passage ». Quand la route la plus directe ne peut pas être emprunté car c’est dangereux ou qu’il y a des obstacles, on trace une route qui contourne la zone à éviter.

Whiskey : Aide médicale nécessaire.

Winch : petit treuil sur un voilier permettant d’exercer une traction sur un cordage.

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X-ray : Arrêtez vos manœuvres et veillez mes signaux.

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Yankee : Mon ancre chasse.

code international des signaux maritimes zulu

Zulu : J'ai besoin d'un remorqueur.

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Commentaires

Ce qui est difficile au début lorsqu’on débute en voile c’est tout le vocabulaire à apprendre… On hésite, on ne se rappelle plus de tous les noms, mais à force de parler « marin », rassurez-vous cela viendra vite.

Ouais enfin… pourquoi s’emm…bêter avec tout ce vocabulaire ? Tellement plus simple de parler en français, tout le monde comprend si je dis « Attrape-moi voir le bout de corde là, celui qui tient la grande voile et permet de la diriger et tire dessus… ».

C’est vrai, sauf qu’il n’est pas certain que la personne aura compris ce que vous lui demandiez. En parlant « marin », la même phrase pourrait se résumer à « Borde l’écoute de GV ». Dans un moment de panique ou d’urgence, avec une mer déchaînée : c’est plus court, plus clair et plus précis. Donc plus aucune excuse : attaquons !

le catamaran trouve les mots pour le dire

  • Barre . Elle peut être à roue (comme un volant, c’est le cas sur la photo) ou franche (comme une barre qu’on tire ou pousse). Certains voiliers ont 2 barres à roues, de chaque côté, cela permet au barreur de se mettre du côté le plus confortable et avec la meilleure vue.
  • Cockpit . La zone où l’on pilote. C’est aussi ici qu’on peut prendre l’apéro manger l’été.
  • Descente .  Les escaliers pour accéder à l’intérieur du voilier.
  • Balcon arrière . C’est la balustrade. L’arrière du bateau s’appelle  poupe .
  • Balcon avant. L’avant du bateau s’appelle la proue . La pointe avant de la coque s’appelle l’ étrave .
  • Bôme . Pour maintenir et orienter la voile.
  • Vit-de-mulet . Permet d’articuler le mât et la bôme ensemble.
  • Pied de mât.
  • Rouf . Zone surélevée autour de la descente.
  • Chandelier . Ce sont les petits piquets sur les côtés du bateau.
  • Filière . Il s’agit du câble faisant le tour du bateau pour ne pas tomber. Elle est tenue par les chandeliers.
  • Davier . Poulie par laquelle on fait passer la chaîne pour jeter l’ancre.
  • Passe-avant . Petit passage sur le côté qui permet d’aller à l’avant. L’emplacement ou la largeur du bateau est la plus grande s’appelle maitre bau .
  • Plage avant . Ce n’est pas uniquement une zone pour faire bronzette, on peut s’y placer pour envoyer ou retirer les voiles.
  • Taquet . Permets d’accrocher le bateau au port. On trouve aussi des chaumards , sorte de U ou l’on fait passer les cordes pour éviter qu’elles frottent la coque.

Le gréement

Le gréement  c’est l’ensemble des éléments permettant de faire avancer le bateau à la voile. Il y a :

  • Le gréement courant , ce sont les parties mobiles sur lesquelles vous ferez les réglages : voiles, cordes…
  • Le gréement dormant , ce sont les parties fixes : le mât, la bôme et les câbles suivants :

le catamaran trouve les mots pour le dire

  • Hauban ou Galhauban . (en orange) Le hauban retient le mât latéralement.
  • Barre de flèche . Éloigne les haubans pour augmenter leur force.
  • Étai . (en bleu) Retient le mat vers l’avant.
  • Pataras . (en rouge) Retient le mat vers l’arrière.
  • Intermédiaire. (en violet) Raidit le mat en utilisant la barre de flèche.
  • Bas-hauban. (en vert) Raidit le mat en utilisant le pont.

Euh, mais çà sert vraiment tous ces machins ?

Oui oui… Déjà à tenir le mat, mais aussi à faire des réglages. On peut les tendres plus ou moins, pour  cintrer le mât (lui donner une courbe), on peut aussi utiliser l’étai pour accrocher une voile… Nous verrons çà plus tard, pour le moment essayez de retenir leurs noms.

Voyons à présent comment se présente le dessous.

le catamaran trouve les mots pour le dire

  • Safran . C’est une « aile » qui s’oriente pour aller à gauche ou à droite. La barre et le safran composent le gouvernail .
  • Coque . C’est ce qui permet de flotter. La partie sous l’eau de la coque s’appelle la carène .
  • Lest ou bulbe . Permet de faire contrepoids lorsque le bateau se penche.
  • Quille . Permet au voilier de rester en équilibre grâce au lest. Vu que le bateau a une quille, il s’appelle un quillard .

Il n’y a parfois pas de lest sur la quille, elle s’appelle alors une dérive . L’avantage est qu’on peut la remonter de l’eau pour que la coque soit plate, pour se poser sur le sable par exemple, le bateau s’appelle alors un dériveur .

L’intérieur d’un voilier

Finissons avec une petite visite de l’appart, on parle de « voilier habitable ».

le catamaran trouve les mots pour le dire

  • Descente . L’escalier pour accéder à l’intérieur du bateau. (Pssst… info secrète, le moteur est en dessous !)
  • Carré . Pour prendre les repas à l’intérieur. Les banquettes sur les côtés se transforment en couchette pour dormir. On trouve du rangement dans des petits placards sur les côtés (les équipers), et dans des coffres en dessous des banquettes. Parfait pour stocker la nourriture.
  • Table à carte . On trouve ici l’électronique : GPS, radar, ordinateur de bord, le tableau électrique … C’est la place de la personne qui s’occupe de la navigation et de la route à suivre.
  • Cabines . C’est assez petit, alors évitez de partir avec une valise et optez plutôt pour un sac souple que vous pourrez ranger. Et on pense à fermer les hublots en navigation sinon c’est la douche !
  • Cuisine . On y trouve généralement une gazinière avec un four, un réfrigérateur et un évier avec de l’eau sous pression. L’eau est stockée dans des réservoirs. Parfois il y a une arrivée d’eau de mer pour économiser l’eau potable. L’évacuation se fait soit directement en mer, soit dans un réservoir à eaux usées.
  • Toilettes . WC, lavabo et parfois douche. La chasse d’eau des WC fonctionne avec une pompe manuelle qui se règle sur 2 positions : soit aspire de l’eau de mer vers le WC pour nettoyer, soit aspire l’eau usée des WC vers le réservoir à eaux usées ou directement vers la mer. On pompe au minimum une quinzaine de fois, quelle que soit la position.
  • Coffre à voile. Pour ranger les voiles et le matériel pour naviguer.

Les types de voiliers

Pour aller plus loin (et faire vos fayots), il faut savoir qu’en fonction du nombre et de la taille des mâts les bateaux portent des noms différents (inutile de tout retenir). Voici les plus fréquents.

Un sloop n’a qu’un seul mât. Notre cours sera basé sur ce type de bateau, ce sont les plus répandus.
Le Ketch a 2 mâts. Le mât à l’arrière (mât d’artimon) est plus petit que celui de l’avant (grand mât).  Le mât d’artimon est situé en avant par rapport au safran.

Le Yawl a 2 mâts. Le mât à l’arrière (mât d’artimon) est plus petit que celui de l’avant (grand mât).  Le mât d’artimon est situé en arrière par rapport au safran.
La goélette a 2 mâts ou plus. Les mâts sont soit de tailles identiques, soit le mât avant (mât de misaine) est plus petit que le mât principal.

Ah oui aussi, lorsque vous allez vous balader dans les ports, retenez qu’on exprime la longueur d’un bateau non pas en mètres, mais en pieds.

1 pied = 30,4 centimètres

Un bateau de 37 pieds fait donc un peu plus de 11 mètres.

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Cité de la Voile Eric Tabarly

Lexique de la voile

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Cette page liste les principaux termes techniques utilisés sur un voilier. (source : Wikipedia)

Manœuvrer le voilier de manière à éloigner son nez de l'axe du vent

Action de descendre une voile. On dit aussi "amener" une voile

Angle d'un bateau par rapport au vent

Côté du bateau par lequel il reçoit le vent ("bâbord amures", lorsque le vent vient de bâbord ; "tribord amures", lorsque le vent vient de tribord).

Éléments immergés du bateau

Se dit d'un bateau qui a une tendance naturelle à remonter au vent

Mouvement d’un bateau qui lofe. Soit, lorsqu’on dirige le gouvernail et qu’on manoeuvre les voiles, de telle sorte que par l’avant, le navire fasse avec la quille un angle moins ouvert avec la direction du vent qui souffle

Désigne le côté gauche d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant de celui-ci

Cordage partant du haut du mât qui permet de soutenir et de régler la hauteur des espars

Galerie généralement ouverte, souvent établie à l’arrière des navires et entourée d’une balustrade. Aussi, rambarde avant et arrière d’un bateau, assurant la sécurité

Compartiment destiné à être rempli ou vidangé d’eau de mer afin d’optimiser la navigation et d’équilibrer le bateau

Avec le safran immergé qu'elle actionne, elle constitue le gouvernail, elle permet au bateau de tourner

Hauban à itague employé sur les voiliers, notamment ceux dont le foc n’est pas frappé en tête de mât (gréement fractionné)

Support horizontal de la grand'voile articulée sur le mât

Ramener la voile vers l'axe du bateau en tirant sur un cordage (l'écoute)

Angle donné à une coque

Désigne tout type de cordage sur un navire

Espar, fixe ou rétractable, à l’avant du bateau, servant à établir une voile

Lest en forme de torpille en bas de la quille

Pièce métallique solidaire du pont du navire ou de la coque, sur laquelle sont frappés les câbles tenant le mât

Très petite et résistante voile à l'emplacement du foc servant dans la tempête à orienter la proue du bateau face au vent en attendant un faiblissement de sa force, toutes les autres voiles étant affalées

Partie de la coque qui est sous l'eau

Supports verticaux placés sur le pourtour du pont pour empêcher une chute en mer

Éloigner la voile de l'axe du bateau en relâchant le cordage (l'écoute)

Terme proscrit du vocabulaire maritime, à une seule exception près: la corde de la cloche

Espar servant à établir une voile à corne

Partie immergée dépassant de la coque en profondeur, pouvant être relevée, et destinée à s'opposer aux forces transversales aux allures de près

Chavirer avec une embarcation légère à cause d'une gîte trop importante

Cordage ou bout servant à hisser ou affaler une voile

Bout (cordage) servant à régler l'angle d'une voile par rapport au vent

Changer de direction par vent arrière

Enfoncer le bateau dans l'eau par la proue

Nom générique qui désigne les différents éléments du gréement comme mât, bôme, tangon etc.

Câble servant à maintenir le mât longitudinalement vers l'avant

C'est tendre au maximum la drisse

C'est l'arrête avant de la coque, celle qui fend la mer

Câble d’acier passant à travers les chandeliers, reliant l’arrière à l’avant du bateau et servant de garde-fou

Voile située à l'avant du bateau

Aile profilée sur un côté du bateau qui, une fois immergée, crée un phénomène de portance permettant au bateau de s'élever au dessus de l'eau

Voile de vent portant triangulaire utilisée entre 90° et 120° du vent réel. Son nom vient de la contraction entre les mots "génois" et "spinnaker"

Grande voile à l'avant du bateau, généralement utilisée par mer calme

Inclinaison sur le côté du bateau sous l'effet du vent latéral dans les voiles ou d'un mauvais équilibrage des masses embarquées

Aviron qui se manipule depuis l'arrière du bateau, en faisant un mouvement en huit. La godille permet à un marin seul de déplacer une embarcation, même assez lourde

Voile principale du navire, maintenue entre la bôme et le mât

Treuil, le plus souvent placé sur la plage avant, qui permet de manoeuvrer les lignes de mouillage

Fait partie des manoeuvres courantes, le plus souvent un palan, tirant la bôme vers le bas et fixée au pied du mât

Câbles métalliques qui permettent de tenir le mât en latéral (le pataras et les étais le tiennent sur l'avant et sur l'arrière)

Action de monter une voile, une charge

Règles définissant les caractéristiques du voilier à respecter par l’architecte si le bateau doit participer à des compétitions

Courant généré par la marée descendante

Pièces rigides enfilées dans le tissu de la voile pour améliorer le profil de celle-ci

Désigne les corps qui servent à alourdir un élément

Sangles sur le pont permettant de s'attacher pour se prémunir des risques de chute

Rapprocher le bateau du lit du vent

Action de virer successivement de bord du près au près dans le but de remonter au vent

Se dit d'un bateau qui a une tendance naturelle à s'éloigner du vent

Perdre le contrôle du bateau

Élément du gréement dormant d'un voilier, soutenant le mât sur l'arrière

Partie arrière d'un bateau

Allure permettant au voilier de remonter au plus près du lit (de l'axe) du vent

Allure à laquelle le bateau se trouve le plus possible face au vent (le plus proche du vent)

Système réduisant la surface qu’une voile offre au vent lorsque celui-ci force trop

Partie avant d'un bateau

Sur un dériveur, fourreau au centre du bateau permettant de faire basculer ou coulisser la dérive

Partie fixe et immergée de la coque sous le bateau faisant office de dérive fixe et de contrepoids à la gîte du bateau

Action pour l'équipage de se positionner du côté inverse de la gîte pour rétablir l'assiette du bateau

Partie haute de la grand voile tenue par des lattes

Partie surélevée du pont souvent percée de hublots, destinée à donner de la hauteur à l’intérieur d’une cabine

Mouvement latéral du bateau, de bâbord à tribord, sous l'effet de la houle

Partie immergée et pivotante du gouvernail orientant le bateau

Chavirer par l’avant pour un bateau, autrement dit, passer « cul par-dessus tête »

Se mettre à l’abri, face au vent ou dans une houle modéré pour effectuer des réparations ou éviter un coup de vent

Grande voile triangulaire plate, montée à l’avant, voile pour remonter au près

Câble fixé sous l’extrémité du bout-dehors et qui contre-balance la tension des étais du mât

Diminutif de « spinnaker ». Voile d’avant, en tissu léger, très creuse, en forme de parachute, utilisée aux allures portantes.

Mouvement oscillatoire d'enfoncement de la proue dû à la houle en mer

Espar utilisé pour tenir écartée une voile (spi)

Dispositif situé sur le voilier permettant de bloquer un cordage

Désigne le côté droit d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant de celui-ci

Petite voile d’avant plate, la plus proche du mât

Tourner le bateau de façon à ce que le vent vienne sur l'autre bord. Le devant du bateau passe face au vent

Pièce métallique fixant la bôme au mât

Partie mince et affilée de la quille partant du puit et reliant le bulbe

Treuil permettant de tirer avec force sur un bout

  • Prendre RDV
  • Assistance et sinistre
  • Véhicule et Mobilité
  • Guide navigation bateau

le catamaran trouve les mots pour le dire

Lexique de la navigation

MAJ février 2023

Découvrez tout le vocabulaire nautique avec la liste des principaux termes techniques utilisés sur un bateau.

