Le Yawl a 2 mâts. Le mât à l’arrière (mât d’artimon) est plus petit que celui de l’avant (grand mât). Le mât d’artimon est situé en arrière par rapport au safran.
Ah oui aussi, lorsque vous allez vous balader dans les ports, retenez qu’on exprime la longueur d’un bateau non pas en mètres, mais en pieds.
1 pied = 30,4 centimètres
Un bateau de 37 pieds fait donc un peu plus de 11 mètres.
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Cette page liste les principaux termes techniques utilisés sur un voilier. (source : Wikipedia)
Manœuvrer le voilier de manière à éloigner son nez de l'axe du vent
Action de descendre une voile. On dit aussi "amener" une voile
Angle d'un bateau par rapport au vent
Côté du bateau par lequel il reçoit le vent ("bâbord amures", lorsque le vent vient de bâbord ; "tribord amures", lorsque le vent vient de tribord).
Éléments immergés du bateau
Se dit d'un bateau qui a une tendance naturelle à remonter au vent
Mouvement d’un bateau qui lofe. Soit, lorsqu’on dirige le gouvernail et qu’on manoeuvre les voiles, de telle sorte que par l’avant, le navire fasse avec la quille un angle moins ouvert avec la direction du vent qui souffle
Désigne le côté gauche d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant de celui-ci
Cordage partant du haut du mât qui permet de soutenir et de régler la hauteur des espars
Galerie généralement ouverte, souvent établie à l’arrière des navires et entourée d’une balustrade. Aussi, rambarde avant et arrière d’un bateau, assurant la sécurité
Compartiment destiné à être rempli ou vidangé d’eau de mer afin d’optimiser la navigation et d’équilibrer le bateau
Avec le safran immergé qu'elle actionne, elle constitue le gouvernail, elle permet au bateau de tourner
Hauban à itague employé sur les voiliers, notamment ceux dont le foc n’est pas frappé en tête de mât (gréement fractionné)
Support horizontal de la grand'voile articulée sur le mât
Ramener la voile vers l'axe du bateau en tirant sur un cordage (l'écoute)
Angle donné à une coque
Désigne tout type de cordage sur un navire
Espar, fixe ou rétractable, à l’avant du bateau, servant à établir une voile
Lest en forme de torpille en bas de la quille
Pièce métallique solidaire du pont du navire ou de la coque, sur laquelle sont frappés les câbles tenant le mât
Très petite et résistante voile à l'emplacement du foc servant dans la tempête à orienter la proue du bateau face au vent en attendant un faiblissement de sa force, toutes les autres voiles étant affalées
Partie de la coque qui est sous l'eau
Supports verticaux placés sur le pourtour du pont pour empêcher une chute en mer
Éloigner la voile de l'axe du bateau en relâchant le cordage (l'écoute)
Terme proscrit du vocabulaire maritime, à une seule exception près: la corde de la cloche
Espar servant à établir une voile à corne
Partie immergée dépassant de la coque en profondeur, pouvant être relevée, et destinée à s'opposer aux forces transversales aux allures de près
Chavirer avec une embarcation légère à cause d'une gîte trop importante
Cordage ou bout servant à hisser ou affaler une voile
Bout (cordage) servant à régler l'angle d'une voile par rapport au vent
Changer de direction par vent arrière
Enfoncer le bateau dans l'eau par la proue
Nom générique qui désigne les différents éléments du gréement comme mât, bôme, tangon etc.