  • à contre : placement d'une voile ou de la barre dans le sens opposé.
  • abattée : mouvement d'un bateau qui abat.
  • abattre : éloigner l'axe du bateau du lit du vent. Le contraire est lofer (ou loffer).
  • abordage : approche volontaire contre un quai ou un objet flottant afin de s'immobiliser ou action involontaire, collision entre deux navires.
  • abri : la réglementation précise que "sont considérés comme abris les ports ou plans d'eau où le navire peut facilement trouver refuge et ou les personnes embarquées peuvent être mises en sécurité".
  • accastillage : ensemble de pièces en métal, plastique ou bois qui sont fixées sur le pont, comme les taquets, les chaumards, le daviet, les winches ou cabestans.
  • accoster : aborder, amarrer son bateau à la côte, soit par l'avant ou l'arrière, soit bord à bord avec un quai, un ponton ou à couple d'un autre bateau.
  • acte de francisation et titre de navigation : la francisation est une formalité douanière, certifiant la nationalité française et la propriété du navire. Elle concerne les navires de plaisance dont la longueur de coque est supérieure à 7 mètres (ou moins de 7 m si le navire doit se rendre dans les eaux territoriales étrangères).
  • adonner : rotation du vent de l’avant vers l’arrière. Le vent adonne lorsqu’il devient plus favorable pour la route idéale du voilier. Le contraire est refuser.
  • affaires maritimes : les affaires maritimes sont un service administratif chargé notamment de la coordination des stratégies de l’Etat relatives à la mer et de la surveillance des eaux territoriales et des littoraux français. Elle intervient également dans la gestion de la navigation de plaisance maritime et fluviale. Elle est est compétente en matière de : la sécurité et de la transition écologique des navires, les service maritimes (signalisation, sauvetage et surveillance), les politiques dédiées aux gens de mer : formation, enseignement, emploi, droit du travail, santé et protection sociale.
  • affaler : action de descendre une voile.
  • aft-cabine : cabine occupant l'arrière et toute la largeur d'un bateau du type vedette par exemple.
  • aiguillot : partie de la ferrure du gouvernail.
  • allure : angle d'un bateau par rapport au vent.
  • amener : affaler, abaisser une voile ou un pavillon de signalisation.
  • amer : objet fixe et visible de la côte servant de point de repère en mer et permettant de se rendre compte de la position du bateau (phare, feu, balise, château d'eau...).
  • amure : côté du bateau par lequel il reçoit le vent (« bâbord amures », lorsque le vent vient de bâbord ; « tribord amures », lorsque le vent vient de tribord).
  • ancre flottante : Entonnoir de toile frappé à l'extrémité d'un long bout que l'on file pour faire dériver le bateau dans le lit du vent.
  • anneau : 1 - Nom donné à une place de port. 2 - Pièce métallique qui selon sa position sur la coque peut servir au grutage et au remorquage d'un bateau (anneau d'étrave) ou au tractage d'un skieur (anneau de ski).
  • annexe : petite unité embarquée à bord d'une plus grosse qui permet de se rendre à terre ou d'accéder au bateau.
  • antifouling : peinture dite "antisalissure" destinée à empêcher les organismes marins de se fixer sur la coque des navires.
  • apparaux : ensemble des objets formant l'équipement d'un navire.
  • appareiller : partir, prendre la mer.
  • arbre : pièce métallique cylindrique assurant la transmission entre le moteur et l'hélice.
  • arceau : sorte d'arche qui, placée au dessus d'un cockpit ou d'un fly sert à fixer les antennes, les radars, les feux de navigation ou le plus souvent à tenir tendue une toile (taud).
  • ardent : se dit d'un bateau qui a tendance à se rapprocher du lit du vent.
  • ariser : prendre un (ou plusieurs ris) dans une voile permettant de diminuer la surface de voile.
  • armer : pourvoir un navire de tout ce qui lui est nécessaire pour naviguer (matériel obligatoire de sécurité, accessoires à la navigation; carburant, avitaillement, équipage, gréement...).
  • artimon : mot désignant sur un bateau à deux mâts (ketch) celui le plus petit et le plus en arrière du bateau, et également le nom de la voile enverguée dessus.
  • au large : en pleine mer, en haute mer.
  • au vent : position d'un objet sur un bateau se trouvant du côté du lit du vent.
  • aussière : gros filin qui sert d'amarre ou au remorquage.
  • avitaillement : ensemble des provisions embarquées à bord d'un navire.
  • bâbord : côté gauche d'un bateau en regardant vers l'avant.
  • bâbord amures : ce dit d'un voilier qui a le vent à gauche du mât.
  • baille à mouillage : coffre placé à l'avant du bateau, fermé par un capot dans lequel sont rangées l'ancre et sa ligne de mouillage.
  • bain de soleil : matelas fixé sur une plage avant ou arrière d'un bateau spécialement aménagée à cet effet.
  • balancine : fait partie des manœuvres courantes, cordage partant du haut d'un mât et servant à soutenir la bôme ou une vergue dans sa position au repos.
  • balcon : balustrade fixée à l'avant ou à l'arrière d'un bateau.
  • balise : marque servant au repérage en mer (bouées, feux, phares ...).
  • ballast : compartiment servant à gérer la statibilité des poids du bateau par le remplissage d'eau, permettant également à un sous-marin la plongée et la remontée en surface.
  • bande antiragage : renfort extérieur qui ceinture et protège les boudins d'un bateau pneumatique.
  • bannette : couchette individuelle à bord d'un bateau.
  • barbotin : couronne crantée sur laquelle viennent s'engager les maillons de la chaîne d'ancre.
  • barre : partie du gouvernail actionnée par le pilote du bateau, manche relié au safran ou roue(s) sur les plus gros bateaux.
  • barreur : celui qui tient la barre et donc qui dirige le voilier ou le bateau à moteur.
  • bas-hauban : câble qui permet de tenir le mât au niveau des barres de flèche.
  • bastaque : les bastaques fonctionnent par paire, une sur chaque bord du bateau. La bastaque au vent est bordée, celle sous le vent est choquée.
  • bastingage : garde-fou autour du pont.
  • bau : endroit le plus large d'un bateau.
  • beacher : dérivé du mot anglais "beach" qui veut dire plage et qui traduit l'action volontaire de s'echouer.
  • beaufort : échelle utilisée pour mesurer la force du vent, graduée de 0 à 12° inventée par un amiral britannique.
  • béquille : pièce métallique ou en bois empêchant un bateau de se coucher à marée basse.
  • béquiller : action qui consite à mettre en place les béquilles.
  • ber : berceau sur lequel repose un bateau lorsqu'il est à sec.
  • big boy : voile d'avant en tissu léger, de type tissu à spinnaker, envoyée sur le bord opposé afin de stabiliser le bateau, dont l'usage a pratiquement disparu.
  • bimini : petite capote en toile ou en matière rigide montée sur des arceaux qui protégent les éléments extérieurs du soleil ou des intempéries. Il est également caractérisé par le mot taud.
  • bitte : pièce de bois ou de métal cylindrique fixée verticalement sur le pont d'un navire pour enrouler les amarres.
  • BLU (Bande Latérale Unique) : système radiotéléphonique intercontinental permettant d'établir des liaisons bateau/terre, terre/bateau, bateau/bateau. Il constitue un système classique de communication pour les bateaux qui naviguent au long cours.
  • bolster : partie très souvent réservée au pilotage du bateau pouvant être munie d'une assise simple ou double et surtout utilisé pour les bateaux à vocation sportive.
  • Bôme : espar horizontal articulé dans l'axe (typiquement pour une grand-voile ou une trinquette.
  • bonnette : voile supplémentaire de beau temps que l'on peut établir sous une autre voile, par exemple sous la bôme de grand-voile pour augmenter la surface (usage devenu peu courant).
  • bord : côté du bateau.
  • border : désigne l'action de tirer (une écoute, par exemple).
  • bosse : cordage ou chaîne. Exemple : bosse de ris permettant de prendre un ris.
  • bouchain : angle formé par le fond et le coté de la coque (franc-bord).
  • boussoir : potence située à l'arrière d'un bateau, qui sert au levage puis à la mise à l'eau de l'annexe. Il en existe généralement deux afin d'offrir un point de levage à chaque extrémité de l'embarcation.
  • bout : désigne tout type de cordage sur un navire.
  • bow rider : banquette qui remplace le pont avant sur certains types de bateaux à moteur. Les bateaux équipés d'un bow rider sont souvent produits par des contructeurs Nord-Américains.
  • bracket : support supplémentaire ajouté au tableau de la partie arrière du bateau permettant de reculer l'emplacement du moteur afin de gagner en performances et parfois en habitabilité.
  • bras : cordages fixés aux deux extrémités inférieures du spinnacker.
  • bulbe : renflement de la partie avant d'un navire permettant de créer une vague et d'améliorer les performances du bateau en favorisant une meilleure pénétration dans l'eau. Rarement applicable aux bateaux de petites dimensions, il est fréquent sur les gros cargos, bateaux océanographiques ou militaires.
  • cabestan : treuil à axe vertical. Souvent utilisé pour les manoeuvres nécessitant un effort important. Sur les bateaux modernes, il ne reste plus que les winchs pour les manoeuvres et le guindeau pour le mouillage.
  • cabine : intérieur d'un bateau habitable pouvant accueillir, salon, cuisine ou chambre à coucher.
  • cabine-cruiser : bateau à moteur d'une longueur généralement supérieure à 8 mètres, doté d'une petite cabine, à mi-chemin entre le day-cruiser et la vedette.
  • cabotage : navigation qui consiste à se déplacer de port en port en restant à proximité immédiate des côtes.
  • cadène : la cadène est une pièce généralement métallique solidaire du pont du navire ou de la coque, sur laquelle sont frappés les câbles tenant le mât.
  • cale : partie du bateau comprise entre le fond de la coque et le pont le plus bas.
  • canot : embarcation le plus souvent de faible longueur mue soit à la rame, à la voile ou au moteur.
  • cape : allure utilisée (généralement par vent fort et dans le mauvais temps), pour récupérer un homme à la mer, pour limiter les efforts sur le voilier, pour permettre à l'équipage de se reposer ou pour effectuer des travaux.
  • capot de pont : Elément de protection amovible, généralement en plexiglas, qui favorise la ventilation et l'aération d'une cabine.
  • capot moteur : panneau amovible recouvrant la cale moteur sur les in-bord. Simple couvercle sur les hors-bords.
  • cardinal : système de balisage employé pour s'orienter en utilisant les points cardinaux. Peut servir par exemple à signaler un danger.
  • carenage : action de caréner, sortir un bateau hors de l'eau, pour le réparer, le nettoyer, le repeindre...
  • carré : partie initialement réservée aux officiers sur les grands navires. Aujourd'hui, ce terme désigne la partie habitable d'un bateau et plus particulièrement le coin des repas.
  • carte de circulation : ce titre de navigation correspond à la "carte grise" automobile qui certifie la conformité technique du bateau.
  • cat-boat : petit voilier à un seul mât pourvu d'une unique grande voile.
  • catamaran : bateau à deux coques séparées reliées par une structure.
  • cavitation : phénomène de perturbation des filets d'eau sur l'hélice. La cavitation induit des vibrations, une érosion des pales et une perte de rendement.
  • certificat international de bateau de plaisance : également appelé CIBP il est délivré à tous les bateaux ayant une longueur inférieure à 15 mètres. Le CIBP précise le numéro d’inscription ou d’immatriculation et vaut titre de navigation pour circuler à l’étranger sans autre formalité.
  • chaise (de moteur) : structure renforcée supportant un moteur in-bord ou permettant la fixation d'un moteur hors-bord.
  • chandelier : barre métallique fixée verticalement sur le bord du pont et sur laquelle court un câble ou un cordage faisant office de rambarde ou de garde corps.
  • chapeau : zone triangulaire permettant de localiser la position d'un bateau lorsqu'on fait le point avec trois relèvements, le bateau devant se trouver à l'intérieur du triangle.
  • chariot de renvoi d'écoute : poulie sur rail permettant de modifier la position des cordages (écoutes) nécessaires à la manoeuvre des voiles.
  • chaumard : est une pièce d'accastillage solidaire de l'étrave par où l'on passe les amarres
  • cigarette : constructeur italien de bateaux à moteur.
  • cintrage : courbure en principe légère du mât dans le sens longitudinal vers l'arrière sous l'effet de la tension de la voile ou du haubanage (cf. flamber).
  • cockpit : espace du bateau où se tient généralement le barreur et l'équipage.
  • commission de surveillance : elle a pour mission de procéder à l'immatriculation ou l'inscription des bateaux fluviaux, d'établir les permis de navigation des bateaux fluviaux, de renseigner sur les prescriptions techniques de sécurité applicables à chaque catégorie de bateau, d'informer sur les certificats de capacité de conduite des bateaux et de délivrer ces certificats.
  • compas : instrument de mesure qui donne le cap magnétique du bateau. Dans le compas, les graduations sont mobiles.
  • compas de relèvement : sorte de boussole marine permettant, grâce à une visée, de connaître la valeur de l'angle existant entre la direction de la visée et le nord magnétique.
  • contre rotation : mouvement inversé des deux hélices d'un bateau bimoteur annulant l'effet de couple.
  • contre-moulage : pièce en stratifié de polyester, placée à l'intérieur de la coque pour en assurer la rigidité.
  • coque moussée : coque dont les réserves de flottabilité sont injectées de mousse expansée à cellules fermées, ayant pour but son insubmersibilité.
  • coque ouverte : bateau non ponté et sans cabine, dont le poste de pilotage est placé sur une console centrale ou latérale.
  • corps mort : ancrage constitué d'une bouée en surface fixée au fond par une chaîne à un poids important (exemple : un bloc de ciment) auquel un bateau peut s'accrocher.
  • couple : amarrage d'un bateau parallèlement à un ponton ou à un autre bateau.
  • coursive : terme désignant tous les couloirs à bord d'un bateau.
  • croissant de bôme : pièce métallique pouvant coulisser autour de la bôme et solidaire du palan de l'écoute de grand-voile.
  • cuddy-cabine : bateau ressemblant à un grand runabout ou à un dinghy et doté d'une petite cabine.
  • curseur : sorte de chariot se déplaçant sur la barre d'écoute et permettant de modifier la direction de la traction de l'écoute de grand-voile.
  • dalot : petite ouverture pratiquée dans le pavois ou le tableau, pour que l'eau de pluie qui ruisselle sur le pont s'évacue.
  • dame de nage : creux pratiqué sur le bord d'un bateau (annexe) pour y encastrer l'aviron ou cheville de fer servant à le retenir.
  • davier : pièce d'accastillage située à l'avant du bateau par où passe la chaîne d'ancre.
  • day-cruiser : bateau de moins de 8 mètres comprenant une petite cabine qui contient un minimum d'équipement (coin cuisine, couchette double...).
  • deck-boat : bateau d'origine américaine d'une taille généralement comprise entre 5 et 8 mètres, caractérisé par un pont ouvert quasi rectangulaire et un poste de pilotage souvent décentré. Conçu principalement pour les eaux abritées, il se destine à un programme de loisirs polyvalents et peut être motorisé aussi bien en hors-bord qu'en in-bord.
  • déclinaison : angle existant entre le nord magnétique et le nord vrai. La déclinaison est fonction des attractions magnétiques et varie chaque année.
  • défense : nom usuel donné au pare-battage pour amortir les chocs sur les flans de la coque.
  • déflexion : phénomène de rejet des embruns sur les côtés du bateau au passage de la carène dans les vagues et permettant de garder les passagers au sec.
  • déjaugeage : phénomène de sustentation d'une carène sous l'effet de la vitesse au dessus de la ligne de flottaison (planning, surf, coque planante).
  • delphinière : sorte de plateforme installée dans le prolongement de l'avant du bateau pour observer les dauphins.
  • dépression : zone de basses pressions.
  • dérive : partie immergée dépassant de la coque en profondeur, pouvant être relevée, et destinée à s'opposer aux forces transversales générant une dérive (dériveurs, dériveurs lestés, planche à voile, bateaux à quille basculante, voiliers hollandais).
  • dessaler : synonyme de chavirer.
  • déventer : abriter du vent.
  • déviation : valeur de l'angle existant entre la lecture d'un compas juste et celle d'un compas faussé par diverses attractions magnétiques s'exerçant à proximité.
  • dinghy : petite coque planante propulsée par un hors-bord.
  • dormant : partie fixes du gréément.
  • double rotation : système de deux hélices qui tournent en sens contraire sur un même axe afin d'éviter l'effet de couple, le bateau ayant habituellement tendance à tirer du côté où l'hélice tourne.
  • draille : (aussi appelé bas-étai), étai (câble) d'acier renforçant le mât de la mi-hauteur à l'étrave, il sert aussi à établir la trinquette.
  • drisse : élément du gréement courant, servant à hisser ou affaler une voile.
  • duoprop (moteur) : nom donné à la double rotation par Volvo (plus exactement par le motoriste Volvo Penta) son inventeur.
  • échelle de Beaufort : échelle utilisée pour mesurer la force du vent, graduée de 0 à 12° inventée par un amiral britannique.
  • echouage : manœuvre consistant à échouer volontairement un bateau pour faire escale dans une anse ou caréner le bateau par exemple.
  • echouement : échouage involontaire.
  • echouer : conduire par l'avant un bateau sur une plage afin de débarquer (couramment et improprement remplacé par l'anglicisme beacher).
  • écope : récipient muni d'une poignée et servant à vider l'eau accumulée dans les petites embarcations.
  • écoute : bout (cordage) servant à régler l'angle d'une voile par rapport au vent.
  • écubier : trou pratiqué dans la coque ou dans les pavois pour le passage des aussières.
  • effort sur une voile : qui est le mécanisme de poussée par le vent sur la voile.
  • embase : partie immergée de la transmission d'un moteur in-bord Z-drive ou hors-bord supportant l'hélice.
  • embraquer : tirer fortement un cordage.
  • empanner : changer d'amure vent arrière. On emploie aussi le terme "virer lof pour lof".
  • enfourner : enfoncer la proue et l'avant du pont sous l'eau.
  • engagement : on dit qu'il y a engagement lorsque l'avant d'un voilier a dépassé l'arrière d'un autre voilier. Terme de régate.
  • engins de plage : les embarcations dont la longueur de coque est inférieure à 2,50 mètres ; Les embarcations mues exclusivement par l'énergie humaine énumérées ci-dessous : Les embarcations dont les caractéristiques sont les suivantes : - soit une longueur de coque inférieure à 4 mètres ; - soit une largeur de coque inférieure à 0,45 mètre. En cas d'embarcation multicoque, la largeur mentionnée ci-dessus est obtenue par l'addition de la largeur de la coque principale et du ou des flotteurs latéraux, à condition que ces derniers aient une longueur égale ou supérieure à 1,5 mètre. Cette largeur doit être inférieure à 0,40 mètre. En outre, les embarcations propulsées au moyen d'avirons, dont la largeur de coque est inférieure à 1 mètre, sont considérées comme des engins de plage lorsque le ratio L/l est supérieur à 10 (L étant la longueur et l la largeur). Les embarcations gonflables.
  • épisser : tresser un cordage avec un autre.
  • épontille : colonne verticale (bois, fer...) soutenant le pont.
  • équipet : planche fixée au mur de la cabine servant au rangement des petites affaires.
  • équipage : ensemble des personnes embarquées à bord du bateau pour en assurer les manoeuvres.
  • estime : navigation en évaluant la position vraisemblable du voilier à tout instant en tenant compte de sa vitesse, des courants, de la dérive et éventuellement des changements de cap.
  • étai : élément du gréement, soutenant le mât sur l'avant, fait partie des manœuvres dormantes.
  • étalingure : brêlage de cordage entre le puits et la chaîne destiné à être coupé en cas d'urgence.
  • étarquer : action de tendre fortement un bout.
  • étrave : partie avant du voilier.
  • fardage : tôles en saillie anti-chute à l'avant du bateau, prolongeant l'étrave en hauteur. C'est généralement sur les fargues que le marinier inscrit en gros la devise de son bateau. En maritime, c'est le pavois.
  • fargue : superstructure d'un navire au dessus de la ligne de flottaison. Cela provoque de la prise au vent. Les unités à grande partie émergée et à superstructures très hautes sur l'eau sont handicapées par leur fardage lors des manœuvres au port par fort vent de travers.
  • faseyement : flotter, battre au vent, en parlant de voile.
  • faseyer : flotter, battre au vent en parlant d'une voile.
  • ferler : action de plier une voile (ferler la GV sur la bôme)
  • ferrite : partie supérieure du radiogoniomètre.
  • filière : cordage de sécurité tendu horizontalement auquel l'équipage peut s'accrocher en cas de grosse mer.
  • filoir : guide dans lequel coulissent les écoutes de foc ou de spinnaker.
  • fishing : terme d'origine américaine désignant un bateau destiné à la pêche au gros, plus grand et plus puissant que les pêche-promenade.
  • flamber : un mât ou tout autre espar est flambé quand il est tordu sous l'action des forces s'exerçant sur lui (cintrage).
  • flèche : partie supérieur du mât au dessus des barres de flèche.
  • flot : marée montante.
  • fly-bridge : partie aménagée sur le toit de la cabine de certaines vedettes et abritant un poste de pilotage annexe ou principal. Plus couramment appelé fly, il porte parfois le nom de sedan.
  • foc : voile située en avant du mât.
  • focquier : équipier chargé de la manoeuvre du foc.
  • force (du vent) : voir échelle Beaufort.
  • franc-bord : hauteur entre la surface de l'eau et le niveau du pont. Ce terme désigne aussi par extension les côtés de la coque.
  • frégate : se dit d'une coque plus large au niveau de la flottaison qu'au niveau du pont ou du plat-bord.
  • fuite : allure de sauvegarde au portant pour étaler le mauvais temps.
  • gaffe : espar ou longue perche en bois ou en aluminium, munie d'un crochet, notamment utilisé(e) lors des manoeuvres pour attraper une ligne de mouillage ou une bouée.
  • galhauban : filin servant à tenir les mâts permettant de raidir la partie supérieure d'un mât sur les côtés et vers l'arrière.
  • garcette : cordage fin pouvant servir à modifier la surface de la grand-voile.
  • gaz de commande ou manette de gaz : Accélérateur à main qui parfois sert aussi d'inverseur.
  • gel-coat : résine synthétique utilisée dans l'habillage des coques.
  • génois : foc avec un recouvrement important de la grand-voile (point d'écoute en arrière du mât). La taille et le grammage du génois peuvent être très variable pour un même voilier (Code 0, génois lourd, médium, léger...) ou souvent modèle unique sur enrouleur (GSE).
  • girouette : plaque mobile autour d'un axe vertical servant à indiquer la direction du vent reçu par un voilier. La girouette est placée en haut du mât.
  • gîte : inclinaison latérale du bateau sous l'effet du vent ou d'un mauvais équilibrage des masses embarquées.
  • godille : aviron qui se manipule depuis l'arrière du bateau, en faisant un mouvement en huit. La godille permet à un marin seul de déplacer une embarcation, même assez lourde. Sur un voilier bien équipé, elle peut aussi servir à rentrer au port sans voile ni moteur, en général sous le regard admiratif des connaisseurs.
  • gouvernail : pièce immergée à l'arrière d'un bateau qui modifie, selon son orientation, la trajectoire de celui-ci. Cet élément se trouve uniquement sur les bateaux à moteur équipés d'une transmission en ligne d'arbre.
  • gouvernail : dispositif mobile destiné au contrôle directionnel d'un bateau et plus généralement de tout engin se déplaçant sur ou dans l'eau.
  • GPS : abréviation de Global Positionning System, mode de positionnement par satellite mis au point par le département de la Défense des Etats-Unis. Il indique la longitude, la latitude, l'altitude et la vitesse des déplacements.
  • grand foc : un des focs porté par des voiliers à plusieurs étais.
  • grand-voile : voile principale du navire, hissée à l'arrière du grand mât, dont la forme a beaucoup évolué au cours de l'histoire de la voile.
  • grappin : petite ancre.
  • gréement : ensemble des mâts, étais et voiles d'un voilier.
  • guide de mouillage : renfort situé à l'avant d'un bateau pneumatique, dans le prolongement de la baille à mouillage, et servant à protéger le boudin contre les frottements de la chaîne.
  • guindeau : treuil, manuel ou électrique, le plus souvent placé sur la plage avant avec un axe horizontal ou vertical, qui permet de manœuvrer la chaîne et les lignes de mouillage.
  • hale-bas : fait partie des manœuvres courantes, le plus souvent un palan, tirant la bôme vers le bas, généralement fixé au pied du mât.
  • haler : tirer sur un câble
  • hard top : toit en polyester recouvrant le poste de pilotage et une partie du cockpit sur certaines vedettes ou certains voiliers.
  • harnais de sécurité : sorte de ceinture que l'on porte de nuit ou lorsque le temps se gâte. Elle est reliée au voilier par un cordage et évite ainsi de tomber à l'eau.