Câble servant à maintenir le mât longitudinalement vers l'avant
C'est tendre au maximum la drisse
C'est l'arrête avant de la coque, celle qui fend la mer
Câble d’acier passant à travers les chandeliers, reliant l’arrière à l’avant du bateau et servant de garde-fou
Voile située à l'avant du bateau
Aile profilée sur un côté du bateau qui, une fois immergée, crée un phénomène de portance permettant au bateau de s'élever au dessus de l'eau
Voile de vent portant triangulaire utilisée entre 90° et 120° du vent réel. Son nom vient de la contraction entre les mots "génois" et "spinnaker"
Grande voile à l'avant du bateau, généralement utilisée par mer calme
Inclinaison sur le côté du bateau sous l'effet du vent latéral dans les voiles ou d'un mauvais équilibrage des masses embarquées
Aviron qui se manipule depuis l'arrière du bateau, en faisant un mouvement en huit. La godille permet à un marin seul de déplacer une embarcation, même assez lourde
Voile principale du navire, maintenue entre la bôme et le mât
Treuil, le plus souvent placé sur la plage avant, qui permet de manoeuvrer les lignes de mouillage
Fait partie des manoeuvres courantes, le plus souvent un palan, tirant la bôme vers le bas et fixée au pied du mât
Câbles métalliques qui permettent de tenir le mât en latéral (le pataras et les étais le tiennent sur l'avant et sur l'arrière)
Action de monter une voile, une charge
Règles définissant les caractéristiques du voilier à respecter par l’architecte si le bateau doit participer à des compétitions
Courant généré par la marée descendante
Pièces rigides enfilées dans le tissu de la voile pour améliorer le profil de celle-ci
Désigne les corps qui servent à alourdir un élément
Sangles sur le pont permettant de s'attacher pour se prémunir des risques de chute
Rapprocher le bateau du lit du vent
Action de virer successivement de bord du près au près dans le but de remonter au vent
Se dit d'un bateau qui a une tendance naturelle à s'éloigner du vent
Perdre le contrôle du bateau
Élément du gréement dormant d'un voilier, soutenant le mât sur l'arrière
Partie arrière d'un bateau
Allure permettant au voilier de remonter au plus près du lit (de l'axe) du vent
Allure à laquelle le bateau se trouve le plus possible face au vent (le plus proche du vent)
Système réduisant la surface qu’une voile offre au vent lorsque celui-ci force trop
Partie avant d'un bateau
Sur un dériveur, fourreau au centre du bateau permettant de faire basculer ou coulisser la dérive
Partie fixe et immergée de la coque sous le bateau faisant office de dérive fixe et de contrepoids à la gîte du bateau
Action pour l'équipage de se positionner du côté inverse de la gîte pour rétablir l'assiette du bateau
Partie haute de la grand voile tenue par des lattes
Partie surélevée du pont souvent percée de hublots, destinée à donner de la hauteur à l’intérieur d’une cabine
Mouvement latéral du bateau, de bâbord à tribord, sous l'effet de la houle
Partie immergée et pivotante du gouvernail orientant le bateau
Chavirer par l’avant pour un bateau, autrement dit, passer « cul par-dessus tête »
Se mettre à l’abri, face au vent ou dans une houle modéré pour effectuer des réparations ou éviter un coup de vent
Grande voile triangulaire plate, montée à l’avant, voile pour remonter au près
Câble fixé sous l’extrémité du bout-dehors et qui contre-balance la tension des étais du mât
Diminutif de « spinnaker ». Voile d’avant, en tissu léger, très creuse, en forme de parachute, utilisée aux allures portantes.
Mouvement oscillatoire d'enfoncement de la proue dû à la houle en mer
Espar utilisé pour tenir écartée une voile (spi)
Dispositif situé sur le voilier permettant de bloquer un cordage
Désigne le côté droit d'un bateau lorsqu'on regarde vers l'avant de celui-ci
Petite voile d’avant plate, la plus proche du mât
Tourner le bateau de façon à ce que le vent vienne sur l'autre bord. Le devant du bateau passe face au vent
Pièce métallique fixant la bôme au mât
Partie mince et affilée de la quille partant du puit et reliant le bulbe
Treuil permettant de tirer avec force sur un bout
MAJ février 2023
Découvrez tout le vocabulaire nautique avec la liste des principaux termes techniques utilisés sur un bateau.
116 dictons navals – la liste ultime des dictons nautiques et des termes de navigation.
La langue évolue avec le temps. En perpétuelle évolution, il adopte des mots et des phrases d’autres langues, voire des expressions argotiques complètement inventées, pour en faire des tournures de phrases courantes. L’anglais existe depuis très longtemps, il s’est donc adapté et a évolué depuis ses débuts historiques jusqu’à la langue que nous utilisons aujourd’hui.