  • hauban : élément du gréement dormant d'un voilier, soutenant un mât latéralement.
  • hélice de surface : hélice qui fonctionne à demi immergée, souvent utilisée sur les offshores.
  • hiloire : partie supérieure des flancs d'un cockpit.
  • hisser : action de monter une voile, une charge. En ancien français « Ysser » ou « inse ». Hisser vient très probablement du vieux norrois « hoist » ; on le retrouve dans le néerlandais « hijsen », le norvégien « heise » ou le suédois « hissa ».
  • homologation : certification des aptitudes d'un bateau à naviguer en fonction des différentes conditions de mer, exprimée en catégorie de conception (A, B, C et D) pour un nombre de passagers donné.
  • hors-bord : moteur monté sur le tableau arrière d'un bateau. Il est par définition plus facile à monter et à démonter qu'un moteur in-bord. Par extension, il s'agit d'une coque équipée de ce type de moteur.
  • hublot : ouverture vitrée pratiquée dans la coque.
  • hydrofoil : patins placés sous la coque, au niveau de l'embase moteur, sur lesquels le bateau prend appui avec la vitesse et qui permettent un déjaugeage plus rapide.
  • hydrojet : mode de propulsion par turbine, qui aspire l'eau vers le centre de la carène et la rejette avec force vers l'arrière.
  • hypalon : tissu enduit de caoutchouc de synthèse au recto et de néoprène au verso.
  • immarsat : abréviation International Maritime Satellite Organization. C'est un système de communication international par satellite possédant trois standards plus ou moins performants et onéreux.
  • in bord : moteur installé à l'intérieur de la coque d'un bateau.
  • in-haler : manœuvre permettant de haler le point d'écoute du génois (ou du foc) vers l'intérieur, au moyen d'un anneau fixé sur un cordage et coulissant autour de l'écoute.
  • inshore : bateau de course pour les rivières et les plans d'eau intérieurs.
  • insubmersible : qui ne peut couler.
  • inverseur : sorte de boîte de vitesses à trois rapports : avant, point mort, arrière. L'inverseur s'actionne avec une manette couplée à celle des gaz et sert à ralentir le bateau à moteur.
  • jauge : règle graduée servant à évaluer la contenance d'un bateau, autrement dit son tonnage, son unité de mesure qui est le tonneau.
  • jet : engin à moteur équipé d'une propulsion par hydrojet, pouvant se conduire debout ou assis selon le type de machine. On les appelle aussi jet-skis, employant ainsi le nom qui fut donné aux premiers modèles par leur fabricant Kawasaki.
  • jupe : prolongement de la coque arrière du bateau juste au dessus de la surface de l'eau formant une sorte de marche pied.
  • jusant : se rapporte aux courants générés par la marée descendante.
  • ketch : voilier à deux mâts, dont le grand mât est situé à l'avant et le plus petit, appelé mât d'artimon, est sur l'arrière mais en avant de la mèche de safran.
  • kit camping : toile que l'on dispose sur le bateau de façon à recouvrir le pont et à former un abri semblable à une tente afin de pouvoir passer quelques nuits à bord.
  • kitesurf : le kitesurf est un sport de traction qui se pratique sur l'eau. Sport nautique à part entière, parfois appelé fly surf ou seulement kite (kite signifie en anglais cerf-volant), il consiste à être tracté par un cerf-volant, appelé aile, et à glisser sur une planche de surf de taille souvent réduite.
  • laize : nom des bandes de toile qui sont cousues ensemble et qui forment la voile.
  • largue : vent venant sensiblement de travers par rapport à la route d'un voilier. C'est une allure portante.
  • larguer : terme employé par les marins pour dire "lâcher", détacher, laisser filer un cordage ou une manoeuvre.
  • latéral : système de balisage indiquant de quel côté un navire, venant du large et entrant dans le port, doit laisser les marques qu'il rencontre.
  • latte : morceau de bois ou de plastique que l'on introduit dans un fourreau de la grand-voile pour raidir sa partie arrière et l'empêcher de battre.
  • learning-post : élément placé derrière la console permettant de piloter en position debout avec un appui fessier.
  • lift : mécanisme fréquemment utilisé sur les bateaux de course, qui permet de faire varier la hauteur d'un hors-bord en navigation afin d'augmenter ses performances (le lift s'installe entre le tableau du bateau et le moteur hors-bord).
  • ligne de flottaison : ligne de séparation entre la partie immergée et la partie émergée de la coque, donc entre les oeuvres vives et les oeuvres mortes.
  • ligne de sonde : courbes indiquant les hauteurs d'eau sur la carte.
  • liston : angle entre la coque et le pont. Par extension, il s'agit de la baguette de protection recouvrant cet angle.
  • loch : instrument permettant de mesurer la vitesse d'un voilier ou la distance parcourue.
  • lofer : rapprocher l'axe du bateau du lit du vent. Le contraire est abattre.
  • longueur de coque : longueur de la coque seule.
  • longueur hors tout : longueur totale du bateau, mesurée sans que plus rien ne dépasse, et qui comprend donc les accessoires, la plage de bain, la delphinière...
  • louvoyer : action de virer successivement de bord du près au près dans le but de remonter au vent.
  • lover : enrouler un cordage en faisant des spires.
  • main courante : barre en métal ou en bois, placée de part et d'autre d'une échelle, au-dessus d'un pare-brise, le long des passavants. D'une manière générale, il s'agit de toute poignée permettant de se tenir à bord d'un bateau.
  • maître bau : largeur maximale d'un bateau.
  • manille : anneau susceptible d'être ouvert à une extrémité et servant à relier deux pièces, le plus souvent métallique.
  • mariniser : adapter à l'eau de mer.
  • marnage : différence de niveau entre une pleine mer et une basse mer successives.
  • marsouiner : être animé d'un mouvement de tangage rappelant les sauts hors de l'eau des marsouins.
  • mât : vis de la manille.
  • mât d'artimon : mât arrière du ketch.
  • matosser : action de déplacer le matériel du bord (y.c. les voiles) au vent afin d'augmenter le couple de rappel (et la performance du voilier).
  • mèche : axe de rotation du safran, placé derrière la coque ou traversant parfois celle-ci dans la jaunière.
  • membrure : ensemble des éléments de charpente transversale d'une coque en bois. C'est la cage thoracique de la coque.
  • mid-cabine : cabine secondaire située sous le poste de pilotage et abritant un couchage simple ou double.
  • mille nautique : unité de mesure des distances en mer. Un mille nautique représente 1,852 kilomètre. Il ne faut pas le confondre avec son homonyme, le mille terrestre, une unité de mesure anglo-saxonne qui est égale à 1,609 kilomètre.
  • monocoque : bateau ne possédant qu'une seule coque, par opposition au catamaran (deux coques couplées) ou au trimaran (trois coques).
  • mortes-eaux : marées ayant un faible coefficient.
  • motor-yacht : bateau à moteur de plus de 15 mètres doté d'un équipement luxueux et d'une motorisation puissante.
  • mou : se dit d'un bateau qui a tendance à abattre.
  • moufle : (« muffula » en latin médiéval) est un dispositif mécanique qui permet le levage d'une charge par plusieurs brins de câble ou filin, afin de démultiplier l'effort de traction.
  • mouillage : emplacement ou situation d'un bateau immobilisé sur son ancre. Il s'agit aussi de l'ensemble même du matériel de mouillage (apparaux) comprenant l'ancre, la chaîne, la ligne textile ...
  • mouille : bateau ancré.
  • moustaches : sortes de haubans, câbles ou chaînes, tenant latéralement le bout-dehors.
  • nable : trou circulaire pratiqué dans la coque, le cockpit ou le pont pour vidanger l'eau entrée dans le fond du bateau.
  • nord magnétique : nord indiqué par une boussole ou un compas.
  • nord vrai : nord des cartes, parallèle aux méridiens.
  • nordet : vent de nord-est.
  • nordoit : vent de nord-ouest.
  • nourrice : réservoir autonome des moteurs hors-bord.
  • nœud : le nœud est une unité de mesure de la vitesse utilisée en navigation maritime (et aérienne). Un nœud correspond à un mille marin par heure, soit 1,852 kilomètre par heure.
  • oeuvres mortes : Ensemble des parties du bateau situtées au-dessus de la ligne de flottaison.
  • oeuvres vives : Ensemble des parties du bateau situées sous la ligne de flottaison.
  • offshore : Bateau de course en mer et, par extension, bateau de plaisance capable de dépasser 50 noeuds. L'offshore se caractérise par une coque très longue et fine ainsi que par des moteurs surpuissants.
  • orin : œillet permettant de frapper un bout sur une ancre. Lorsque l'ancre est bloquée, le bout, généralement muni d'un flotteur pour permettre de le retrouver facilement, permet de tirer sur l'ancre pour la dégager. Dans le langage populaire le terme orin désigne généralement le bout lui-même.
  • palan : cordage monté avec des poulies permettant la multiplication de la force de traction manuelle par le nombre de brains du palan.
  • pale : c'est une des ailes d'une hélice.
  • pare-battage : objet suspendu le long du quai ou de la coque pour amortir les chocs afin de protéger la coque.
  • pas : déplacement longitudinal qu'une hélice parcourt en un tour. Il existe un pas théorique (gravé sur l'hélice) et un pas réel, qui représente la distance réellement parcourue.
  • passavant : passage qui, situé sur les côtés du rouf, permet de circuler entre l'arrière et l'avant du pont.
  • passerelle de débarquement : Planche qui réunit le quai au bateau pour en faciliter la montée ou la descente.
  • pataras : élément du gréement dormant d'un voilier, simple ou double, soutenant le mât (depuis son sommet) sur l'arrière.
  • pavois : partie verticale de la coque qui dépasse du pont pour former un garde-fou, située en général sur la plage avant des grandes unités, mais pouvant aussi ceinturer tout le pont.
  • pêche-promenade : coque semi-planante, souvent équipée d'une petite cabine, et principalement conçue pour la pêche côtière.
  • pétole : absence de vent et mer étale.
  • pied : unité anglaise de longueur, couramment utilisée pour indiquer les dimensions d'un bateau. Un pied est divisé en 12 pouces et il correspond à 30.48 centimètres.
  • pinoche : morceau de bois tendre qui sert à boucher un trou circulaire dans une coque, à obturer une fuite de réservoir ou de vanne, ou encore à obstruer une durite.
  • plage de bain : plateforme placée à l'arrière du bateau, le plus près possible de l'eau pour faciliter la baignade et la remontée à bord.
  • plaque antiventilation : plaque située au-dessus de l'hélice pour éviter la ventilation. Elle est parfois improprement appelée plaque anticavitation.
  • plat-bord : rebord qui ceinture le pont.
  • pneumatique : unité constituée d'un boudin gonflable en forme de U et d'une carène gonflable (à "fond souple") ou rigide ("semi-rigide"). Ce bateau est couramment appelé pneu et improprement Zodiac, du nom du constructeur.
  • poignée de portage : poignée disposée le long des flotteurs d'un pneumatique, à l'extérieur, pour le porter ou le hisser sur la plage.
  • point : déterminer la position d'un bateau sur la carte. Les trois angles d'une voile triangulaire : point d'amure, point d'écoute, point de drisse.
  • polyuréthane : tissu enduit de polyuréthane, appelé communément PU pour les bateaux pneumatiques.
  • pompe de cale : dispositif servant à vider l'eau embarquée à l'intérieur de la cale.
  • pont : plate-forme raidie par des éléments de structure longitudinaux et transversaux, généralement placés en dessous, construite pour empêcher l'envahissement de l'eau dans le navire et/ou supporter les charges à transporter ; comparable au plancher ou étage dans un bâtiment.
  • port à sec : le port à sec est une solution de parking des bateaux à terre. Voir aussi hivernage.
  • pouce : unité de longueur anglo-saxonne équivalant à 2,54 centimètres.
  • poupe : partie arrière d'un bateau.
  • poussée vélique : force perpendiculaire exercée par le vent sur la voile quel que soit son angle d'attaque.
  • prao : pirogue à balancier originaire d'Océanie, ancêtre des multicoques.
  • prélart : housse qui protège, entre autres, les sièges et les instruments des intempéries
  • près : allure pour un voilier qui remonte au vent.
  • presse : sorte de joint assurant l'étanchéité au niveau du trou de passage de l'arbre d'hélice à travers la carène.
  • propulseur d'étrave : hélice placée à l'avant des grosses unités perpendiculairement à l'axe de la coque. Cette hélice est notamment utilisée pour les manoeuvres de port.
  • proue : avant du bateau. 
  • puits à chaine : logement de la chaîne d'ancre.
  • puits de dérive : logement dans la coque permettant de faire coulisser un plan anti-dérive verticalement en empêchant les entrées d'eau (dériveurs, dériveurs lestés, planche à voile, bateaux à quille basculante).
  • PVC : tissu enduit au recto et au verso de polychlorure de vinyle.
  • quartier maritime : un quartier maritime était le nom donné aux services déconcentrés de l'Etat placés sous l'autorité du ministre chargé de la mer. Le port d'attache est indiqué sur l'acte de francisation. Il correspond à un des quartiers des affaires maritimes.
  • quête : angle inférieur à 90° formé par le mât et la ligne de flottaison. Dans le plan longitudinal du voilier, c'est l'angle d'inclinaison du mât vers sa poupe (quête positive) ou plus rarement vers la proue (quête négative)
  • quillard : voilier monocoque muni d'une quille.
  • quille : partie sous le bateau faisant office de contre-poids (grâce au lest) et de plan anti-dérive (quille fixe). La quille peut-être pivotante latéralement pour augmenter le couple de rappel. Dans ce cas, des dérives sont intégrées au bateau. La quille peut aussi être relevable verticalement sur certains voiliers.
  • radar : appareil électronique de détection pour le repérage en mer.
  • radiogoniomètre : récepteur radio placé à bord d'un voilier et permettant de faire le point en déterminant la direction des radiophares qui émettent des radiosignaux dont les indicatifs et les fréquences sont connus.
  • ragage : frottement d'un cordage sur un objet provoquant une usure.
  • rappel : action pour l'équipage de se porter au vent pour augmenter le couple de redressement : se coucher sur le pont, s'assoir au vent, les jambes à l'extérieur... Différents moyens peuvent être utilisés pour augmenter encore le rappel (planche, sangle, trapèze). Les règles de course définissent les formes de rappel utilisables.
  • rapporteur breton : instrument combinant et remplaçant la règle et le rapporteur ; il permet de porter un relèvement sur la carte.
  • raquetter : tendance d'une embarcation planante à ricocher d'un bord à l'autre à vive allure.
  • réa : (mot masculin) c'est la partie mobile de la poulie autour de laquelle vient tourner le bout.
  • reflux : marée descendante.
  • refuser : rotation défavorable du vent de l’arrière vers l'avant. Le contraire est adonner. ·
  • règle auto-cap : instrument similaire au Rapporteur breton. ·
  • relèvement : détermination de l'angle existant entre le nord et la direction de la visée d'un amer.
  • renflouer : remettre à flot un bateau échoué ou coulé.
  • ridoir : ensemble de pièces métalliques permettant de tendre un câble (étai, haubant, bas-hauban, pataras...).
  • ris : système pour diminuer la surface d’une voile, par plis.
  • risée : augmentation soudaine de la force du vent.
  • rocambeau : pièce mobile coulissant sur le bout'hors sur laquelle on amure le foc (gréements traditionnels)
  • roll bar : arceau en polyester ou en inox placé à l'arrière du bateau et destiné à recevoir les feux, les antennes...
  • rotation : mouvement de l'hélice.
  • rouf : forme francisée du mot anglais "roof". Superstructure sur le pont d'un navire qui correspond au "toit" de la cabine. ·
  • rouleau : enrouler la partie inférieure de la grand-voile autour de la bôme pour diminuer sa surface.
  • roulis : mouvement oscillatoire transversal du bateau. Voir aussi tangage.
  • runabout : bateau de moins de 9 mètres, à la ligne sportive et propulsé par un moteur in bord. Son avant peut être ponté, mais il présente le plus souvent un espace ouvert en bow rider.
  • safran : partie immergée et pivotante du gouvernail permettant d'orienter le bateau. ·
  • saisine : cordage, ou poignée, généralement fixé sur le dessus des boudins d'un pneumatique, permettant essentiellement de se tenir en navigation. ·
  • sancir : chavirage du bateau cul par-dessus tête, la proue s'enfonçant profondément dans l'eau au-delà du point d'équilibre si bien que la coque se retourne complètement. Cela arrive surtout aux multi-coques par fort vent arrière.
  • sandwich : se dit d'un matériau composé d'une partie interne légère et de deux peaux plus résistantes. Léger et solide, ce matériau est très utilisé dans les constructions navales.
  • sangle : tresse de textile dans lesquelles se calent les pieds de l'équipier d'un dériveur sorti au rappel pour limiter la gîte.
  • saute-vent : petit pare-brise.
  • sedan : voir le mot fly-bridge.
  • siège jockey : siège sur lequel on s'assoit à califourchon.
  • sillage : trace laissée dans l'eau par un corps en mouvement, un bateau ou un skieur par exemple.
  • skipper : désigne la personne qui dirige à bord. Aussi appelé barreur lorsqu'il s'agit d'un voilier ou commandant pour un bateau moteur.
  • slopp : voilier ayant un seul mât.
  • sonde : instrument permettant de connaître la hauteur d'eau sous le bateau à un moment donné.
  • souquer : serrer fort un noeud, un cordage.
  • sous le vent : position d'un objet sur un bateau se trouvant du côté opposé au lit du vent.
  • sous-barbe : câble ou chaîne maintenant le bout-dehors dans l'axe du navire et horizontalement.
  • speedomètre : appareil qui mesure la vitesse d'un bateau. Souvent contracté en "speedo".
  • spi : diminutif de " spinnaker ", grande voile envoyée tout à l'avant du voilier pour augmenter significativement la surface de voilure sous allure portante. En course, les solitaires gardent le spi au-delà de 30 nœuds de vent.
  • stick : rallonge articulée de la barre de gouvernail.
  • sun deck : bateau à moteur de 5 à 9 mètres de long à mi-chemin entre un open et un cabin-cruiser. Il abrite une petite cabine et se caractérise par un rouf plat et surélevé, destiné à recevoir un bain de soleil.
  • t-top : structure tubulaire, souvent en inox, recouverte d'un toit en polyester ou en toile, ayant pour rôle d'abriter la console de pilotage.
  • tableau arrière : partie verticale de la coque visible à l'arrière du bateau sur laquelle se fixe notamment le moteur hors-bord.
  • talon : extrémité arrière de la quille.
  • talonner : un bateau talonne lorsque sa quille touche le fond de la mer.
  • tangage : mouvement oscillatoire longitudinal.
  • tangon : espar utilisé pour tenir écartée une voile (foc, trinquette, spi).
  • taquet : pièce fixée au point pour amarrer un cordage courant (une amarre par exemple).
  • taud : toile en plastique ou en textile tendue au-dessus du pont.
  • tête : le sommet du mât, son extrémité supérieure.
  • timonerie : poste de pilotage fermé pouvant également abriter des éléments de confort comme un salon ou une cuisine.
  • timonier : bateau équipé d'une timonerie. Bateau de pêche-promenade équipé d'une petite cabine rectangulaire, réplique de la configuration d'un chalutier.
  • tirant d'air : hauteur entre la ligne de flottaison et le point le plus élevé du bateau.
  • tirant d'eau : hauteur entre la surface de l'eau et le point le plus bas du bateau.
  • tire-veille : câble permettant par exemple de transmettre les mouvements de la barre au gouvernail ou de hisser le mât et la voile hors de l'eau.
  • tirer un bord : faire route en effectuant des virements de bord pour se rendre vers un point situé au vent.
  • titre de navigation : la francisation est une formalité douanière, certifiant la nationalité française et la propriété du navire. Elle concerne les navires de plaisance dont la longueur de coque est supérieure à 7 mètres (ou moins de 7 m si le navire doit se rendre dans les eaux territoriales étrangères).
  • tolet : cheville de fer ou de bois, fixée dans le plat-bord et servant de point d'appui à l'aviron. ·
  • ton : tête du mat recevant hauban et étais. 
  • tonnage : jauge d'un bateau exprimée en tonneau.
  • tonneau : unité de volume de 10 pieds cube. Par extension, unité de calcul de la jauge d'un bateau dans laquelle entrent de nombreux paramètres. C'est le volume du bateau qui est exprimé en tonneau.
  • toucher : se dit lorsque la quille entre en contact avec le fond de la mer mais sans choc violent.
  • touline : filin se terminant par une petite boule de cordage tissée appelée la pomme de touline. Servant à lester un filin, celle-ci est lancée sur le quai depuis le bord des gros bateaux et sert par la suite à s'amarrer.
  • tourmentin : petit foc très robuste utilisé dans le mauvais temps. Souvent de couleur orange.
  • traînards : aussières utilisées en les filant par l'arrière à l'allure de fuite.
  • trapèze : système composé d'un harnais comportant un crochet sur lequel on attache un câble frappé au mât permettant de sortir au vent d'un dériveur, debout et les pieds sur les listons afin de faire un rappel plus efficace.
  • trawler : bateau à moteur orienté vers le voyage au long cours. Habitable et confortable, il s'avère un peu gourmand en carburant et possède d'indéniables qualités marines. Sa coque à déplacement en fait une unité peu rapide.
  • tribord : le côté droit, en regardant vers l'avant.
  • trinquette : voile établie sur le bas-étai.
  • trolling valve : système de vannes qui permet de doser la vitesse du bateau en jouant sur la pression d'huile d'embrayage. Prisé des pêcheurs, il permet d'obtenir une vitesse de traîne très faible.
  • tulipée : se dit d'une étrave pincée aux bords très évasés.
  • tuna tower : tour métallique adaptée sur les gros fishings et installée au-dessus du fly-bridge, permettant de repérer les bancs de poisson.
  • v de traction : appelé aussi "triangle", il s'agit d'une corde de traction à l'usage des sports nautiques et munie de deux points de fixation permettant de contourner un moteur hors-bord.
  • v évolutif : forme de carène présentant un V prononcé à l'étrave s'évasant sur l'arrière, permettant ainsi d'allier un passage confortable dans les vagues et de bonnes performances.
  • vaigrage : revêtement intérieur d'un bateau.
  • vaigre : bateau habitable de 9 à 15 mètres de longueur, orienté vers la croisière, doté d'une carène planante ou semi-planante et motorisé avec un ou deux in-bord.
  • vedette : bateau habitable de 9 à 15 mètres de longueur, orienté vers la croisière, doté d'une carène planante ou semi-planante et motorisé avec un ou deux in-bord.
  • vedette à fly : vedette possédant un second poste de pilotage à l'extérieur, en hauteur.
  • vedette open : vedette généralement rapide présentant un cockpit complètement ouvert ou coiffé d'un hard-top.
  • vent : déplacement d'une masse d'air provoqué par une différence de pression.
  • vent arrière : vent venant de l'arrière du bateau.
  • vent de travers : vent venant par le travers du bateau.
  • ventilation : phénomène de brassage d'eau et d'air au niveau de l'embase du moteur qui engendre un défaut caractéristique de motricité.
  • vhf : abréviation de Very High Frequency ("très haute fréquence"). Nom donné à un système de communication qui utilise des ondes métriques et qui s'adapte particulièrement à la navigation côtière. Ce système possède entre autres un canal de sécurité (canal 16) qui dispose d'une veille fonctionnant 24 h/24.
  • vide-vite : orifice généralement situé à la base du tableau arrière et dont la fonction est d'évacuer rapidement l'eau embarquée.
  • violons de ris : poulies par lesquelles passent les bosses de ris pour ariser la voilure.
  • virer de bord : changer le côté d'où vient le vent, en passant face au vent.
  • virure : nervure longitudinale s'étendant sur toute la longueur ou sur une partie de la carène.
  • vit-de-mulet : tige métallique qui permet à la bôme de pivoter sur le mât.
  • vives-eaux : marée ayant un fort coefficient.
  • voie d'eau : ouverture accidentelle dans les oeuvres vives de la coque par laquelle l'eau pénètre dans le bateau.
  • walkaround : bateau muni d'un pont plat qui permet de faire le tour de la console de pilotage ou de la cabine.
  • winch : treuil manuel ou électrique pour border des écoutes ou étarquer des drisses (différentes tailles, différents types).
  • wishbone : espar dédoublé passant de chaque côté d'une voile, tendant celle-ci longitudinalement et tenant lieu de bôme sur les planches à voile et certains petits voiliers
  • yacht : le yacht était à l'origine un bateau de plaisance mais ce terme désigne maintenant les unités à voile ou à moteur de plus de 15 mètres (de grandes dimensions et luxueuses).
  • yachting : équivalent anglais de "plaisance".
  • yawl : voilier à deux mâts dont le plus petit à l'arrière, le tapecul est positionné derrière la mèche de safran.
  • youyou : petite embarcation de servitude, synonyme d'annexe.
  • zeus PROJET : nom du système d'embase directionnelle, couplé à un joystick, et développé par le motoriste américain Cummins MerCruiser Diesel.
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116 dictons navals – la liste ultime des dictons nautiques et des termes de navigation.

  • Updated on: 17th septembre 2023
  • Written by Gary Renshaw

La langue évolue avec le temps. En perpétuelle évolution, il adopte des mots et des phrases d’autres langues, voire des expressions argotiques complètement inventées, pour en faire des tournures de phrases courantes. L’anglais existe depuis très longtemps, il s’est donc adapté et a évolué depuis ses débuts historiques jusqu’à la langue que nous utilisons aujourd’hui.

De nombreuses phrases et expressions que nous utilisons tous les jours au XXIe siècle ont une origine nautique qui remonte à l’époque des marins. Il se peut que vous utilisiez déjà nombre d’entre eux dans vos conversations quotidiennes sans en connaître la véritable signification. C’est pourquoi nous avons dressé la liste ultime des dictons navals et des phrases sur la navigation, afin que vous puissiez apprendre l’histoire qui se cache derrière eux. Alors, hissez la grand-voile, mes chers amis, et mettez le cap sur la découverte.

Notre liste complète de dictons et de phrases sur la marine

Un coup de semonce : un coup de semonce, qu’il soit littéral, symbolique ou métaphorique.

Historique : Ce terme maritime désigne le fait de tirer un coup de canon sur la proue d’un navire adverse pour indiquer qu’il est prêt à combattre. Les références à cette expression dans la presse écrite remontent à 1939.

Au-dessus du lot : Se réfère à tout ce qui est visible au vu et au su de tout le monde.

Histoire : Sur un navire de guerre, les objets et l’équipement peuvent être stockés sur le pont ou dans la cale du navire. Un objet stocké ou visible depuis le pont est considéré comme étant gardé à bord.

Tous en mer : Un état de confusion active, de désordre ou de confusion.

Historique : Cette expression provient de la nature de la navigation et était utilisée pour désigner toute situation dans laquelle le navire ne pouvait plus être vu de la terre et risquait de ne jamais revenir.

Aloof : Être dans un état d’indifférence.

Historique : Venant du vieux néerlandais « loef », qui signifie au vent, ce terme était utilisé pour désigner un navire qui naviguait plus au vent et qui se retrouvait séparé du reste de la flotte.

À couteaux tirés : Être dans une situation de litige ou d’argumentation inflexible.

Histoire : Utilisée à l’origine pour sceller la poix ou le goudron dans les joints de pont, la tête de bœuf était également utilisée pour maîtriser les bagarres et autres troubles entre marins.

Un autre jour, un autre dollar : Une tournure de phrase utilisée avec résignation pour faire référence à une activité répétitive et fastidieuse, comme la semaine de travail.

Historique : Cette expression remonte au début du XIXe siècle, lorsque les marins américains étaient payés un dollar pour une journée de travail. Il était utilisé de la même manière qu’aujourd’hui, c’est-à-dire que les marins travaillaient de longues heures dans des conditions épuisantes pour seulement un dollar de plus à leur nom.

N’importe quel port dans la tempête : Proverbe couramment utilisé qui signifie généralement qu’en période de difficultés, toute solution est acceptable, qu’elle soit idéale ou non.

Historique : En mer, les navires sont parfois pris dans des bourbiers ou des tempêtes qui peuvent s’avérer dangereux pour le navire et l’équipage. Dans de tels cas, le navire accoste dans le port le plus proche, qu’il ait eu ou non l’intention de s’y arrêter.

As the Crow F lies : Se réfère à la distance la plus courte entre deux points d’une ligne droite.

Histoire : Cette expression a vu le jour au XVIIIe siècle et faisait référence à l’habitude du corbeau d’emprunter le chemin le plus court possible lorsqu’il est en vol.

At a Loose End : finaliser les détails ou les exigences d’une activité.

Histoire : Ce terme fait référence à la tâche finale du marin, qui consiste à régler les derniers détails pour s’assurer que le navire est prêt et en bon état.

Batten Down the Hatches (fermer les écoutilles ) : sécuriser et faire des préparatifs.

Historique : Cette expression proviendrait de la pratique navale courante consistant à préparer les écoutilles d’un navire en cas de mauvaises conditions météorologiques imminentes. Les écoutilles ont été conçues pour favoriser la circulation de l’air frais sous le pont et ont été fixées à l’aide de lattes de bois et de bâches pour garder les intérieurs secs.

Large au niveau de la poutre : Avoir des hanches ou des fesses larges.

Historique : Ce terme, qui proviendrait du fait que la poutre est le point le plus large d’un navire, est utilisé pour désigner la stature d’un individu depuis le début du 20e siècle.

Bottoms Up : Finir son verre, souvent rapidement.

Historique : Ce terme provient de la pratique courante consistant à inciter les marins anglais à s’engager dans la marine alors qu’ils ne le souhaitaient pas. Le marin était manipulé de manière à ce qu’il « accepte le paiement » de son entrée dans la marine en laissant tomber une pièce de monnaie dans son verre. Une fois l’astuce bien connue, les gens se rappelaient les uns aux autres par l’expression « cul sec » pour vérifier que leur verre ne contenait pas de « paiement » caché.

En général : Se référer à quelque chose de manière générale ou parler de manière générale.

Histoire : À l’époque des marins, le mot « grand » était utilisé pour désigner une situation favorable lorsque le vent était fort et que les plus grandes voiles pouvaient être hissées pour augmenter la vitesse. Ensuite, le terme « par » a été utilisé pour signifier « dans le sens de ». Par conséquent, l’expression « dans l’ensemble » signifiait qu’il fallait se tenir légèrement à l’écart du vent pour faciliter l’influence sur la direction du gouvernail.

Blocage : Être entassé si étroitement qu’il n’y a que très peu de mouvement.

Histoire : Sur les navires de guerre, un « palan » était le nom du mécanisme utilisé pour lever les voiles. Lorsque la voile a été hissée au maximum, les poulies se bloquent et ne peuvent plus bouger.

Santé publique : Être en bonne santé, généralement bien ou en bon état.

Histoire : À l’époque de la navigation maritime, l’une des plus grandes inquiétudes pour un navire en mer était la maladie. Avant le départ, les autorités portuaires signent un document attestant que l’équipage est indemne de toute maladie contagieuse.

Dégager le pont : Se préparer à l’arrivée d’une perturbation telle que le mauvais temps, comme dans l’expression « Batten down the hatches » (fermer les écoutilles).

Histoire : Lorsqu’ils se préparaient à la bataille, les marins devaient retirer du pont tout objet susceptible d’entraver leurs mouvements et de les ralentir.

Proche de la population : Être rassemblé dans un espace restreint.

L’histoire : Comme vous pouvez l’imaginer, l’espace est généralement limité en mer, même à bord des plus grands navires. En conséquence, les quartiers récréatifs dans lesquels les membres de l’équipage passaient leur temps libre et dormaient étaient souvent exigus et surpeuplés.

Fond en cuivre : Authentique, en bon état ou peu susceptible de tomber en panne.

Histoire : Utilisé pour la première fois par la marine britannique au XVIIIe siècle, les navires étaient recouverts d’une couche de cuivre pour protéger les planches de bois des tarets et des bernacles. Il est devenu très populaire lorsqu’il s’est avéré efficace pour protéger la coque du navire et qu’il a augmenté la vitesse et la maniabilité du navire dans l’eau.

Cut and Run : s’enfuir, abandonner quelque chose, laisser quelque chose d’incomplet.

Histoire : Souvent considérée comme faisant référence à la rupture d’une ligne d’ancre, l’expression « couper et courir » fait bien plus probablement référence à la pratique consistant à attacher les voiles d’un navire à gréement carré avec des cordes qui pouvaient être coupées, plutôt que dénouées, si les voiles devaient être hissées à la hâte.

L ‘apparence d’un individu : Se référer de manière négative à l’apparence ou au comportement d’une personne.

Histoire : Les marins utilisaient le terme « coupe » pour désigner la qualité ou l’état de quelque chose comme une voile. Un foc est une sorte de voile qui aide à la manœuvre du navire. Le terme décrit donc la nature ou la qualité du caractère ou de la personnalité d’un individu.

La mort dans l’ âme : Être en état/position de progresser ou de croître.

Histoire : L’origine de cette expression n’est pas très connue, mais on pense qu’elle provient du fait que les poissons morts flottent souvent à la surface, où ils peuvent être facilement vus par les marins sur leurs bateaux.

Livrer un Broadside : S’attaquer l’un à l’autre avec des mots.

Histoire : Au début de la guerre navale, les navires tiraient avec leurs canons sur un seul côté du navire, souvent celui qui faisait face à l’adversaire.

Le diable à payer : Une tâche difficile ou apparemment impossible.

Historique : Cette expression navale fait en fait référence à l’application de poix ou de goudron le long du « diable », la plus longue couture de la coque du navire, qui était connue pour être l’une des pires tâches que l’on pouvait confier à un marin.

Dressing Down : faire l’objet d’une réprimande sévère ou d’une action disciplinaire.

Histoire : Sur un navire, l’action d' »habiller » les voiles consistait à les enduire de goudron ou d’huile afin d’en renouveler la qualité et l’efficacité. Un officier ou un marin qui a commis une infraction et qui a été réprimandé afin de ne pas répéter l’erreur à l’avenir est également appelé à recevoir une « correction ».

Courage hollandais : Courage faux ou téméraire dû à l’état d’ébriété.

Histoire : Au XVe siècle, les Britanniques diffusent une propagande selon laquelle les marins néerlandais sont des lâches et ne peuvent se battre que lorsqu’ils sont intoxiqués par de grandes quantités d’alcool.

116 dictons navals - La liste ultime des dictons nautiques et des termes de navigation 1

Avancer à petits pas : Avancer avec prudence, très lentement.

Histoire : Dans les années 1500, les navires avançaient avec prudence en virant de bord à plusieurs reprises.

Même quille : Maintenir une progression calme et régulière.

Histoire : Sur un navire, la quille aide à maintenir le navire à la verticale et fait contrepoids au mât. On dit d’un navire qu’il est droit et qu’il n’est pas ballotté par les courants qu’il est « sur une quille égale ».

Faute : commettre une erreur ou une faute.

Historique : De nombreux termes nautiques utilisent le terme « foul » pour désigner des situations indésirables. La faute, en soi, signifie être emmêlé ou empêché de progresser. Une ancre sale est une ancre enchevêtrée et inutilisable pour le moment. Un mauvais poste d’amarrage décrit un navire qui s’est positionné trop près d’un autre et il y a un risque élevé que les deux navires entrent en collision.

Fathom : essayer de comprendre ou d’aller au fond des choses. Déduire sur la base de faits.

Histoire : Une brasse est une unité de mesure nautique équivalente à 6 pieds et utilisée pour mesurer l’eau en mer.

Figure de proue : Un dirigeant connu qui n’a pas de pouvoir ou d’autorité réels.

Histoire : Sur un navire, une figure de proue était une figure ornementale utilisée pour la protection religieuse ou à des fins purement décoratives.

Obstruction : Retarder ou perturber la mise en œuvre d’une législation.

Historique : Ce terme est devenu populaire dans l’espace naval américain au cours du 19e siècle pour décrire les efforts coordonnés visant à empêcher l’adoption d’un projet de loi.

De premier ordre : Le meilleur, la plus haute qualité, la plus grande compétence.

Histoire : Depuis les années 1500 jusqu’à l’avènement des navires à vapeur, les navires de la marine britannique étaient notés de 1 à 6, les navires de premier rang ayant 100 canons ou plus, et les frégates de 6e rang n’ayant que 20 à 48 canons.

Les objets hétéroclites ( Flotsam and Jetsam ) : Objets sans valeur réelle.

Historique : Dans les premiers temps du droit maritime, les termes « flotsam » et « jetsam » étaient utilisés comme termes juridiques pour décrire les biens perdus par un navire à la suite d’un naufrage, ainsi que ceux qui avaient été jetés à dessein afin de stabiliser le navire en cas de vent fort ou de conditions défavorables.

Libre comme l’air : Être libre de faire ce que l’on veut.

Historique : Si elle n’est pas fixée, la partie inférieure de la voile, appelée patte d’oie, peut battre et se déplacer dans le vent.

De la tige à la poupe : La totalité d’une chose.

Historique : Ce terme désigne la distance totale entre l’avant et l’arrière du navire.

Couleurs volantes : Terminer quelque chose de manière satisfaisante.

Histoire : Si un navire survit à une bataille avec relativement peu de dégâts et que son pavillon flotte, on dit qu’il « bat pavillon ».

Se mettre en route : Partir en voyage

Historique : Ce terme nautique désignait le sillage laissé par un navire lors de sa progression sur l’eau.

Donner un grand coude à coude : Se tenir à l’écart, laisser une bonne distance entre les deux.

Histoire : Lorsqu’un navire jette l’ancre, on dit qu’il est « à quai ». Les navires devaient laisser une bonne distance entre eux afin d’éviter une collision lorsqu’ils se déplaçaient au gré du vent ou de la marée.

Passer par le conseil d’administration : En finir avec, ne plus être nécessaire.

Histoire : Sur un navire, la planche est le revêtement ou le pont du navire. Ce dicton nautique viendrait de l’action de laisser tomber quelque chose dans l’eau depuis le côté du navire.

Passer par-dessus bord : Tomber dans une étendue d’eau, généralement à partir d’un bateau ou d’une embarcation.

Histoire : Les marins appelaient « Homme à la mer » lorsqu’ils voyaient un marin tomber à l’eau depuis le navire.

Se plaindre : se plaindre ou avoir un problème

Historique : Un gripe est un terme nautique utilisé pour décrire un navire qui a été mal conçu et dont la proue tend vers le vent, ce qui fait battre la voile, entrave la progression et rend le navire difficile à manœuvrer.

Grog/Groggy : se dit d’un alcool, généralement de mauvaise qualité.

Histoire : Au XVIIIe siècle, le vice-amiral Sir Edward Vernon décréta que chaque marin devait boire une demi-pinte de rhum par jour avec une quantité égale d’eau. Les marins ont surnommé le vice-amiral « Old Groggy », car il portait un manteau Grogam sur le pont. Le mélange de rhum dilué a été appelé « grog » et ceux qui en buvaient trop étaient qualifiés de « groggy ».

Vague de fond : un changement croissant dans l’opinion publique.

Histoire : Une brusque montée des eaux le long du rivage, dans des eaux par ailleurs calmes, qui serait due à une tempête survenue à plusieurs kilomètres de là, atteint le rivage et provoque une élévation du niveau de l’eau.

Main sur le poing : agir rapidement avec détermination

Histoire : Ce dicton nautique décrit l’action d’un marin qui utilise alternativement ses mains pour hisser rapidement une voile.

Dur et rapide : être sûr de, sans aucun doute, sans aucun débat

Histoire : À l’époque des marins, l’expression « à fond de cale » était utilisée pour décrire un navire échoué sur la terre ferme et incapable d’être déplacé.

Hard Up : être dans le besoin

Historique : En termes nautiques, mettre la barre à fond signifie la positionner au maximum dans une direction donnée. L’expression complète. Les marins utilisaient l’expression ‘Hard up in a clinch and no knife to cut the seizing’ pour désigner l’arrivée d’un chagrin sans solution.

Haze : célébrer l’arrivée d’un nouvel arrivant dans un groupe par l’embarras ou l’humiliation afin d’instaurer l’autorité.

Histoire : À l’époque des marins, les capitaines et autres responsables exigeaient de leur équipage qu’il travaille de longues heures pendant la journée et la nuit, même si c’était nécessaire, dans le seul but de le rendre malheureux.

En panne d’ inspiration : Être laissé dans un état de désespoir, sans ressources ni aide.

Histoire » Ce dicton marin fait référence à un navire qui a été échoué ou retiré de l’eau pendant un certain temps et qui devrait le rester à l’avenir.

Poursuivre : Poursuivre activement quelque chose

Historique : Ce terme est en fait tiré de la guerre navale. En effet, selon la loi, un ennemi qui tente d’échapper à la bataille en naviguant dans des eaux neutres peut être suivi et capturé à condition que l’engagement ait commencé dans les eaux internationales.

Hulk/Hulking : pour décrire quelque chose de grand et d’encombrant.

Historique : Ce terme naval était utilisé pour décrire un navire qui ne semblait pas en état de naviguer.

Bien dans sa peau : Décrire une situation comme étant agréable, se déroulant comme prévu, allant bien.

Historique : Ce dicton naval proviendrait de marins américains qui utilisaient ce terme pour décrire une rue populaire du Japon appelée Honcho-Dori, fréquentée par des marins solitaires.

Dans le marasme : Être triste, fatigué ou ennuyeux

Historique : Cette expression a été utilisée dans les années 1800 pour décrire une zone d’eaux calmes typique au nord de l’équateur, entre ce que l’on appelait les alizés. Les navires pris dans cette zone peuvent parfois rester bloqués sur place, sans vent, pendant de longues périodes. Ainsi, être « dans le marasme » signifiait être dans un état de découragement.

En préparation : Imminent ou susceptible de se produire bientôt

Histoire : À l’époque des marins, le terme « offing » désignait la zone de mer que l’on pouvait voir depuis la terre. Ainsi, si un navire était vu dans cette zone, cela signifiait qu’il serait bientôt amarré dans le port et en sécurité.

Oisif/Idler : Être sans rien faire, souvent lorsqu’il y a du travail à faire.

Historique : Sur un navire de guerre, le terme « oisif » était utilisé pour désigner un membre de l’équipage qui n’était pas tenu de monter la garde la nuit en raison de la nature de son travail. Les charpentiers, les voiliers et les cuisiniers, par exemple, accomplissaient leurs tâches le jour et étaient donc des « fainéants » la nuit.

Jury Rig : une improvisation.

Historique : Cette expression courante dans le langage d’aujourd’hui était autrefois utilisée pour décrire une réparation d’urgence nécessaire pour permettre à un navire endommagé de continuer à naviguer jusqu’à ce qu’il puisse accoster dans le port le plus proche.

116 dictons navals - La liste ultime des dictons nautiques et des termes de navigation 2

Quille de halage : Recevoir une forte punition ou une réprimande pour un acte répréhensible particulier.

Historique : D’origine plutôt macabre, ce terme est le nom donné à une punition sévère infligée aux marins dans les années 1400 et 1500. Le malfaiteur était attaché à une corde, jeté par-dessus bord et traîné sous la quille à plusieurs reprises.

Se renverser : Tomber ou disparaître

L’histoire : Aujourd’hui encore, la quille est un élément fondamental de la plupart des voiliers. Il sert de contrepoids au mât et maintient le bateau stable dans des conditions qui le feraient chavirer. Lorsqu’un navire se mettait « sur la quille », il se renversait et commençait à couler, ou sur terre, il tombait simplement sur le sol.

Connaître les ficelles du métier : Être familier/compétent dans une tâche particulière.

Histoire : Avant l’avènement des navires à vapeur, les grands voiliers naviguaient à l’aide d’une série de cordes qui contrôlaient les mécanismes et les poulies qui actionnaient les voiles. Ces systèmes à base de cordes étant complexes, les marins devaient mémoriser les configurations afin de les utiliser correctement. Cela a évidemment pris du temps, de sorte qu’un marin moins expérimenté pourrait ne pas « connaître les ficelles du métier » aussi bien qu’un marin qui navigue depuis plus longtemps.

Landlubber : quelqu’un qui n’aime pas, préfère ne pas être ou n’est pas couramment sur l’eau.

Histoire : Terme nautique utilisé par les marins pour désigner les personnes qui passaient le plus clair de leur temps à terre ou qui préféraient ne pas être en mer.