De nombreuses phrases et expressions que nous utilisons tous les jours au XXIe siècle ont une origine nautique qui remonte à l’époque des marins. Il se peut que vous utilisiez déjà nombre d’entre eux dans vos conversations quotidiennes sans en connaître la véritable signification. C’est pourquoi nous avons dressé la liste ultime des dictons navals et des phrases sur la navigation, afin que vous puissiez apprendre l’histoire qui se cache derrière eux. Alors, hissez la grand-voile, mes chers amis, et mettez le cap sur la découverte.
Un coup de semonce : un coup de semonce, qu’il soit littéral, symbolique ou métaphorique.
Historique : Ce terme maritime désigne le fait de tirer un coup de canon sur la proue d’un navire adverse pour indiquer qu’il est prêt à combattre. Les références à cette expression dans la presse écrite remontent à 1939.
Au-dessus du lot : Se réfère à tout ce qui est visible au vu et au su de tout le monde.
Histoire : Sur un navire de guerre, les objets et l’équipement peuvent être stockés sur le pont ou dans la cale du navire. Un objet stocké ou visible depuis le pont est considéré comme étant gardé à bord.
Tous en mer : Un état de confusion active, de désordre ou de confusion.
Historique : Cette expression provient de la nature de la navigation et était utilisée pour désigner toute situation dans laquelle le navire ne pouvait plus être vu de la terre et risquait de ne jamais revenir.
Aloof : Être dans un état d’indifférence.
Historique : Venant du vieux néerlandais « loef », qui signifie au vent, ce terme était utilisé pour désigner un navire qui naviguait plus au vent et qui se retrouvait séparé du reste de la flotte.
À couteaux tirés : Être dans une situation de litige ou d’argumentation inflexible.
Histoire : Utilisée à l’origine pour sceller la poix ou le goudron dans les joints de pont, la tête de bœuf était également utilisée pour maîtriser les bagarres et autres troubles entre marins.
Un autre jour, un autre dollar : Une tournure de phrase utilisée avec résignation pour faire référence à une activité répétitive et fastidieuse, comme la semaine de travail.
Historique : Cette expression remonte au début du XIXe siècle, lorsque les marins américains étaient payés un dollar pour une journée de travail. Il était utilisé de la même manière qu’aujourd’hui, c’est-à-dire que les marins travaillaient de longues heures dans des conditions épuisantes pour seulement un dollar de plus à leur nom.
N’importe quel port dans la tempête : Proverbe couramment utilisé qui signifie généralement qu’en période de difficultés, toute solution est acceptable, qu’elle soit idéale ou non.
Historique : En mer, les navires sont parfois pris dans des bourbiers ou des tempêtes qui peuvent s’avérer dangereux pour le navire et l’équipage. Dans de tels cas, le navire accoste dans le port le plus proche, qu’il ait eu ou non l’intention de s’y arrêter.
As the Crow F lies : Se réfère à la distance la plus courte entre deux points d’une ligne droite.
Histoire : Cette expression a vu le jour au XVIIIe siècle et faisait référence à l’habitude du corbeau d’emprunter le chemin le plus court possible lorsqu’il est en vol.
At a Loose End : finaliser les détails ou les exigences d’une activité.
Histoire : Ce terme fait référence à la tâche finale du marin, qui consiste à régler les derniers détails pour s’assurer que le navire est prêt et en bon état.
Batten Down the Hatches (fermer les écoutilles ) : sécuriser et faire des préparatifs.
Historique : Cette expression proviendrait de la pratique navale courante consistant à préparer les écoutilles d’un navire en cas de mauvaises conditions météorologiques imminentes. Les écoutilles ont été conçues pour favoriser la circulation de l’air frais sous le pont et ont été fixées à l’aide de lattes de bois et de bâches pour garder les intérieurs secs.
Large au niveau de la poutre : Avoir des hanches ou des fesses larges.
Historique : Ce terme, qui proviendrait du fait que la poutre est le point le plus large d’un navire, est utilisé pour désigner la stature d’un individu depuis le début du 20e siècle.
Bottoms Up : Finir son verre, souvent rapidement.