Lime : Une personne britannique

Histoire : Tirant son origine du fait que les marins anglais des années 1800 recevaient des rations de citron vert pour prévenir le scorbut, le terme « Limey » est devenu un terme désignant un marin de la marine royale britannique.

Apprendre les ficelles du métier : Prendre le temps de comprendre comment effectuer une nouvelle tâche.

Histoire : De même que « Connaître les cordes », ce dicton nautique fait référence à la pratique consistant à apprendre comment les systèmes de cordes et de poulies fonctionnent sur un grand navire.

Marge de manœuvre : Espace alloué, littéralement ou métaphoriquement, pour permettre une marge d’erreur.

Histoire : En navigation, le côté « météo » du navire est celui qui fait face au vent et le côté « sous le vent » est le plus proche de la terre. Si un navire ne disposait pas d’une « marge de manœuvre » suffisante, la marge d’erreur était faible avant que le navire ne soit projeté sur le rivage ou sur les rochers.

Laisser sortir le chat du sac : Dévoiler ce qui n’était pas sécurisé ou secret auparavant.

Histoire : À l’époque des marins, le « chat à neuf queues » était le nom d’un fouet fabriqué à partir d’une corde dont les extrémités n’étaient pas tressées et qui laissait sur le dos des blessures semblables aux griffures d’un chat.

Comme des navires qui passent dans la nuit : Une rencontre rapprochée, le passage de deux entités sans connaissance de l’autre

Histoire : Contrairement aux navires à vapeur qui leur succéderont par la suite, les voiliers ne font que peu ou pas de bruit lorsqu’ils avancent. Il est donc très probable que les navires ne se connaissent pas les uns les autres lorsqu’ils naviguent dans l’obscurité

Journal de bord : Un registre méticuleux de détails officiels accompagnés de données telles que les dates et les heures.

Historique : Les navires de guerre et les navires marchands utilisaient une planche en bois attachée à une corde pour mesurer la vitesse du navire. L’unité était calculée en comptant les nœuds de la corde qui passait dans les mains des marins au fur et à mesure qu’ils avançaient. C’est d’ailleurs de là que vient l’unité « nœud », une mesure que nous utilisons encore aujourd’hui sur l’eau.

Sans énergie : Être dans un état de démotivation, manquer d’énergie ou d’enthousiasme.

Histoire : À l’époque des marins, si un bateau était apathique, cela signifiait qu’il était inactif sur l’eau, sans la gîte caractéristique prise lorsque le navire est poussé vers l’avant par le vent.

Longue durée : Une période de temps prolongée.

Historique : Ce terme était utilisé pour décrire toute tâche à bord qui nécessitait le halage ou la traction d’une grande quantité de cordages sur le pont du navire.

Long Shot : Situation dans laquelle le résultat souhaité ou préféré a peu de chances de se produire.

Histoire : Les anciens navires de guerre utilisaient principalement des canons, dont la précision laissait souvent à désirer. La portée maximale des différents canons varie également en fonction de leur conception, de leur âge et de leur qualité. Si un navire devait tirer au-delà de son rayon d’action et effectuer un tir de loin, il était peu probable qu’il atteigne sa cible.

Le terme «  Loose Cannon » est utilisé pour décrire une personne, un objet ou une situation qui est instable ou susceptible de causer des problèmes s’il n’est pas surveillé.

Histoire : En raison de leur poids massif, les canons d’un voilier étaient attachés pour éviter qu’ils ne se déplacent au gré des vagues, car un canon mal fixé aurait causé d’immenses dégâts au voilier ou à l’équipage.

Pilier : Un élément crucial, quelque chose dont d’autres choses dépendent.

Historique : Sur un grand voilier ou un autre navire à voile similaire, le pilier était une corde cruciale qui s’étendait du grand mât jusqu’au pied du mât de misaine.

Rattraper une marge de manœuvre : Rattraper le temps perdu ou gaspillé.

Historique : En termes nautiques, la « marge de manœuvre » fait référence à l’ampleur de la déviation d’un navire par rapport à sa trajectoire prévue.

No Room to Swing a Cat : Un espace petit ou confiné.

Histoire : Lorsqu’un marin devait être puni par le chat à neuf queues, tout l’équipage était tenu d’assister à la scène. Par conséquent, il n’y avait pas de place pour donner des coups de fouet.

Embarquer : faire partie d’un groupe ou d’une équipe.

Histoire : En termes nautiques, monter à bord signifiait rejoindre l’équipage du navire.

Sur la bonne voie : Aller dans la bonne direction, vers le bon résultat.

Histoire : Sur un navire de guerre, si un marin se trompait de corde ou de voie, cela pouvait signifier que le navire irait dans la mauvaise direction.

On Your Ends/On Your Beam Ends : Être dans une mauvaise situation.

Histoire : Sur un navire de guerre, des poutres en bois couraient sur toute la longueur horizontale du navire. Si ces poutres étaient proches de l’eau, cela signifiait que le navire risquait de chavirer et de couler.

Par-dessus le marché : Ne pas pouvoir changer d’avis ou se sortir d’une situation.

Histoire : À l’époque de la marine, la punition la plus courante infligée aux marins était le fouet ou la flagellation. Normalement, le membre d’équipage à punir est attaché à une grille sécurisée ou à un tonneau.

Excessif : Manipuler un état de pouvoir de manière à mettre les autres mal à l’aise.

Historique : Ce terme désigne le fait de naviguer sous le vent d’un autre navire, de bloquer ou de « voler » son vent et de le ralentir.

Remise en état : Démonter quelque chose et le refaire entièrement, comme si l’on partait de zéro.

Historique : Ce terme est le nom donné à l’action de l’équipage envoyé parmi les voiles pour tirer les cordages de buntline sur les voiles afin d’éviter les frottements.

Dépasser : Se déplacer trop rapidement au point de manquer sa cible.

Historique : Dans le cas où un navire aurait tenu son virage trop longtemps, il aurait dépassé son point de virage et devrait maintenant parcourir une plus grande distance pour atteindre sa prochaine position de virement de bord.

Accabler : Être dans un état de surcharge émotionnelle ou être submergé par quelque chose.

Historique : Ce terme naval est dérivé du vieil anglais et désigne un bateau qui a chaviré.

Pipe Down : un appel au silence.

Histoire : Au début de la marine, le tuyau du maître d’équipage était utilisé pour communiquer avec l’équipage du navire. En ce sens, la « descente des hamacs » était le dernier signal donné pour la journée, ce qui signifiait que l’équipage pouvait descendre et se reposer pour la nuit.

Caca : Être lessivé, fatigué.

L’histoire : En ce qui concerne la structure et l’agencement du navire, le pont le plus élevé à l’arrière du navire était appelé la dunette. Si un navire était envahi par une grande vague qui le submergeait par l’arrière, on disait qu’il avait fait caca.

Mettre en service : Être poussé, forcé, guidé à prendre une décision spécifique.

L’histoire : Au début, il était très difficile de recruter pour la marine, car les hommes savaient que le travail était difficile. Pour résoudre ce problème et remplir leurs quotas de recrutement, les « Press Gangs » enlevaient activement des hommes dans les ports à terre et les forçaient à travailler pour la marine.

Pousser la barque : Dépenser de l’argent généreusement, sans réserve.

Historique : Ce terme naval vient de l’action d’aider quelqu’un à pousser son bateau ou son navire dans l’eau. Cet acte est considéré comme un acte de générosité, car les navires sont souvent beaucoup trop grands pour être poussés en mer par un seul homme. Le terme a ensuite été utilisé pour désigner le fait de crier une tournée de boissons ou de leur offrir une friandise.

116 dictons navals - La liste ultime des dictons nautiques et des termes de navigation 3

Les rats désertent un navire en perdition : Quitter ou abandonner une activité, une organisation ou une école de pensée avant qu’elle n’échoue complètement.

Histoire : Il était très courant que les navires en mer transportent un grand nombre de rats, soit ramassés dans les ports, soit cachés dans des caisses ou des conteneurs de nourriture chargés sur le pont. Dans le cas malheureux où le bateau coulerait, les rats tenteraient de s’échapper en sautant dans la grande bleue.

Une gestion rigoureuse : Sous contrôle, parfaitement en ordre.

Historique : L’expression a vu le jour vers le milieu des années 1900 et s’inspire des cordages serrés d’un voilier, faisant allusion à un navire en ordre et sous contrôle, et généralement bien entretenu.

Naviguer au plus près du vent : s’engager dans une activité risquée, se priver d’une marge d’erreur.

Histoire : À l’époque des marins, naviguer près du vent signifiait orienter le bateau dans la direction du vent. Cela remplit les voiles et fait avancer le bateau à un rythme plus élevé. Cependant, le moindre ajustement entraînerait le déplacement du navire dans la direction du vent et une perte de vitesse immédiate.

Racler le tonneau : Récupérer la dernière quantité de quelque chose, se retrouver devant un choix qui n’est pas idéal.

Histoire : Dans les années 1600, les navires de guerre transportaient de la viande salée dans des tonneaux. Les marins vérifiaient le fond de ces barils vides lorsqu’ils avaient faim afin de récupérer les restes de nourriture qu’ils avaient pu y laisser.

Scuttlebutt : Rumeur ou ragot.

Histoire : À l’époque de la marine, les marins échangeaient des ragots dans le cadre d’un « scuttlebutt ». Il s’agissait d’un tonneau d’eau percé d’un trou qui servait à distribuer de l’eau potable.

Shake a Leg : Se lever du lit, se mettre en mouvement.

Historique : On pense que dans les premiers temps de la marine, ce terme était utilisé pour ordonner aux membres de l’équipage de sortir de leur hamac et de commencer les préparatifs de la journée. On pense également que ce terme vient du fait que les femmes étaient autorisées à monter à bord lorsque le navire était au port, et que l’équipage savait donc quand une femme était encore à bord et devait être réveillée et ramenée à terre avant de mettre les voiles.

La mode des navires et du Bristol : Être de la meilleure qualité et prêt à partir.

Histoire : Ce terme maritime a plusieurs origines probables. Bristol, en Angleterre, connaît l’un des flux de marée les plus variables au monde. Les navires devaient donc être bien construits et bien entretenus pour résister aux marées basses. Elle pourrait également provenir du fait que cette partie du monde avait des normes extrêmement élevées en matière d’équipement et de service naval avant que Liverpool ne prenne sa place.

Shiver Me Timbers (frissons dans le dos) : Expression de contrariété ou de surprise.

Histoire : Dans les années 1300, le mot « shiver » signifiait se briser ou tomber en morceaux. La question de savoir si ce dicton était réel ou simplement inventé dans le cadre du folklore pirate fait l’objet d’un débat.

Montrer ses vraies couleurs : Commettre un acte qui révèle son vrai caractère, souvent utilisé de manière négative.

Histoire : Sur un navire de guerre, les couleurs font référence au drapeau arboré avant de s’engager dans une bataille. Une pratique courante consistait pour certains navires à arborer délibérément le mauvais pavillon afin de tromper leurs ennemis.

Gratte-ciel : Un bâtiment ou une structure de grande hauteur

Historique : Ce terme moderne souvent utilisé pour désigner l’architecture industrielle à grande échelle dans les villes fait en réalité référence à une petite voile placée au-dessus de ce que l’on appelait le skysail afin de maximiser la quantité de vent captée par les voiles.

Sling Your Hook : Partir, se dégager, s’éloigner.

Histoire : La question de savoir si l’origine de ce dicton remonte à l’époque des marins fait l’objet de nombreuses controverses. Ceux qui pensent qu’il trouve ses racines dans l’histoire nautique estiment qu’il peut faire référence au fait de remonter l’ancre du navire avant de prendre la mer.

Caisse noire : Une somme d’argent affectée à l’utilisation de pots-de-vin ou d’influence.

Historique : Dans les années 1800, le cuisinier du navire vendait à terre un mélange de graisse obtenu en faisant bouillir le bœuf salé destiné à l’alimentation en mer. Cet argent était ensuite utilisé au profit de l’équipage ou du cuisinier lui-même et appelé « caisse noire ».

Navigation douce : Progression facile sans obstacle ni difficulté.

Histoire : L’expression « navigation en douceur » fait référence à une navigation en eaux calmes, sans grandes vagues ni mer agitée.

Fils d’un pistolet : Une exclamation de surprise, de contrariété, d’agression.

Historique : Lorsqu’un enfant est né à bord du navire de l’épouse ou de la compagne temporaire d’un des membres de l’équipage, souvent sur le pont des canons. Si personne ne savait qui était le père, ils étaient enregistrés comme étant le « fils d’un pistolet ».

Repas carré : Un repas nutritif de bonne qualité.

Historique : Ce terme provient probablement du fait que les marins se voyaient servir leurs repas dans des assiettes de forme carrée. Cependant, à partir des années 1500, le mot « carré » signifiait que quelque chose était droit, correct ou simple.

Au carré : Se dit d’une question qui a été réglée de manière satisfaisante.

Historique : Dans un navire à gréement carré, les voiles étaient décrites comme étant « au carré » lorsqu’elles étaient correctement réglées, attachées et disposées de la bonne manière.

116 dictons navals - La liste ultime des dictons nautiques et des termes de navigation 4

Pris au dépourvu : Être dans un état de surprise, incapable de parler.

Historique : En cas d’inattention d’un membre de l’équipage à la barre, le vent pouvait se retrouver du mauvais côté des voiles, ce qui faisait reculer le navire.

Lui couper l’herbe sous le pied : Démotiver quelqu’un, lui ôter son esprit d’initiative.

Historique : Si un navire navigue entre le vent et un autre navire, le premier peut être ralenti car la quantité de vent dans ses voiles est réduite.

Tour de rôle : Échanger une activité entre deux ou plusieurs personnes.

Histoire : À l’époque des marins, les membres de l’équipage changeaient de montre en suivant le mouvement d’un sablier. Il s’agit de prévenir les accidents et les mésaventures qui pourraient résulter de la fatigue.

Trois vents en pou pe : être dans un état d’ébriété.

Histoire : Sur un navire, un cordage s’appelle une écoute. Si les écoutes d’un trois-mâts se détachent du trois-mâts inférieur, les voiles commencent à battre et le navire perd toute direction.

Dans l ‘adversité : Continuer, quelle que soit la situation.

Histoire : Ce dicton nautique trouverait son origine dans le fait que des poulies épaisses et fines étaient utilisées à bord pour hisser les voiles.

Marée : Une petite quantité de quelque chose, comme de l’argent, pour vous permettre d’aller d’un point à un autre.

Histoire : Au début de l’ère navale, les navires se déplaçaient principalement sous l’influence du vent. Cependant, lorsque le vent n’était pas assez fort, le navire se déplaçait simplement avec la marée. C’est ce que l’on a appelé une « marée ».

Faire la queue : Agir avec prudence, suivre les règles.

Histoire : Sur un navire de guerre, les membres de l’équipage s’alignaient avec leurs orteils le long de la jointure des planches du pont.

Régler ses voiles : S’adapter ou changer pour correspondre à une circonstance différente de celle fournie à l’origine.

Histoire : En cas de changement des conditions météorologiques, l’équipage modifiait le jeu de voiles du navire pour s’adapter aux nouvelles circonstances.

Essayer une autre tactique : Tenter une tactique ou une méthode différente pour faire face à une situation ou à un problème.

Histoire : Lors d’un virement de bord, ou d’un changement de direction en navigation, il arrive que le nouveau cap soit incorrect. Dans ce cas, le barreur devra réessayer.

Fermer les yeux : Ignorer, faire semblant de ne pas voir quelque chose.

Historique : Ce dicton couramment utilisé trouve son origine dans les actions de l’amiral Lord Nelson lors de la bataille de Copenhague. Au cours de la bataille, un signal a été donné pour cesser le combat et battre en retraite. En réponse, l’amiral porte sa lorgnette à son œil aveugle et insiste plus tard sur le fait qu’il n’a pas vu le signal.

Touch and Go : être dans une situation incertaine.

Historique : Ce terme maritime était utilisé pour décrire une situation dans laquelle un navire naviguant dans des eaux peu profondes touchait occasionnellement le fond, puis repartait de l’avant, sans s’échouer.

Prendre le virage : Passer un cap ou un événement vital qui a eu une grande influence.

Histoire : On pense que cette expression a été inventée par des marins après avoir franchi le cap de Bonne-Espérance ou le cap Horn et poursuivi leur voyage.

Sous la pluie et le beau temps : Se sentir malade, pas soi-même.

Histoire : Sur les premiers navires de guerre, différents quarts étaient assignés aux membres de l’équipage afin de les tenir à l’affût des dangers. Souvent considéré comme le pire poste de veille, le côté « météo » de la proue était souvent soumis au tangage et au roulis du navire, ainsi qu’aux nombreuses vagues qui déferlaient sur la proue. Le membre de l’équipage assigné à ce quart terminait son quart trempé et décrit comme ayant été « sous la pluie ».

Marcher sur la planche : Être évincé, retiré ou tomber littéralement d’une planche dans la mer.

Histoire : Le fait de marcher sur la planche est un élément essentiel du folklore pirate. Il s’agit d’une forme d’exécution navale impromptue qui a eu lieu dans les années 1700 et 1800.

Siffler pour le vent : espérer un résultat improbable.

Histoire : Ce dicton proviendrait de la superstition navale selon laquelle le vent pouvait être invoqué en période d’eau calme en le sifflant. De même, dans le cas d’un gall où il y a un excès de vent, les membres de l’équipage ne doivent pas siffler.

Bénéfice inattendu : Un avantage inattendu, potentiellement non gagné.

Historique : Ce terme nautique était utilisé pour décrire une rafale de vent soudaine traversant une côte montagneuse et permettant au navire de gagner de l’avance.

Et voilà notre liste complète de dictons d’origine nautique.

L’étymologie d’une langue ou d’une expression est aussi intéressante qu’historique. Nous espérons que cette liste a permis d’expliquer les origines nautiques de certaines des expressions les plus courantes utilisées dans notre vie quotidienne.

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Lexique : termes les marins et gens de mer

Un bateau et son équipage sont soudés pour parcourir les mers, surmonter les dangers et arriver à bon port. a bord, chacun a son rôle, capitaine, patron, bosco, gabier … autant de noms, qui varient selon les bateaux: de pêche, de commerce, de l’etat ou de plaisance. autant de mots pour désigner aussi ceux que l’on nomme «les gens de mer» : pilotes, lamaneurs, quirataires ….

Amatelotage, Hot bunk system – Sys­tème établi pour que deux matelots oc­cupent à tour de rôle le même hamac, se­lon les quarts.

Aplaté, To settle the sailors’ messes, quartering – Se dit des hommes du bord qui prennent leur pas ensemble, qui sont au même plat.

Armateur, Shipowner – Négociant ou particulier qui arme, à ses frais, un navi­re dont il est propriétaire, et s’occupe de recruter l’ équipage.

Bâbordais, Port watch man – Homme d’équipage faisant partie de la bordée de bâbord, de service les jours pairs, et al­ternativement de quart avec l’autre bor­dée, celle de tribord.

Barreur, Helmsman – Celui qui tient la barre, qui manœuvre le gou­vernail d’un bateau; s’emploie en plaisance. Synonyme: homme de barre.

Bosco, Bo’sun, boatswain – Dimi­nutif de bosseman, pour désigner celui qui est préposé aux ancres, câbles, c’est-à­-dire le maître de ma­nœuvre.

Capitaine, Captain, master, skipper ­ – Dans la marine marchande, officier apte à diriger un navire et à commander l’équipage, titulaire d’un brevet. A la pêche on dit plutôt patron. A bord d’un yacht, le patron, ou skipper, est la per­sonne responsable du bateau, et de sa conduite.

Commandant, Commodore, captain ­ – Titre donné au premier capitaine d’un grand navire. Officier de la marine de l’Etat qui commande un navire.

Coq, Cook – Cuisinier de l’équipage à bord d’un navire.

Calfat, Caulker – ­Ouvrier ou homme d’équipage qui a en charge de calfater les navires, c’est-­à-dire de garnir d’étoupe les cou­tures, à l’aide du maillet et du fer à calfat.

Cambusier, Storekeeper, purser – Ce­lui qui, à bord, est responsable du maga­sin à vivres, et chargé de distribuer les ra­tions quotidiennes.

Canotier, Rower – Homme d’équipage d’un canot, qui a pour fonction de nager (ramer).

Cap-hornier, Cape homer, shellback – marin qui a pris la route du cap Horn et l’a franchi.

Equipage, Crew, ship’s company­ – Hommes embarqués, inscrits maritimes, ayant chacun une fonction à remplir. En plaisance, le terme s’applique à ceux qui participent à la manœuvre.

Equipier, Crewman, seaman – Membre de l’équipage d’un bateau de plaisance, apte à la manœuvre.

Gabier, Topman – Matelot chargé de l’entretien des mâts, vergues, voiles d’un navire, et plus spécialement affecté à la manœuvre des voiles.

Gens de mer, Seamen – Tous ceux dont le métier est de naviguer et, par extension, tout homme, à terre ou en mer, ayant un lien particulier avec la vie maritime.

Gourmette, Cook, storekeeper – No­vice chargé de la cuisine; qualification également donnée à celui qui est chargé de la garde des vivres.