Historique : Ce terme provient de la pratique courante consistant à inciter les marins anglais à s’engager dans la marine alors qu’ils ne le souhaitaient pas. Le marin était manipulé de manière à ce qu’il « accepte le paiement » de son entrée dans la marine en laissant tomber une pièce de monnaie dans son verre. Une fois l’astuce bien connue, les gens se rappelaient les uns aux autres par l’expression « cul sec » pour vérifier que leur verre ne contenait pas de « paiement » caché.
En général : Se référer à quelque chose de manière générale ou parler de manière générale.
Histoire : À l’époque des marins, le mot « grand » était utilisé pour désigner une situation favorable lorsque le vent était fort et que les plus grandes voiles pouvaient être hissées pour augmenter la vitesse. Ensuite, le terme « par » a été utilisé pour signifier « dans le sens de ». Par conséquent, l’expression « dans l’ensemble » signifiait qu’il fallait se tenir légèrement à l’écart du vent pour faciliter l’influence sur la direction du gouvernail.
Blocage : Être entassé si étroitement qu’il n’y a que très peu de mouvement.
Histoire : Sur les navires de guerre, un « palan » était le nom du mécanisme utilisé pour lever les voiles. Lorsque la voile a été hissée au maximum, les poulies se bloquent et ne peuvent plus bouger.
Santé publique : Être en bonne santé, généralement bien ou en bon état.
Histoire : À l’époque de la navigation maritime, l’une des plus grandes inquiétudes pour un navire en mer était la maladie. Avant le départ, les autorités portuaires signent un document attestant que l’équipage est indemne de toute maladie contagieuse.
Dégager le pont : Se préparer à l’arrivée d’une perturbation telle que le mauvais temps, comme dans l’expression « Batten down the hatches » (fermer les écoutilles).
Histoire : Lorsqu’ils se préparaient à la bataille, les marins devaient retirer du pont tout objet susceptible d’entraver leurs mouvements et de les ralentir.
Proche de la population : Être rassemblé dans un espace restreint.
L’histoire : Comme vous pouvez l’imaginer, l’espace est généralement limité en mer, même à bord des plus grands navires. En conséquence, les quartiers récréatifs dans lesquels les membres de l’équipage passaient leur temps libre et dormaient étaient souvent exigus et surpeuplés.
Fond en cuivre : Authentique, en bon état ou peu susceptible de tomber en panne.
Histoire : Utilisé pour la première fois par la marine britannique au XVIIIe siècle, les navires étaient recouverts d’une couche de cuivre pour protéger les planches de bois des tarets et des bernacles. Il est devenu très populaire lorsqu’il s’est avéré efficace pour protéger la coque du navire et qu’il a augmenté la vitesse et la maniabilité du navire dans l’eau.
Cut and Run : s’enfuir, abandonner quelque chose, laisser quelque chose d’incomplet.
Histoire : Souvent considérée comme faisant référence à la rupture d’une ligne d’ancre, l’expression « couper et courir » fait bien plus probablement référence à la pratique consistant à attacher les voiles d’un navire à gréement carré avec des cordes qui pouvaient être coupées, plutôt que dénouées, si les voiles devaient être hissées à la hâte.
L ‘apparence d’un individu : Se référer de manière négative à l’apparence ou au comportement d’une personne.
Histoire : Les marins utilisaient le terme « coupe » pour désigner la qualité ou l’état de quelque chose comme une voile. Un foc est une sorte de voile qui aide à la manœuvre du navire. Le terme décrit donc la nature ou la qualité du caractère ou de la personnalité d’un individu.
La mort dans l’ âme : Être en état/position de progresser ou de croître.
Histoire : L’origine de cette expression n’est pas très connue, mais on pense qu’elle provient du fait que les poissons morts flottent souvent à la surface, où ils peuvent être facilement vus par les marins sur leurs bateaux.
Livrer un Broadside : S’attaquer l’un à l’autre avec des mots.
Histoire : Au début de la guerre navale, les navires tiraient avec leurs canons sur un seul côté du navire, souvent celui qui faisait face à l’adversaire.
Le diable à payer : Une tâche difficile ou apparemment impossible.
Historique : Cette expression navale fait en fait référence à l’application de poix ou de goudron le long du « diable », la plus longue couture de la coque du navire, qui était connue pour être l’une des pires tâches que l’on pouvait confier à un marin.
Dressing Down : faire l’objet d’une réprimande sévère ou d’une action disciplinaire.
Histoire : Sur un navire, l’action d' »habiller » les voiles consistait à les enduire de goudron ou d’huile afin d’en renouveler la qualité et l’efficacité. Un officier ou un marin qui a commis une infraction et qui a été réprimandé afin de ne pas répéter l’erreur à l’avenir est également appelé à recevoir une « correction ».
Courage hollandais : Courage faux ou téméraire dû à l’état d’ébriété.
Histoire : Au XVe siècle, les Britanniques diffusent une propagande selon laquelle les marins néerlandais sont des lâches et ne peuvent se battre que lorsqu’ils sont intoxiqués par de grandes quantités d’alcool.
Avancer à petits pas : Avancer avec prudence, très lentement.
Histoire : Dans les années 1500, les navires avançaient avec prudence en virant de bord à plusieurs reprises.
Même quille : Maintenir une progression calme et régulière.
Histoire : Sur un navire, la quille aide à maintenir le navire à la verticale et fait contrepoids au mât. On dit d’un navire qu’il est droit et qu’il n’est pas ballotté par les courants qu’il est « sur une quille égale ».
Faute : commettre une erreur ou une faute.
Historique : De nombreux termes nautiques utilisent le terme « foul » pour désigner des situations indésirables. La faute, en soi, signifie être emmêlé ou empêché de progresser. Une ancre sale est une ancre enchevêtrée et inutilisable pour le moment. Un mauvais poste d’amarrage décrit un navire qui s’est positionné trop près d’un autre et il y a un risque élevé que les deux navires entrent en collision.
Fathom : essayer de comprendre ou d’aller au fond des choses. Déduire sur la base de faits.
Histoire : Une brasse est une unité de mesure nautique équivalente à 6 pieds et utilisée pour mesurer l’eau en mer.
Figure de proue : Un dirigeant connu qui n’a pas de pouvoir ou d’autorité réels.
Histoire : Sur un navire, une figure de proue était une figure ornementale utilisée pour la protection religieuse ou à des fins purement décoratives.
Obstruction : Retarder ou perturber la mise en œuvre d’une législation.
Historique : Ce terme est devenu populaire dans l’espace naval américain au cours du 19e siècle pour décrire les efforts coordonnés visant à empêcher l’adoption d’un projet de loi.
De premier ordre : Le meilleur, la plus haute qualité, la plus grande compétence.
Histoire : Depuis les années 1500 jusqu’à l’avènement des navires à vapeur, les navires de la marine britannique étaient notés de 1 à 6, les navires de premier rang ayant 100 canons ou plus, et les frégates de 6e rang n’ayant que 20 à 48 canons.
Les objets hétéroclites ( Flotsam and Jetsam ) : Objets sans valeur réelle.
Historique : Dans les premiers temps du droit maritime, les termes « flotsam » et « jetsam » étaient utilisés comme termes juridiques pour décrire les biens perdus par un navire à la suite d’un naufrage, ainsi que ceux qui avaient été jetés à dessein afin de stabiliser le navire en cas de vent fort ou de conditions défavorables.
Libre comme l’air : Être libre de faire ce que l’on veut.
Historique : Si elle n’est pas fixée, la partie inférieure de la voile, appelée patte d’oie, peut battre et se déplacer dans le vent.
De la tige à la poupe : La totalité d’une chose.
Historique : Ce terme désigne la distance totale entre l’avant et l’arrière du navire.
Couleurs volantes : Terminer quelque chose de manière satisfaisante.
Histoire : Si un navire survit à une bataille avec relativement peu de dégâts et que son pavillon flotte, on dit qu’il « bat pavillon ».
Se mettre en route : Partir en voyage
Historique : Ce terme nautique désignait le sillage laissé par un navire lors de sa progression sur l’eau.