Gréeur, Rigger – Homme dont la pro­fession est de mettre en place et d’entre­tenir le gréement du bateau.

Homme de barre, Helmsman – Hom­me d’équipage chargé de gouverner le ba­teau, de tenir la barre.

Inscrit (maritime), Seaman – Marin porté sur les registres de l’Inscription ma­ritime ; tous les gens de mer, non mili­taires, qui exercent à titre professionnel doivent être inscrits sur des registres dits « matricules », sur lesquels sont notés leurs embarquements.

Lamaneur, Hobbler – Marin pratique, susceptible de porter assistance aux na­vires entrant dans un port, pour leur ha­lage et leur mise à quai.

Lieutenant, Mate – Officier de la ma­rine marchande, troisième autorité du bord après le capitaine et le second capi­taine. A bord d’un bâtiment de l’Etat, of­ficier de ce grade.

Maistrance, Officer corps – Corps des officiers mariniers dans la marine d’Etat, ou corps des sous-officiers de la marine marchande.

Maître, Master, skipper – Grade de sous-officier dans la marine d’Etat. Dans la marine de commerce, le maître au ca­botage est le marin qui a ses brevets et peut commander un navire. Plusieurs professions ont également leur maître : voilier, calfat, charpentier.

Maître d’équipage, Boatswain, les­ding hand – Premier maître de ma­nœuvre à bord, chargé de faire exécuter les ordres donnés par les officiers.

Marin, Sailor, seaman – Homme exer­çant une profession à la mer. Contraire de terrien.

Marin-pêcheur, Fisherman – Homme de mer, inscrit maritime, dont la profes­sion est de pêcher.

Matelot, Salor, seaman, the hands – Homme d’équipage non gradé, inscrit maritime. En plaisance, le matelot pro­fessionnel de yacht est embarqué sur le rôle. En pêche, les matelots sont tous les marins-pêcheurs du bord, en dehors du patron. Plus généralement, ce sont les hommes du pont expérimentés; plus jeunes, ils sont mousses, novices, mate­lots légers (de plus de 18 ans), matelots volants (sans affectation). Mot souvent employé comme synonyme de marin.

Mécanicien, Engineer – Membre d’équipage en charge de la machine.

Monsieur, Sir – Dans la marine d’Etat, appellation de nombreux officiers ou as­similés : commissaire, médecin …

Mousse, Apprentice, boy – Titre le plus bas de l’échelle hiérarchique des membres d’équipage. Le mousse est un garçon de moins de 16 ans, embarqué pour faire son apprentissage.

Navigateur, Seafarer, navigator­ – Homme voyageant sur mer, parfois sy­nonyme de marin. Plus souvent homme ayant rapporté des résultats scientifiques de ses voyages. En plaisance, désigne ce­lui qui est chargé de tracer et de contrô­ler la route suivie.

Novice, Apprentice, deckie learner – ­Marin en apprentissage, entre mousse et matelot, âgé de 16 à 18 ans.

Patron, Skipper, master – A la pêche, marin pourvu du brevet de patron de pêche, qui prend le commandement d’un bateau. C’est aussi le titre d’un ma­rin qui commande au petit cabotage.

Pilote, Pilot – Marin embarqué à bord d’un navire à proximité du port, pour le guider pendant les manœuvres d’ap­proche; son rôle est d’assister le capitai­ne du navire, mais non de se substituer à lui. On distingue deux sortes de pilotes : le pilote côtier, qui doit avoir la connais­sance parfaite des côtes, et le pilote la­maneur (voir lamaneur), affecté à l’assistance des navires pour les entrées et sorties de ports, de ri­vières et d’es­tuaires.

Pilotin, Ap­prentice, ju­nior officer – Ancien nom donné aux élèves offi­ciers dans la manne mar­chande ; éga­Iement, avant 1791, jeune marin en apprentissage embarqué sous la direction du pilote hauturier, puis au ser­vice de la timonerie.

Pratique, Seamanship – Marin qui a une bonne connaissance d’un port et de ses abords, ou des particularités d’une portion de côte dans des parages qui lui sont familiers. On dit: les « lamaneurs pratiques ».

Premier brin, Able seaman, old hand­ – Se dit d’un matelot de grande valeur, par analogie au chanvre de premier brin, ce­lui qui a les fibres les plus longues et de la meilleure qualité.

Quartier-maître, Chief petty officer – Grade dans la marine d’Etat, et officier exerçant la surveillance des équipages.

Quirataire, Shareholder – Propriétaire d’une partie de l’armement d’un navire.

Radio, Radio operator – Homme d’équipage préposé au service des trans­missions et réceptions radio.

Rôle d’équipage, Crews book, ship’s articles – Registre sur lequel figurent les noms des membres de l’équipage, et contrat stipulant les conditions d’enga­gement de l’équipage.

Second, First mate – Second officier, immédiatement après le capitaine d’un navire ; possède brevets et compétences pour commander lui-même le navire en cas de nécessité.

Shipchandler, Shipchandler – Four­nisseur qui vend tout ce qui est néces­saire à l’armement et à l’avitaillement (approvisionnement) du bateau.

Skipper, Skipper – Patron d’un yacht.

Timonier, Helmsman, quarter-master ­ – Homme de barre. En plaisance on ne dit pas timonier, mais barreur.

Tribordais, Starboard watch man – Homme d’équipage faisant partie du quart de tribord, de la bordée de service les jours impairs, en alternance avec les bâbordais.

Vigie, Lookout – Homme de veille en observation dans la mâture, ou sur le gaillard d’avant.

Voilier, Sai/maker – Celui qui travaille à la confection et à l’entretien des voiles: as­semblage des laizes, confection des gaines, renforts, placards, pattes à cosse, etc.

« Jacques Chevallier », ravitailler à la mer

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lexique de génois

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Le vocabulaire spécifique à la navigation en dériveur, foiler et catamaran

par ERPLAST | Nov 8, 2023

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Introduction

La mer a son langage, une poésie riche et complexe, façonnée par des siècles de navigation et d’exploration maritime. Chaque type de bateau, qu’il s’agisse de voiliers, de foilers, de catamarans ou d’Optimist, apporte sa contribution unique à ce lexique maritime. Pour le non-initié, cette langue peut sembler cryptique, voire intimidante. Mais ne vous inquiétez pas, nous sommes là pour vous guider à travers le labyrinthe des termes spécifiques à la navigation en dériveur, foiler et catamaran.

Les termes généraux : une base commune

Le vocabulaire de la voile est largement partagé entre les différents types de navigation. Ces termes généraux sont la fondation, le socle commun sur lequel repose la terminologie spécifique à chaque type de bateau.

Bord : C’est le côté du bateau. En termes de navigation, un « bord » désigne également le trajet que le bateau fait en naviguant dans une certaine direction avant de changer de cap.

Gîte : La gîte est l’inclinaison latérale du bateau. Elle est causée par des facteurs tels que le vent, le déplacement des personnes à bord ou l’effet des vagues.

Lofer / Abattre : Ces deux termes indiquent les ajustements de cap en relation avec le vent. Lofer signifie se rapprocher de la direction d’où vient le vent, tandis qu’abattre signifie s’éloigner de cette direction.

Les termes spécifiques aux dériveurs

Les dériveurs , du fait de leur conception unique et de leur manière particulière de naviguer, ont développé leur propre vocabulaire.

Dérive : Il s’agit d’une pièce du bateau, généralement faite de métal, de matériaux composites ou de bois, qui descend dans l’eau pour améliorer le plan anti-dérive et la capacité de manœuvrer le bateau.

Chavirer : Ce terme est utilisé lorsque le dériveur bascule sur le côté, souvent à cause d’un vent fort ou d’une manœuvre mal effectuée.

Redresser/Resaler : C’est l’action de remettre le dériveur à l’endroit après un chavirage. Une compétence essentielle pour tout marin en dériveur !

Le jargon des foilers

Les foilers , avec leur capacité à « décoller » de la surface de l’eau grâce à l’effet hydrodynamique, ont également développé leur propre terminologie.

Foil : Il s’agit des plans porteurs sous-marins qui permettent au bateau de s’élever au-dessus de l’eau. Le terme « foil » vient du français « aile », en référence à la forme de l’élément.

Décollage : C’est le moment où le foiler commence à voler, c’est-à-dire quand le foil génère suffisamment de portance pour soulever le bateau hors de l’eau.

Voler : Dans le contexte du foiling, voler signifie naviguer avec le bateau hors de l’eau, soutenu par les foils.

Les termes liés aux catamarans

Les catamarans , avec leur conception unique à deux coques, ont leur propre lexique.

Coque : La coque est la partie du bateau qui flotte sur l’eau. Dans le cas des catamarans, il y a deux coques parallèles de taille égale.

Trampoline : C’est la partie tendue entre les deux coques d’un catamaran, sur laquelle l’équipage peut se tenir et se déplacer.

Bras de liaison : Ce sont les structures qui relient les deux coques du catamaran et supportent le trampoline.

Ces termes ne représentent qu’une fraction du vocabulaire riche et varié de la voile légère. En vous familiarisant avec ce jargon, vous pourrez non seulement mieux comprendre les subtilités de la navigation, mais aussi communiquer plus efficacement avec vos coéquipiers et d’autres marins. Le langage de la mer est une porte d’entrée vers une compréhension plus profonde de l’art de la navigation.

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ANTILLES VOILE

Vacances aux Antilles en croisière à bord d'un voilier privé

Vocabulaire marin, de la voile et des bateaux

Vocabulaire marin, de la voile et des bateaux

Mers&bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance..

Connaitre le vocabulaire marin est indispensable. Bien plus qu’une culture maritime, les mots et expressions, dans le nautisme, permettre de se faire comprendre à bord d’un bateau. Le vocabulaire marin est un gage de sécurité.

A quoi sert le langage et le vocabulaire marin?

Pour un plaisancier, maîtriser le lexique et les termes spécifiques au nautisme revêt une importance cruciale . On pourrait même dire que maitriser ce vocabulaire marin permet de naviguer en eaux claires

Tout d’abord, la pratique de la voile exige une compréhension précise des instructions de sécurité; quel que soit le voilier, du dayboat au voilier hauturier . En maîtrisant les termes nautiques, vous pouvez communiquer efficacement, réduisant ainsi les risques d’accidents évitables. Qu’il s’agisse des feux de navigation, des balises ou des règles de priorité, chaque mot revêt une signification capitale, sauvegardant ainsi la vie des marins et de leur précieux équipage.

L’utilisation appropriée du vocabulaire marin permet de transmettre des informations précises et concises , facilitant les manœuvres délicates et renforçant l’efficacité de l’équipage.

Enfin, et cela est toujours utile, connaître le vocabulaire marin favorise une intégration sociale au sein de la grande famille des plaisanciers . Comme un dialecte secret partagé entre initiés, ce langage spécifique crée des liens solides entre les marins. En maîtrisant ce vocabulaire, le plaisancier devient un membre respecté de cette confrérie, capable de partager des histoires, des astuces et des expériences avec d’autres amoureux de la mer. C’est un sésame ouvrant les portes d’une communauté où se tissent des amitiés durables et des souvenirs impérissables.

les-allures-en voiliers

Le lexique du vocabulaire marin

  • à contre : placer une voile ou la barre, dans le sens opposé de la marche normale.
  • abattée : se dit quand le bateau abat.
  • abattre : le fait d’éloigner le bateau du lit du vent. Le contraire de lofer.
  • Abordage : collision volontaire ou non entre deux bateaux.
  • Accastillage : L’équipement de pont, du bateau servant aux manoeuvres.
  • adonner : se dit du vent, quand celui ci à tendance à aller de l’avant vers l’arrière du bateau. Le vent adonne lorsqu’il devient plus favorable, par rapport à la route du voilier. Le contraire est refuser.
  • AIS : Système anti-collision permettant d’identifier les navires et donnant leur position, cap et vitesse.
  • aulofée : mouvement (spontané) d’un bateau qui lofe.
  • affaler : descendre une voile.
  • allure : angle de route du bateau, par rapport au vent.
  • amarres : bouts permettant d’amarrer un bateau au quai, ou à une bouée de mouillage.
  • amener : descendre une voile, voir un pavillon.
  • amer : Point remarquable, sur la côte permettant de calculer sa position.
  • amure : côté du bateau par lequel il reçoit le vent. On dit « bâbord amures », quand le vent vient de bâbord ; et « tribord amures », quand le vent vient de tribord.
  • ancre : équipement permettant d’immobiliser un bateau, en la mouillant au fond.
  • ardent : se dit d’un bateau qui a tendance, naturellement, ou pas, à se rapprocher du lit du vent.
  • ariser : Prendre un ris, ou plusieurs, dans une voile afin d’en réduire la surface.
  • artimon : L’artimon, est le mat le plus petit, et le plus en arrière, sur un Ketch, un bateau à deux mâts. La voile enverguée dessus porte le même nom.
  • au vent  : côté du bateau se trouvant du côté du lit du vent, face au vent.
  • bâbord : côté gauche du bateau quand on regarde vers l’avant. Bâbord et le côté opposé de tribord
  • bâbord amures : Quand le vent vient du côté bâbord du bateau.
  • balancine : cordage (bou) partant du haut d’un mât permettant de tenir la bôme à son extrémité.
  • barber hauler : système composé d’une poulie, dont l’objectif est d’éloigner une commande de l’axe du bateau. Souvent une écoute ou bras de spi.
  • barre : manche, roue, relié au safran. Permet au skipper de diriger le bateau.
  • barrer : conduire, diriger le bateau.
  • barre d’écoute de grand voile : Rail situé dans le cockpit ou sur le roof, sur lequel se déplace le palan de l’écoute de grand-voile.
  • barre de flèche : Pièce située sur le mât et écartant les haubans.
  • bastaque : élément du gréement dormant d’un voilier. Ils ont deux et retiennent le mât sur l’arrière. La bastaque au vent est bordée, celle sous le vent est choquée.
  • bastingage : protection, le long du pont.
  • bau : plus grande largeur du bateau.
  • bôme : espar horizontal articulé dans l’axe permettant de gréer la grand voile.
  • border : se dit de l’action de tirer une écoute, une drisse.
  • bordure : Côté inférieur d’une voile.
  • bosse : petit cordage permettant de ferler une voile. Bosse d’enrouleur, bosse de ris.
  • bout  : nom donné aux cordages d’un bateau.
  • cadène : la cadène permet de tenir les haubans, tenant le mat. Elle est tenue sur le pont du bateau ou la coque.
  • cape : Technique permettant de limiter les effets du gros temps. C’est une allure d’attente, qui laisse le bateau dériver. Utile pour reposer l’équuipage ou récupérer un homme à la mer.
  • Chariot de grand voile : Chariot qui coulisse sur la barre d’écoute et sur lequel est fixé le palan d’écoute de grand-voile.
  • chaumard : pièce d’accastillage , fixée sur l’étrave, où l’on passe les amarres.
  • choquer : l’action de relâcher ou détendre une écoute ou une drisse.
  • chandeliers : tiges rigides verticales permettant de passer les filières de sécurité le long du bateau.
  • Chute : Côté arrière d’une voile.
  • Cockpit : endroit situé à l’arrière du voilier, ou en son centre, où se trouvent la barre et les principales manoeuvres.
  • Corps-mort : bloc ou est relié une bouée via une chaîne permettant de mouiller un bateau.
  • cunningham  : réglage situé sur le point d’amure de la voile. Il permet de régler le creux.
  • davier : pièce d’accastillage située sur l’avantt du bateau par où passe la chaîne de l’ancre.
  • Délaminage : Décollement des différentes peaux et matériaux composant les matériaux composites. Souvent suite à une infiltration d’eau. Rend la structure souple.
  • dérive : partie de la coque jouant le rôle de système anti dérive. Par opposition à la quille, la dérive n’est pas lestée et peut être relevée.
  • dessaler : lorsqu’un bateau chavire.
  • diamant : endroit ou se croise la verge et les pattes sur une ancre.
  • draille : élément du gréement dormant permettant de renforcer le mât. Le câble de la mi-hauteur, jusqu’à descendre vers l’étrave, On peut, éventuellement, y établir une trinquette.
  • drisse  : élément du gréement courant, servant à hisser ou affaler une voile.
  • écoute : Bout qui permet de régler une voile.
  • empanner : par vent arrière, c’est le fait de changer d’amure.
  • enfourner : enfoncer la proue et l’avant du pont sous l’eau.
  • étai : élément du gréement dormant. Il soutient le mât sur l’avant.
  • étarquer : action de tendre fortement un bout.
  • étrave  : extrémité avant du voilier.
  • faseyer : Une voile fasseye quand elle flotte au vent, sans être bordée.
  • fuite : allure de sauvegarde au portant, utilisée par mauvais temps.
  • foc : voile située à l’avant du mât.
  • ferler  : plier une voile.
  • Galhauban : Hauban latéral pris en tête de mât.
  • génois : voile d’avant plus grand que le foc, avec un recouvrement important de la grand-voile. Le génois peut être sur enrouleur.
  • gennaker : voile d’avant intermédiaire, entre le génois et le spinnaker asymétrique.
  • gîte : inclinaison d’un voilier, sous l’effet du vent. Cela peut aussi être le cas quand le voilier est mal équilibré, de par les effets embarqués.
  • godille : aviron qui s’utilise depuis l’arrière du bateau, en faisant un mouvement en huit. Permet à un équipier, seul, de faire avancer un bateau.
  • grain : vent fort et de courte durée, accompagné de pluie ou de grêle.
  • grand-voile : voile principale du navire, hissée à l’arrière du grand mât, et sur la bôme.
  • gréement courant: Partie mobile du gréement permettant d’envoyer et de régler la voilure.
  • gréement dormant : Partie fixe du gréement permettant de maintenir le mât.
  • guindeau : treuil permettant de remonter une ancre et la ligne de mouillage. Il peut être manuel ou électrique.
  • gouvernail  : dispositif mobile permettant de diriger le bateau.

plan voilier

  • hale-bas : gréement courant permettant de maintenir la bôme ou un tangon vers le bas. Pour la bôme, il peut être constitué d’un palan.
  • hauban : câble faisant partie du gréement dormant d’un voilier. Il soutient le mât latéralement.
  • haler : tirer sur un câble.
  • hisser  : monter une voile, une charge.
  • jas : barre transversale d’une ancre, elle lui permet de crocher.
  • Jauge : Ensemble de règles précisant le cadre technique que doit respecter un voilier de course pour respecter une classe.
  • ketch  : voilier à deux mâts constitué d’un grand mât, à l’avant, et d’un plus petit, à l’arrière, appelé mât d’artimon.
  • Lest : poids, situé au plus bas, permettant contre-balancer la gîte du voilier.
  • Ligne de flottaison : La ligne de flottaison est la limite de la surface de flottaison. Elle sépare les oeuvres vives des oeuvres mortes.
  • lit du vent :direction d’où vient le vent.
  • Lof : Brusque remontée dans le vent.
  • lofer : rapprocher l’axe du bateau du lit du vent. Le contraire est abattre.
  • Longueur hors tout : La plus grande longueur du bateau, comprenant les parties externes à la coque.
  • louvoyer  : virer successivement de bord, au près, afin de remonter au vent.
  • Mille nautique : Unité de distance maritime égale à environ 1852 mètres.
  • mou : Un voilier est mou quand il a tendance à abattre.
  • Mouiller : Jeter l’ancre.
  • moustaches  : permet de tenir, latéralement, le bout-dehors.
  • nœud  : C’est l’unité de mesure de la vitesse utilisée en navigation. Un nœud correspond à un mille marin par heure, soit 1,852 kilomètre par heure.
  • œillet : petit trou en forme d’œil, pratiqué dans une voile. Il permet de passer une bosse ou une écoute.
  • orin  : bout, attaché au diamant d’une ancre permettant de la faire décrocher plus facilement.
  • Pare-battage : bouées permettant de protéger la coque.
  • pataras : câble du gréement dormant d’un voilier. Il soutient le mât sur l’arrière.
  • passe-coque : Tube traversant la coque et permettant de positionner les capteurs des instruments de navigations, ou bien les prises et entrées d’eau de mer et les évacuations d’eaux usées.
  • piano : Ensemble des bloqueurs, situés dans le cockpit, sur le roof en général.
  • point d’amure : point bas avant d’une voile.
  • point de drisse : point haut d’une voile, qui permet de la hisser.
  • point d’écoute : point bas arrière d’une voile, qui permet de la border.
  • pont : plate-forme permettant de protéger l’intérieur d’un bateau. On peut circuler dessus.
  • poupe : partie arrière d’un bateau.
  • proue : partie avant d’un bateau.
  • près : allure permettant de remonter au vent.
  • près serré : allure au plus près du vent.
  • puits de dérive : logement dans la coque permettant de faire coulisser la dérive verticalement.
  • palan  : ensemble de cordage et poulies permettant de démultiplier les efforts.
  • quille : partie lestée, sous le voilier, qui permet de faire contre-poids. Dans le même temps, elle sert de plan anti-dérive. La quille peut être fixe, relevable voir pivotante.
  • quête : angle inférieur à 90° formé par le mât et la ligne de flottaison4.
  • rappel : c’est l’action , pour l’équipage , de se mettre au vent, pour faire conserver une gîte raisonnable au bateau.
  • réa : partie mobile d’une poulie , ou s’enroule le bout.
  • refuser : contraire de adonner. Quand le vent a tendance à revenir de l’arrière vers l’avant.
  • ridoir : outil permettant de tendre et régler le gréement dormant.
  • ris : système de réduction de la voilure.
  • roulis  : mouvement transversal du bateau.
  • safran : partie immergée et pivotante du gouvernail permettant d’orienter le bateau.
  • sillage : Trace laissée par un bateau, sur l’eau, quand il avance.
  • solent : petit foc.
  • spinnaker : grande voile d’avant, creuse, sans guindant. Utilisée aux allures portantes.
  • spi : diminutif de « spinnaker ».
  • sous-barbe : cable maintenant le bout-dehors horizontale, et dans l’axe du voilier.
  • sous le vent  : partie du bateau se trouvant du côté opposé au lit du vent.
  • talonner : toucher le fond de la mer avec la quille du bateau.
  • tangage : mouvement longitudinal d’un bateau.
  • tangon : espar utilisé pour tenir écartée une voile (foc, trinquette, spi).
  • tourmentin : Très petit foc utilisé dans le mauvais temps.
  • traînards : aussières traînant dans l’eau afin de réduire la vitesse du bateau, sur l’eau, à l’allure de fuite.
  • tribord : côté droit du bateau, en regardant vers l’avant.
  • Tribord amures : Un voilier tribord amures reçoit le vent par la droite du navire.
  • U  : pavillon du code international. Il représente la lettre U et signifie la présence d’un danger.
  • vent apparent : vent relatif. résultat de la vitesse du navire et du vent vrai.
  • vent debout : Quand le vent arrive face à l’étrave.
  • vent vrai : Direction réelle du vent.
  • violons de ris : poulies par lesquelles passent les bosses de ris pour ariser la voilure.
  • virer de bord : changer de cap, mais aussi le côté d’où vient le vent. manoeuvre s’effectuant en passant face au vent.
  • vit-de-mulet : pièce métallique fixant la bôme au mât.
  • VMG  : référence permettant l’optimisation entre la vitesse d’un voilier suivant la direction du vent et la distance à parcourir.
  • winch  : treuil permettant de border des écoutes ou étarquer des drisses

description voile

Pourquoi le vocabulaire marin est important?