Donner un grand coude à coude : Se tenir à l’écart, laisser une bonne distance entre les deux.
Histoire : Lorsqu’un navire jette l’ancre, on dit qu’il est « à quai ». Les navires devaient laisser une bonne distance entre eux afin d’éviter une collision lorsqu’ils se déplaçaient au gré du vent ou de la marée.
Passer par le conseil d’administration : En finir avec, ne plus être nécessaire.
Histoire : Sur un navire, la planche est le revêtement ou le pont du navire. Ce dicton nautique viendrait de l’action de laisser tomber quelque chose dans l’eau depuis le côté du navire.
Passer par-dessus bord : Tomber dans une étendue d’eau, généralement à partir d’un bateau ou d’une embarcation.
Histoire : Les marins appelaient « Homme à la mer » lorsqu’ils voyaient un marin tomber à l’eau depuis le navire.
Se plaindre : se plaindre ou avoir un problème
Historique : Un gripe est un terme nautique utilisé pour décrire un navire qui a été mal conçu et dont la proue tend vers le vent, ce qui fait battre la voile, entrave la progression et rend le navire difficile à manœuvrer.
Grog/Groggy : se dit d’un alcool, généralement de mauvaise qualité.
Histoire : Au XVIIIe siècle, le vice-amiral Sir Edward Vernon décréta que chaque marin devait boire une demi-pinte de rhum par jour avec une quantité égale d’eau. Les marins ont surnommé le vice-amiral « Old Groggy », car il portait un manteau Grogam sur le pont. Le mélange de rhum dilué a été appelé « grog » et ceux qui en buvaient trop étaient qualifiés de « groggy ».
Vague de fond : un changement croissant dans l’opinion publique.
Histoire : Une brusque montée des eaux le long du rivage, dans des eaux par ailleurs calmes, qui serait due à une tempête survenue à plusieurs kilomètres de là, atteint le rivage et provoque une élévation du niveau de l’eau.
Main sur le poing : agir rapidement avec détermination
Histoire : Ce dicton nautique décrit l’action d’un marin qui utilise alternativement ses mains pour hisser rapidement une voile.
Dur et rapide : être sûr de, sans aucun doute, sans aucun débat
Histoire : À l’époque des marins, l’expression « à fond de cale » était utilisée pour décrire un navire échoué sur la terre ferme et incapable d’être déplacé.
Hard Up : être dans le besoin
Historique : En termes nautiques, mettre la barre à fond signifie la positionner au maximum dans une direction donnée. L’expression complète. Les marins utilisaient l’expression ‘Hard up in a clinch and no knife to cut the seizing’ pour désigner l’arrivée d’un chagrin sans solution.
Haze : célébrer l’arrivée d’un nouvel arrivant dans un groupe par l’embarras ou l’humiliation afin d’instaurer l’autorité.
Histoire : À l’époque des marins, les capitaines et autres responsables exigeaient de leur équipage qu’il travaille de longues heures pendant la journée et la nuit, même si c’était nécessaire, dans le seul but de le rendre malheureux.
En panne d’ inspiration : Être laissé dans un état de désespoir, sans ressources ni aide.
Histoire » Ce dicton marin fait référence à un navire qui a été échoué ou retiré de l’eau pendant un certain temps et qui devrait le rester à l’avenir.
Poursuivre : Poursuivre activement quelque chose
Historique : Ce terme est en fait tiré de la guerre navale. En effet, selon la loi, un ennemi qui tente d’échapper à la bataille en naviguant dans des eaux neutres peut être suivi et capturé à condition que l’engagement ait commencé dans les eaux internationales.
Hulk/Hulking : pour décrire quelque chose de grand et d’encombrant.
Historique : Ce terme naval était utilisé pour décrire un navire qui ne semblait pas en état de naviguer.
Bien dans sa peau : Décrire une situation comme étant agréable, se déroulant comme prévu, allant bien.
Historique : Ce dicton naval proviendrait de marins américains qui utilisaient ce terme pour décrire une rue populaire du Japon appelée Honcho-Dori, fréquentée par des marins solitaires.