Le vocabulaire marin est important lorsque l’on navigue sur un bateau pour plusieurs raisons :

Sécurité : Le vocabulaire marin est utilisé pour communiquer des informations importantes sur la navigation, la météo, les conditions de la mer, les obstacles, les feux et les signaux de navigation. Si vous ne comprenez pas ces termes, vous risquez de ne pas comprendre les instructions importantes et de prendre des décisions dangereuses qui peuvent mettre en danger votre bateau et votre équipage.

Communication : En connaissant le vocabulaire marin, vous pouvez communiquer efficacement avec d’autres marins et les autorités portuaires. Cela vous permet de vous intégrer facilement dans la communauté des marins et d’obtenir des informations importantes sur les conditions de navigation et les ports d’escale.

Précision : Les termes marins sont souvent très précis et spécifiques, et leur utilisation permet une communication claire et concise. Cela est particulièrement important lors de situations d’urgence où il est essentiel que les messages soient compris rapidement et sans ambiguïté.

Tradition : Le vocabulaire marin fait partie intégrante de la tradition maritime. En connaissant et en utilisant ces termes, vous vous connectez à une riche histoire et culture maritime qui remonte à des siècles.

En somme, la connaissance du vocabulaire marin est donc cruciale pour assurer la sécurité, la communication et la précision lors de la navigation, tout en préservant la tradition maritime.

Pour aller plus loin:

Comment recourir à une location d’un catamaran en Corse ?

Vous connaissez désormais, grâce à cet article, tout le lexique afférent à la voile et aux bateaux. Que vous soyez un passionné ou un simple amateur, la mer, le grand large et les excursions maritimes font fantasmés de nombreuses personnes. Dans le cadre de vos congés d’été vous aspirez peut être à vivre une expérience exceptionnelle en pleine mer. Certains endroits sont plus appropriés que d’autres pour profiter de ces moments, ce qui est le cas de la mer méditerranée et de l’Ile de Beauté. Ainsi dans le cas où vous souhaitez recourir à une location d’un catamaran avec skipper en Corse , laissez nous vous conseiller sur les critères à analyser avant de réaliser votre choix.

En effet si ce projet vous fait rêver il n’en reste pas moins onéreux. L’avantage d’un catamaran consiste généralement en sa dimension importante. Celui-ci peut donc accueillir plusieurs personnes ce qui vous permettra d’une part de mutualiser les frais de location et d’autre part de profiter de ce moment en groupe d’amis, famille ou proches. Il vous incombe donc d’analyser le prix de location proposé par rapport au nombre de personnes pouvant être accueilli. Le deuxième avantage de ce type de sortie réside dans le fait que vous jouirez d’un bateau exceptionnel vous permettant de bénéficier d’une excursion mémorable. Celui-ci est premièrement stable et donc adapté à recevoir tout type de personne ayant le mal de mer ou non. Il est aussi spacieux et très rapide. Enfin cette sortie implique qu’un skipper chevronné vous accompagne pour bien évidemment diriger le catamaran, mais également pour vous permettre de profiter d’une sortie en mer appréciable en jouant au guide et en vous faisant découvrir des coins inaccessibles pour les non connaisseurs.

La finalité de antillesvoile.com est de débattre de Pratiquer la voile aux antilles en toute authenticité en vous donnant la visibilité de tout ce qui est en lien avec ce thème sur le net Ce texte est reconstitué aussi exactement que possible. Si vous projetez d’apporter quelques modifications sur le thème « Pratiquer la voile aux antilles », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre journaliste responsable. Ce dossier autour du sujet « Pratiquer la voile aux antilles » a été trié en ligne par les spécialistes de la rédaction de antillesvoile.com En consultant de manière régulière notre blog vous serez informé des futures parutions.

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Guide du débutant sur la terminologie des bateaux

Contenus de la page

«Regardez là-bas, sous le plat-bord», dit le skipper à un invité qui a besoin d’un hameçon pour aider à attraper une amarre. « Sous le quoi? » demande l’invité. « Là-bas, à tribord, sous le plat-bord », dit le capitaine, ajoutant: « Il est juste devant ce coffre de rangement du cockpit. » De toute évidence aggravé, l’invité dit: «Pouvez-vous parler anglais, s’il vous plaît? Et que signifie le «mouillage»?  »

La terminologie nautique peut être un obstacle frustrant à la communication sur un bateau, en particulier entre les anciens sels et les débutants. Bien qu’il puisse sembler que les gens qui utilisent ce langage parfois déroutant ne font que dire des mots perplexes pour être snob, ce n’est généralement pas le cas. Faites-nous confiance, sachant que la langue vernaculaire est un élément important pour être un plaisancier capable – ce n’est pas certains plaisanciers en langage secret qui ont l’air cool.

Dans cet esprit, nous avons rassemblé un glossaire basique mais complet pour vous aider à démarrer sur la voie de la maîtrise du bateau. Bien qu’un compte rendu complet de ces mots puisse s’étendre sur un nombre infini de pages, nous avons répertorié les véritables éléments essentiels dont vous aurez besoin pour devenir un membre compétent de tout équipage de bateau et même en avoir l’air.

Connaissez-vous l'arc de la poupe? Sinon, vous le ferez après avoir lu cet article.

Connaissez-vous l’arc de la poupe? Sinon, vous le ferez après avoir lu cet article.

Parties d’un bateau

Peut-être que les termes les plus importants que vous pouvez connaître en tant que plaisancier sont les mots qui identifient les nombreuses pièces et pièces différentes qui composent un bateau. Que vous demandiez à quelqu’un de fermer la porte à la tête ou de fixer un équipement dans le casier arrière, avoir une connaissance de base des termes de bateau suivants contribuera grandement à faire progresser votre jargon nautique.

Ballast: Poids ajouté à un bateau pour améliorer la stabilité. « Le J / 24 a 950 livres de ballast de plomb. »

Couchette: Un coin couchage sur un bateau. Aussi, un endroit où un bateau est amarré. « Nous avons dormi dans la couchette avant tandis que John et Amy dormaient dans la couchette quart » ou « Nous gardons notre bateau dans une couchette à la marina de McDoodle. »

Fond de cale: La section la plus basse d’un bateau où l’eau s’accumule généralement. « Le bac de douche est situé dans la cale. »

Bimini: Un type de toit en toile pliable utilisé pour protéger les occupants de la pluie et du soleil. « C’était agréable et frais dans le cockpit arrière sous le toit Bimini. » Vous pouvez en regarder un en cours de configuration et voir comment il fonctionne une fois déployé, dans notre revue de bateau vidéo Cruisers Sport Series 258.

Arc: L’extrémité avant de tout bateau. « John est monté à la proue pour abaisser l’ancre. »

Cloison: Il s’agit généralement d’un composant structurel transversal d’un bateau qui supporte souvent un pont. « La cloison arrière sépare le salon principal de la salle des machines. »

Cabine: Un espace clos et protégé sur un bateau. « La cabine du bateau était large et spacieuse avec beaucoup d’espace pour se détendre hors du temps. » Il peut aller d’une petite «cabine douillette» à de grands espaces de vie avec plusieurs pièces, qui peuvent elles-mêmes être appelées cabines.

Cabintop: La surface de pont plate ou incurvée au-dessus d’une structure fermée sur un bateau. « Il y a beaucoup d’espace sur le cabintop pour ranger le canot. »

Plateforme de casting: Un pont surélevé et ouvert sur un bateau de pêche utilisé pour lancer une canne à pêche. Vous pouvez voir un excellent exemple de plates-formes de casting sur le Pathfinder 2600 HPS.

Échine: La partie d’un bateau où ses côtés de coque et son fond se croisent. « Les échines du bateau étaient tranchantes et inclinées, ce qui lui donnait un aspect agressif. »

Taquet: Un raccord en métal ou en plastique utilisé pour fixer solidement une ligne. «Peter a attaché l’aile au taquet droit au milieu du navire.»

Hommage: Bords ou côtés surélevés, conçus pour empêcher les vagues et l’eau de pénétrer dans une certaine zone d’un bateau. « Le cockpit a un hiloire ample pour garder la zone sèche et lui donner une sensation de sécurité. »

Cockpit: Toute zone semi-fermée et encastrée qui est plus basse que les ponts environnants, comme le cockpit d’un voilier ou un bateau à moteur à console centrale. « Le refroidisseur était rangé dans le cockpit arrière. »

Escalier des cabines: Une entrée donnant accès aux espaces sous les ponts d’un bateau. « L’office est situé juste en dessous de l’escalier des cabines, à bâbord. »

Console: Une zone surélevée au-dessus du pont ou du cockpit où les occupants sont souvent assis ou debout pendant que le bateau est en route. « John a conduit le bateau de la barre, qui est située dans la console tribord. »

Plate-forme: Essentiellement toute surface extérieure plate et exposée d’un bateau sur laquelle les gens se tiennent. « Les ponts étaient inondés d’eau salée après que la vague s’est écrasée sur eux. »

Dinette: Un espace pour dîner sur un bateau, généralement avec une table dressée entre deux coins salon. « La salle principale a un énorme dinette au tribord. » Il y en a une superbe photo dans notre revue du Flybridge Prestige 620 S.

Flybridge: Un poste de pilotage, parfois avec un petit espace de divertissement, construit au sommet d’une cabine de bateau. Il est aussi parfois appelé «pont volant». «Nous avons fait rouler le bateau du haut du flybridge, ce qui nous a donné une superbe vue sur l’océan.»

Pont avant: Le pont le plus en avant sur un bateau. «Le guindeau d’ancre est situé sur la proue; vous pouvez y accéder depuis le pont avant.  »

Galère: Une zone sur un bateau où la nourriture est préparée. « John a fait cuire à la vapeur les homards sur le poêle dans la cuisine. »

Plat-bord: Le bord supérieur des côtés de la coque d’un bateau. « Les supports de canne à pêche sont situés le long du plat-bord tribord. »

Hard-top: Une structure extérieure en fibre de verre ou en toit composite supportée qui couvre une partie d’un bateau. «Nous avons monté le dôme radar sur le toit rigide» ou «Le toit rigide recouvre la console centrale.»

La trappe: Couvercle ou porte qui se ferme sur toute ouverture du pont ou du cabintop d’un bateau. « La trappe avant a permis à beaucoup de lumière naturelle à l’intérieur du bateau. »

Tête: La salle de bain sur un bateau. « Une tête fermée est installée sous la console centrale, lorsque la nature l’appelle. »

Barre: La zone d’un bateau où se trouvent les commandes de direction et de moteur. « Betsy a dirigé le bateau depuis la barre. »

Coque: Les parties physiques d’un bateau qui sont assis dans l’eau. «Le Jones Brothers Cape Fisherman 23 a une forme de coque qui traverse facilement les vagues.» Voir notre vidéo Bases de la coque d’un bateau pour en savoir plus sur les différentes formes de coque.

Moteur in-bord: Un moteur qui est monté à l’intérieur de la coque d’un bateau. « Le bateau a un moteur in-bord essence de 237 chevaux. » Les bateaux peuvent être appelés in-bord s’ils ont un arbre droit traversant la coque (comme le Marlow Pilot 34), une transmission en poupe traversant le tableau arrière (comme le Monterey 218SS), ou des lecteurs de pod passant par le fond du bateau ( comme dans le cas du Sea Ray L590).

Foc: Généralement, la plus petite de deux voiles ou plus sur un voilier, survolant le mât. « Gael a coupé le foc bien serré alors qu’elle faisait un parcours contre le vent. »

Sièges de saut: Petits sièges escamotables généralement situés dans le cockpit arrière d’un bateau à moteur. « L’Everglades 243cc a deux sièges escamotables de saut dans le cockpit arrière. »

Lignes de vie: Câbles ou lignes utilisés pour empêcher les personnes ou l’équipement de tomber par-dessus bord. «Andrea a saisi fermement les lignes de vie en marchant sur le pont tribord.»

Bien vivre: Un compartiment spécialisé sur un bateau conçu pour garder les poissons, les crevettes et autres appâts de pêche en vie. « Fred a stocké le vivier avec un tas de vairons. »

Casier: Une zone sur un bateau où le matériel est rangé. « Les coffres à pêche sont dans le coffre de rangement arrière. »

Grand-voile: Généralement la plus grande voile sur un voilier. « Eve a hissé la grand-voile alors que John pointait le bateau dans le vent. » (Voir Navigation de base et matelotage: comprendre les voiles pour en savoir plus sur les différentes voiles trouvées sur les voiliers).

Mât: Une structure verticale, généralement en aluminium, qui supporte les voiles sur un voilier. «Nous avons hissé la grand-voile le long du mât avant de lever le foc.»

Quille: La partie la plus basse de la coque d’un bateau lorsqu’elle se trouve dans l’eau. En outre, un appendice de coque qui améliore la stabilité. «Le Bristol 24 a une quille pleine qui contribue à améliorer sa stabilité latérale.»

Puits hors-bord: Une zone en retrait sur un bateau juste en avant de l’endroit où un moteur hors-bord est monté. « Le moteur hors-bord était bien rempli d’eau lorsque nous avons reculé le bateau dans un ensemble de vagues. »

Moteur hors-bord: Un moteur qui est généralement monté sur le tableau arrière d’un bateau qui a un bloc moteur autonome, une transmission et une unité d’entraînement inférieure. « Le bateau a un moteur hors-bord de 350 chevaux sur sa poupe. » Vous pouvez en savoir plus sur les différents moteurs et systèmes d’entraînement en lisant Moteurs marins et systèmes d’alimentation.

Lecteurs Pod: Moteurs in-bord montés au-dessus des unités d’entraînement articulées qui dépassent à travers le fond du bateau. «Les lecteurs de pod offrent une excellente maniabilité et maniabilité.» Lisez tout sur les lecteurs de pod pour en savoir plus.

Hélice: Un appareil rotatif associé à un moteur pour propulser un bateau dans l’eau. « Le moteur hors-bord a une hélice en acier inoxydable. » Regardez notre vidéo Comment fonctionnent les hélices pour en savoir plus sur les hélices (également appelées «accessoires»).

Gréement: Les lignes et les fils qui soutiennent et aident à contrôler un espar ou un mât. «Le pataras, l’étai et les haubans latéraux font partie du gréement qui soutient le mât.»

Rubrail: Un élément extérieur protecteur sur les côtés de la coque qui aide à protéger la coque contre les dommages. « Le rubrail reposait contre le pilotis, protégeant la coque du bateau. »

Gouvernail: Un appendice de coque vertical qui contrôle la direction. «Le long et mince gouvernail du Farr 40 rend le bateau très maniable.»

Salon: Une chambre dans la cabine sur un bateau qui est généralement la principale zone de divertissement. «Nous avons servi des cocktails dans le salon principal; c’était un endroit idéal pour divertir nos invités. »

Scuppers: Drains de pont qui canalisent l’eau de la pluie et pulvérisent par-dessus bord. « Le cockpit s’est rempli d’eau, mais a été rapidement vidé par les dalots. »

Ligne pure: Le contour du pont d’un bateau au plat-bord ou au joint coque-pont de la proue à la poupe. « Le bateau a une ligne pure qui monte gracieusement vers la proue. »

Cabine: Une cabine fermée dans un bateau avec couchage. « La cabine principale avait des logements luxueux, y compris une couchette queen-size. »

Arrière: Section la plus à l’arrière de la coque d’un bateau. « Nous avons monté l’échelle de bain sur la poupe du bateau. »

Stern Drive: Un système de propulsion composé d’un moteur in-bord avec un système d’entraînement orientable qui est monté sur le tableau arrière. «Le bateau était équipé de deux moteurs à gaz internes MerCruiser couplés à des propulseurs de poupe.» Vous pouvez en savoir plus sur les différents moteurs et systèmes d’entraînement en lisant Moteurs marins et systèmes d’alimentation.

Plateforme de bain: Une structure à l’arrière d’un bateau conçue pour faciliter l’entrée et la sortie de l’eau. « Janie était assise sur la plateforme de bain avec ses jambes pendantes dans l’eau. »

T-Top: Une structure métallique sur un bateau qui est généralement recouverte d’une section de toile ou d’un toit rigide pour protéger les occupants du soleil, des embruns et de la pluie. « George et son équipage se sont blottis sous le T-top pendant la tempête de pluie. »

Taller: Une poignée en bois, en métal ou en composite qui est reliée au (x) gouvernail (s) ou à un petit hors-bord et utilisée pour diriger un bateau. «Alors que le vent augmentait, Blair a tiré fort sur la barre pour garder le bateau sur la bonne voie.»

Toerail: Un rail ou un violon en bois ou en fibre de verre situé autour du bord extérieur du pont d’un bateau, généralement situé près de l’endroit où les côtés de la coque rencontrent le pont. « Le bout du bateau en teck était magnifiquement verni. »

Topsides: La partie de la coque d’un bateau qui se trouve au-dessus de la ligne de flottaison. « Jenny a poli les topsides pour une belle brillance. »

Traverse: La section la plus à l’arrière d’un bateau qui relie les sections bâbord et tribord de la coque. « La plupart des gens mettent le nom d’un bateau sur le tableau arrière, bien que certains le mettent sur les côtés de la coque. »

Onglets de coupe: Plaques métalliques réglables sur le fond ou le tableau arrière de la coque d’un bateau à moteur qui aident à ajuster l’attitude de course, le tangage et le roulis du bateau lorsqu’il se déplace dans l’eau. Sur un voilier, un seul compensateur peut être situé sur le bord arrière de la quille pour aider le bateau à mieux diriger dans certaines conditions. « Jim a ajusté les volets de trim pour rendre la proue du bateau à moteur plus loin dans l’eau. »

V-Couchette: Une couchette située à l’avant d’un bateau. « Fred a fait une sieste dans la couchette en V. »

Ligne de flottaison: La ligne autour de la coque d’un bateau où elle coupe l’eau. « Nous avons passé toute la journée à nettoyer la ligne de flottaison du bateau. »

Mesures du bateau

La meilleure façon de se faire une idée de ce à quoi un bateau est conçu et de la façon dont il agira dans l’eau est de jeter un coup d’œil à certaines de ses principales mesures et spécifications. Connaissez ces termes et vous êtes sur le point de pouvoir identifier les caractéristiques clés de tout bateau donné que vous rencontrez en personne, ou dans une critique ou une vidéo.

Faisceau: La mesure de la largeur d’un bateau à son point le plus large. « Le Boston Whaler 320 Outrage a un faisceau de 10 pieds et deux pouces. »

Deadrise: L’angle de la forme en «V» de la coque d’un bateau à moteur, généralement mesuré en degrés au tableau arrière. « Le bateau a un énorme deadrise de traverse de 24 degrés, qui le rend extrêmement capable dans l’eau agitée. »

Déplacement: Le poids de l’eau déplacée par la coque d’un bateau. « Le bateau déplace 18 200 livres. » Le déplacement d’un bateau est égal à son poids à un moment donné, avec une charge donnée.

Brouillon: La distance totale à laquelle un bateau pénètre dans l’eau, de la ligne de flottaison au fond de la quille ou de l’appendice. « Le Schenectady 54 a un tirant d’eau de quatre pieds, six pouces. »

Poids sec: Le poids d’un bateau sans carburant ni eau à bord. « Le bateau a un poids sec de 3 456 livres. »

Franc-bord: La distance entre la ligne de flottaison d’un bateau et le sommet de ses plat-bords. «Le haut franc-bord du bateau nous a permis de nous sentir en sécurité dans les grosses vagues.»

Longueur totale: La longueur totale d’un bateau, mesurée de ses appendices les plus à l’arrière aux plus avancés. Parfois abrégé «LOA». « Le bateau avait une longueur hors tout de 21 pieds, cinq pouces, de sa plate-forme de nage à la flèche avant. »

Longueur de flottaison: La longueur de la coque où elle coupe l’eau, de la proue à la poupe. Parfois raccourci à «LWL». « Le superyacht a une longueur de ligne de flottaison de 102 pieds. »

S'agit-il d'une console centrale ou s'agit-il d'un croiseur express? Continuez à lire pour le découvrir.

S’agit-il d’une console centrale ou s’agit-il d’un croiseur express? Continuez à lire pour le découvrir.

Types de bateaux

Bien que ce ne soit pas une compétence de navigation essentielle à maîtriser dans tous les types de bateaux à moteur et à voile sur l’eau, la plupart des plaisanciers accomplis savent identifier une poignée de différents modèles de bateaux de base, ainsi que ce qu’ils sont conçus pour faire. Voici une liste des types les plus populaires.

Bass Boat: Un type de bateau qui a généralement un pont plat, un franc-bord bas et un tirant d’eau peu profond qui est utilisé principalement pour la pêche des lacs et des rivières protégés. Le Triton 21 TRX est un excellent exemple de bass boat.

Bateau de la baie: Un bateau de pêche à console centrale à franc-bord bas conçu pour une utilisation côtière et côtière. Pour en savoir plus, consultez notre fonctionnalité complète Bay Boat Battles: What Makes One Better Than the Other.

Bow Rider: Un bateau à moteur avec un coin salon installé à l’avant. Pensez à consulter notre guide de l’acheteur Bow Riders: 10 considérations clés avant d’acheter.

Vedette: Généralement, tout bateau à moteur plus grand qui offre un hébergement pour dormir dans sa structure. Ce terme générique peut être utilisé pour décrire des motoryachts, des expresses et un certain nombre de conceptions différentes.

Catamaran: Un bateau à moteur ou à voile avec deux coques.

Console centrale: Un bateau à moteur avec sa console et sa barre situé dans un emplacement central sur le pont. Lisez notre fonctionnalité Bateaux à console centrale: pêchez, croisière ou amusez-vous juste pour vous maigrir sur cette classe de bateaux.

Cuddy Cabin: Un bateau à moteur avec une cabine relativement petite sur sa partie avant. Apprenez ce qui fait vibrer ces superbes bateaux en consultant notre fonctionnalité Cuddy Cabin Boats: Family Friendly Fun.

Bateau pont: Un bateau à moteur avec un plan de pont plat et ouvert et sans hébergement sous les ponts. La plupart des bateaux à pont ont une forme plutôt carrée, au lieu de se rétrécir jusqu’à un point à la proue, pour créer plus d’espace sur le pont vers l’avant. L’ouragan Sundeck en est un exemple classique.

Bateau Downeast: Un style traditionnel de bateau dérivé principalement de la conception commerciale de bateaux à homard Downeast du nord-est américain.

Double console: Un bateau avec deux tableaux de bord séparés par une passerelle qui permet d’accéder à un cockpit avant ou à un coin salon. Vous pouvez avoir une idée de ce que sont ces bateaux en lisant notre fonctionnalité Bateaux à double console: le bon, le mauvais et le laid.

Bateau express: Un bateau à moteur élégant avec un poste de pilotage au niveau du pont, pas de pont volant et une cabine en avant et en dessous du poste de barre. Les gens sur le marché d’un croiseur express seraient avisés de parcourir notre article Choisir le croiseur express parfait pour plus d’informations.

Flats Boat: Un skiff motorisé conçu avec un tirant d’eau extrêmement peu profond pour la pêche dans les appartements et autres zones peu profondes.

Bateau maison: Tout comme son nom l’indique; ce sont des bateaux qui ont un grand logement comme à la maison construit sur une coque de barge.

Bateau gonflable: Tout bateau avec des sponsors gonflables et un fond flexible. En savoir plus sur ces embarcations utilitaires en lisant notre article sur le choix du bateau gonflable parfait.

Jon Boat: Petit bateau utilitaire à fond plat, généralement en aluminium. Nous avons passé en revue une série complète de jon boats dans notre revue vidéo Frontier Series.

Bateau multi-espèces: Un bateau à double console ouvert et robuste avec un cockpit utilitaire conçu principalement pour la pêche des lacs et des rivières. La plupart sont construits en aluminium.

Motomarine: Petite motomarine ouverte à propulsion par jet pouvant accueillir de une à trois personnes. Souvent abrégé en «PWC».

Bateau ponton: Un bateau à pont plat avec une clôture périmétrique construite au-dessus de deux pontons ou plus. Découvrez tout sur ces plates-formes de fête en lisant les bases du bateau ponton.

Bateau à coque gonflable rigide: Un bateau gonflable avec des sponsors construits autour d’une coque rigide en fibre de verre ou en aluminium. Aussi connu sous le nom de «RIBs».

Courir: Un terme générique utilisé pour tout petit bateau à moteur, généralement destiné à la navigation de jour avec un hébergement sous-pont limité (le cas échéant).

Voilier: Tout bateau conduit par des voiles.

Sloop: Un voilier avec un mât, un foc et une grand-voile. Le type de voilier le plus courant.

Yacht Sportfish: Généralement, un grand bateau de pêche hauturière avec un cockpit arrière expansif, des ponts latéraux étroits, un pont avant généreux et un flybridge qui se trouve au-dessus d’un salon principal spacieux.

Bateau de remorquage: Un bateau conçu et construit dans le but de remorquer des personnes qui aiment les sports nautiques comme le wakeboard, le wake surf ou le ski nautique. Souvent, ce sont aussi appelés bateaux de sports nautiques.

Chalutier: Un bateau à moteur récréatif robuste et de longue distance conçu pour la croisière qui ressemble à des chalutiers de pêche commerciale.

Trimaran: Tout bateau à trois coques.

Se promener: Un bateau de pêche construit avec des ponts latéraux qui permet aux pêcheurs de se promener dans la cabane et jusqu’à un pont avant.

Instructions et conditions nautiques

Si quelqu’un vous demandait: «Pouvez-vous chercher dans le casier de rangement arrière une trousse de premiers soins» sauriez-vous où chercher? Sinon, les termes nautiques de base suivants qui s’appliquent à la direction, à l’emplacement et à la vitesse peuvent vous être utiles.

S'agit-il d'une cabine avant ou est-ce à l'arrière? Découvrons-le.

S’agit-il d’une cabine avant ou est-ce à l’arrière? Découvrons-le.

En haut: Au-dessus du pont, généralement dans le gréement. « Harry est allé en haut pour réparer l’antenne VHF. »

Un faisceau: A côté ou à angle droit de l’axe d’un bateau. «La police maritime a amené son bateau de patrouille juste à côté de nous.»

À l’arrière: Vers la poupe du bateau, ou plus près de la poupe qu’un autre élément référencé. « La chaise du capitaine est juste à l’arrière du poste de barre. »

Au milieu du navire: La partie centrale du bateau. « Gardons tout l’équipage au milieu du navire pour mieux équilibrer le bateau. »

Vers l’avant: Vers la proue du bateau, ou plus près de la proue qu’un autre élément référencé. « Les sièges avant sont juste en avant du poste de barre. »

Noeuds: Terme utilisé pour décrire la vitesse à laquelle un navire se déplace en milles marins par heure. Un mille marin équivaut à 1,15 mille terrestre. «Nous naviguions à 20 nœuds, ce qui représente 23 mi / h.»

Port: Le côté gauche d’un bateau face à l’avant. « Le casier de vitesse est du côté bâbord du cockpit arrière. »

Tribord: Le côté droit d’un bateau face à l’avant. «L’hameçon est sous le plat-bord côté tribord.

Conditions d’amarrage et d’amarrage

Amarrer un bateau est une compétence importante que tous les plaisanciers doivent apprendre. Si vous êtes nouveau dans la navigation de plaisance et que vous ne connaissez pas une ligne de printemps à partir d’une ligne de poupe, vous devriez lire Conseils sur la navigation de plaisance: conseils pour un amarrage plus facile, cinq catastrophes d’amarrage: ne laissez pas cela vous arriver !, et attacher des bateaux: Bases d’amarrage. En attendant, vous pouvez parcourir les termes d’amarrage de base que nous avons définis ci-dessous.

Ligne d’arc: Des amarres fixées à la proue d’un bateau qui limitent son mouvement.

Taquet: Un raccord en métal ou en plastique utilisé pour fixer solidement une ligne.

Dock: Passerelle plate généralement fixée aux pilotis auxquels les bateaux sont attachés. Les quais peuvent être fixes ou flottants.

Dock Line: Une ligne en nylon tressé ou à trois brins conçue pour fixer un bateau le long d’une cloison, à un quai, dans une cale ou à un autre bateau.

Aile: Un coussin gonflable utilisé pour protéger un bateau contre le contact contre les pilotis, les quais, les jetées, les cloisons ou d’autres bateaux.

Jetée: Une passerelle plate et élancée qui se ramifie à partir d’un quai et divise deux glissades.

Amarrage: Ce mot se réfère à de multiples formes d’attacher un bateau. Vous pouvez appeler un flotteur ancré en permanence avec un point d’attache un mouillage; vous pouvez appeler une ligne d’amarrage une ligne d’amarrage, et lorsque votre bateau est amarré dans sa cale, vous pouvez dire qu’il est amarré.

Empilage: Un long morceau cylindrique de bois ou de métal enfoncé dans le fond qui est utilisé pour fixer les quais en place ou auxquels les bateaux peuvent être attachés.

Spring Line: Lignes de quai utilisées pour empêcher un bateau d’avancer et de reculer.

Ligne Stern: Ligne de quai solidaire de la poupe d’un bateau qui limite ses mouvements.

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Caroline Garcia, des maux et les mots pour le dire

Laurent Vergne

Mis à jour 27/09/2024 à 22:19 GMT+2

Caroline Garcia aurait juste pu annoncer la fin de sa saison ce vendredi mais la numéro un française a choisi de le faire en vidant son sac. Avec une incroyable franchise et au moins autant de lucidité, l'ex-numéro 4 mondiale explique son mal-être et le poids de cette vie pas comme les autres en ressentant un besoin urgent et indispensable de faire un break. Qu'elle en soit remerciée.

Caroline Garcia.

Crédit: Getty Images

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Vocabulaire / Pourquoi dit-on catamaran et trimaran, et non bicoque et tricoque ?

le catamaran trouve les mots pour le dire

Les mots catamaran et trimaran sont ancrés dans le vocabulaire nautique. Mais pourquoi utiliser ces termes pour les multicoques, que l'on aurait logiquement pu appeler bicoque ou tricoque ? Explications par un peu d'histoire et d'étymologie.

Briag Merlet

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Du radeau au catamaran

La construction navale occidentale traditionnelle fait la part belle depuis des siècles aux monocoques, un terme probablement anachronique pour parler de navires anciens, la question du nombre de coques étant alors absente. Mais les expéditions successives ont permis aux explorateurs d'ouvrir le champ des connaissances en découvrant de nouvelles formes de bateaux. C'est probablement de l'un de ses voyages qu'est venue l'idée à William Petty de concevoir le premier catamaran , qu'il ne nomme alors pas ainsi, au début des années 1660.

Le terme apparaît pour la première fois, en anglais, dans le livre de William Dampier, Voyages aux Terres Australes, à la Nouvelle Hollande, sous la forme de catamaran . Il décrit ainsi les bateaux : "Sur la côte de Coromandel, on les appelle catamarans. Il s'agit d'un ou deux rondins, parfois d'un bois léger […] si petit, qu'il ne transporte qu'un homme dont les jambes et le fondement sont toujours dans l'eau."

Catamaran traditionnel d'Inde du Sud (© Cincoutprabu CC BY-SA 3.0)

En français, on trouvera, pour commencer, les formes catamaron, catimaron et cantimaron, avant que la forme anglaise ne prenne le pas. William Dampier décrit une forme de radeaux observée en Nouvelle Hollande et autour du golfe du Bengale, qui pourrait s'apparenter à des multicoques rudimentaires. Le terme vient de la langue tamoule kattumaram, composé des racines katta, qui signifie lier et maram, ayant pour sens bois.

Le trimaran , invention linguistique occidentale

Si l'on s'en tient à l'interprétation littérale, le nombre de coques compte peu. Un bateau avec une coque principale et deux flotteurs serait donc également un catamaran . Et pourtant, lorsque le trimaran , inspiré des traditions polynésiennes, se développe en occident, il faut lui trouver un nom. C'est un barbarisme issu du mot catamaran qui prend le dessus, en remplaçant cata par tri, le préfixe signifiant trois. Attesté en 1952 en français et 1949 en anglais, il est au départ condamné par quelques figures comme Jean Merrien. Le terme est aujourd'hui incontesté.

La course au large permet au trimaran d'acquérir ses lettres de noblesses. Ici Toria de Derek Kelsall.

D'autres néologismes ont vu le jour depuis, suivant le cours des inventions des architectes navals, avec l'arrivée de quadrimarans à quatre coques ou de pentamarans à 5 coques.

A l'heure où le multicoque prend tant de place dans le nautisme, il était temps de rendre hommage à l'héritage des Tamouls dans la plaisance !

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  • catalepsie, n. f.
  • cataleptique, adj.
  • catalogage, n. m.
  • catalogue, n. m.
  • cataloguer, v. tr.
  • catalpa, n. m.
  • catalyse, n. f.
  • catalyser, v. tr.
  • catalyseur, n. m.
  • catalytique, adj.
  • catamaran, n. m.
  • catanance, n. f. [5 e  édition]
  • cataphote, n. m.
  • cataplasme, n. m.
  • catapuce, n. f. [4 e  édition]
  • catapultage, n. m.
  • catapulte, n. f.
  • catapulter, v. tr.
  • cataracte [I], n. f.
  • cataracte [II], n. f.

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    le catamaran trouve les mots pour le dire

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  2. Le Mouillage Parfait

  3. Lille Asso : Les maux les mots pour le dire

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  1. PDF OFF 'C 'EL CATAMARAN TROUVE LES MOTS POUR FÊDÉRAt oile

    OFF 'C 'EL CATAMARAN TROUVE LES MOTS POUR FÊDÉRAt oile

  2. Vocabulaire / Vocabulaire nautique, le vrai parler marin

    Vocabulaire nautique, le vrai parler marin. © Chloé Torterat. Il est un monde bien particulier que celui du vocabulaire maritime. En effet, les marins ont un langage bien à eux qui échappent totalement aux novices. Apprenez les bons termes pour ne plus vous tromper. On ne dit pas….

  3. Vocabulaire marin: Tout le lexique du nautisme et du bateau

    Mers&Bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. Retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance. Connaitre le vocabulaire marin est indispensable.

  4. Expressions et vocabulaire de marins

    Voici un florilège des mots et expressions marines les plus utiles. Alpha : J'ai un plongeur ou un scaphandrier à la mer. Tenez-vous à l'écart et avancez lentement. Amarrer : retenir le bateau avec une amarre (cordage ou un câble qui permet de relier le navire à un ponton fixe).

  5. Apprendre le vocabulaire marin de la voile : le bateau

    Débutons avec quelques éléments que vous retrouverez sur la plupart des voiliers. Barre. Elle peut être à roue (comme un volant, c'est le cas sur la photo) ou franche (comme une barre qu'on tire ou pousse).

  6. Lexique de la voile

    Cette page liste les principaux termes techniques utilisés sur un voilier. (source : Wikipedia) Tout. A. B. C. D. E. F. G. H. J. L. M. P. Q. R. S. T. V. W. A. Manœuvrer le voilier de manière à éloigner son nez de l'axe du vent. ABATTRE. Action de descendre une voile. On dit aussi "amener" une voile. AFFALER. Angle d'un bateau par rapport au vent.

  7. Glossaire de la navigation à voile

    Ce glossaire de la navigation à voile liste les principaux termes techniques utilisés pour la manœuvre et l'utilisation d'un voilier. Les différents types de voiles sont décrits, avec des illustrations, dans l'article : Voile. Pour les termes non spécifiques à la voile : voir l'article glossaire maritime et les expressions de ...

  8. Quand les marins jouent avec les mots : expressions maritimes

    Les marins ont de belles expressions pour expliquer les choses de la vie. En débarquant, ils emportent avec eux à terre quelques-unes de ces maximes maritimes. Bien compréhensibles pour les navigateurs, elles sont aujourd'hui passées dans le langage courant des terriens. En voici quelques-unes expliquées.

  9. Catamaran

    Le mot « catamaran » provient de « kattuamaran » issu de la langue tamoule (« katta » qui signifie « lien » et « maram » pour « bois »). Ce type d'embarcation est commun dans de nombreuses parties du monde, en particulier dans le Pacifique.

  10. Lexique nautique

    aft-cabine : cabine occupant l'arrière et toute la largeur d'un bateau du type vedette par exemple. aiguillot : partie de la ferrure du gouvernail. allure : angle d'un bateau par rapport au vent. amener : affaler, abaisser une voile ou un pavillon de signalisation.

  11. 116 dictons nautiques

    Notre liste complète de dictons et de phrases sur la marine. Un coup de semonce : un coup de semonce, qu'il soit littéral, symbolique ou métaphorique. Historique : Ce terme maritime désigne le fait de tirer un coup de canon sur la proue d'un navire adverse pour indiquer qu'il est prêt à combattre.

  12. Manœuvres : Le catamaran en 10 étapes (ep.2)

    On utilisera tout simplement les touches « + 10° » et « - 10° » de la commande du pilote… En partant du principe qu'on a de l'eau à courir, c'est-à-dire pas d'obstacle, ni en surface ni juste en dessous ! Envoyer la grand voile.

  13. termes les marins et gens de mer

    Capitaine, Captain, master, skipper ­ - Dans la marine marchande, officier apte à diriger un navire et à commander l'équipage, titulaire d'un brevet. A la pêche on dit plutôt patron. A bord d'un yacht, le patron, ou skipper, est la per­sonne responsable du bateau, et de sa conduite.

  14. Le vocabulaire du bateau

    Orangemarine vous propose ce guide afin de découvrir tout le vocabulaire du bateau. Plus de 100 mots et toutes les illustrations !

  15. Le vocabulaire spécifique à la navigation en dériveur, foiler et

    Voler : Dans le contexte du foiling, voler signifie naviguer avec le bateau hors de l'eau, soutenu par les foils. Les catamarans, avec leur conception unique à deux coques, ont leur propre lexique. Coque : La coque est la partie du bateau qui flotte sur l'eau.

  16. Vocabulaire marin, de la voile et des bateaux

    Mers&Bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. Retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance. Connaitre le vocabulaire marin est indispensable.

  17. Guide du débutant sur la terminologie des bateaux

    Peut-être que les termes les plus importants que vous pouvez connaître en tant que plaisancier sont les mots qui identifient les nombreuses pièces et pièces différentes qui composent un bateau.

  18. Caroline Garcia, des maux et les mots pour le dire

    Caroline Garcia aurait juste pu annoncer la fin de sa saison ce vendredi mais la numéro un française a choisi de le faire en vidant son sac.

  19. Manœuvres : Le catamaran facile en 10 étapes

    Le catamaran, en croisière, c'est plus d'autonomie en eau et en carburant, plus d'énergie, plus de confort, un meilleur accès à l'annexe et donc plus de mobilité… Mais il y a aussi les « moins » : moins de promiscuité, pas de gîte, mois besoin d'escales au port, et donc moins de manœuvres de port ! Un bilan subjectif ? Sans doute.

  20. PDF OFF 'C' EL L'OPTIMIST TROUVE LES MOTS POUR LE Ecole François ...

    OFF 'C' EL L'OPTIMIST TROUVE LES MOTS POUR LE Ecole François devoile. PART ENA 'RE. oile.

  21. Pourquoi dit-on catamaran et trimaran, et non bicoque et tricoque

    Les mots catamaran et trimaran sont ancrés dans le vocabulaire nautique. Mais pourquoi utiliser ces termes pour les multicoques, que l'on aurait logiquement pu appeler bicoque ou tricoque ? Explications par un peu d'histoire et d'étymologie.

  22. Définition de catamaran

    Catamaran - Nom commun (Navigation) Embarcation dotée de deux coques parallèles, conçue pour la navigation. Dans toute l'histoire de la navigation, le catamaran est sans doute l'embarcation qui réalise les transformations les plus radicales et, sous sa forme moderne, les plus récentes. — René Marie de La Poix de ...

  23. catamaran

    Vous pouvez cliquer sur n'importe quel mot pour naviguer dans le dictionnaire. Définition de CATAMARAN : Radeau des indigènes de l'océan Indien, constitué de plusieurs troncs de cocotier, et manœuvré à la voile ou à la pagaie.