Dans le marasme : Être triste, fatigué ou ennuyeux
Historique : Cette expression a été utilisée dans les années 1800 pour décrire une zone d’eaux calmes typique au nord de l’équateur, entre ce que l’on appelait les alizés. Les navires pris dans cette zone peuvent parfois rester bloqués sur place, sans vent, pendant de longues périodes. Ainsi, être « dans le marasme » signifiait être dans un état de découragement.
En préparation : Imminent ou susceptible de se produire bientôt
Histoire : À l’époque des marins, le terme « offing » désignait la zone de mer que l’on pouvait voir depuis la terre. Ainsi, si un navire était vu dans cette zone, cela signifiait qu’il serait bientôt amarré dans le port et en sécurité.
Oisif/Idler : Être sans rien faire, souvent lorsqu’il y a du travail à faire.
Historique : Sur un navire de guerre, le terme « oisif » était utilisé pour désigner un membre de l’équipage qui n’était pas tenu de monter la garde la nuit en raison de la nature de son travail. Les charpentiers, les voiliers et les cuisiniers, par exemple, accomplissaient leurs tâches le jour et étaient donc des « fainéants » la nuit.
Jury Rig : une improvisation.
Historique : Cette expression courante dans le langage d’aujourd’hui était autrefois utilisée pour décrire une réparation d’urgence nécessaire pour permettre à un navire endommagé de continuer à naviguer jusqu’à ce qu’il puisse accoster dans le port le plus proche.
Quille de halage : Recevoir une forte punition ou une réprimande pour un acte répréhensible particulier.
Historique : D’origine plutôt macabre, ce terme est le nom donné à une punition sévère infligée aux marins dans les années 1400 et 1500. Le malfaiteur était attaché à une corde, jeté par-dessus bord et traîné sous la quille à plusieurs reprises.
Se renverser : Tomber ou disparaître
L’histoire : Aujourd’hui encore, la quille est un élément fondamental de la plupart des voiliers. Il sert de contrepoids au mât et maintient le bateau stable dans des conditions qui le feraient chavirer. Lorsqu’un navire se mettait « sur la quille », il se renversait et commençait à couler, ou sur terre, il tombait simplement sur le sol.
Connaître les ficelles du métier : Être familier/compétent dans une tâche particulière.
Histoire : Avant l’avènement des navires à vapeur, les grands voiliers naviguaient à l’aide d’une série de cordes qui contrôlaient les mécanismes et les poulies qui actionnaient les voiles. Ces systèmes à base de cordes étant complexes, les marins devaient mémoriser les configurations afin de les utiliser correctement. Cela a évidemment pris du temps, de sorte qu’un marin moins expérimenté pourrait ne pas « connaître les ficelles du métier » aussi bien qu’un marin qui navigue depuis plus longtemps.
Landlubber : quelqu’un qui n’aime pas, préfère ne pas être ou n’est pas couramment sur l’eau.
Histoire : Terme nautique utilisé par les marins pour désigner les personnes qui passaient le plus clair de leur temps à terre ou qui préféraient ne pas être en mer.
Lime : Une personne britannique
Histoire : Tirant son origine du fait que les marins anglais des années 1800 recevaient des rations de citron vert pour prévenir le scorbut, le terme « Limey » est devenu un terme désignant un marin de la marine royale britannique.
Apprendre les ficelles du métier : Prendre le temps de comprendre comment effectuer une nouvelle tâche.
Histoire : De même que « Connaître les cordes », ce dicton nautique fait référence à la pratique consistant à apprendre comment les systèmes de cordes et de poulies fonctionnent sur un grand navire.
Marge de manœuvre : Espace alloué, littéralement ou métaphoriquement, pour permettre une marge d’erreur.
Histoire : En navigation, le côté « météo » du navire est celui qui fait face au vent et le côté « sous le vent » est le plus proche de la terre. Si un navire ne disposait pas d’une « marge de manœuvre » suffisante, la marge d’erreur était faible avant que le navire ne soit projeté sur le rivage ou sur les rochers.
Laisser sortir le chat du sac : Dévoiler ce qui n’était pas sécurisé ou secret auparavant.
Histoire : À l’époque des marins, le « chat à neuf queues » était le nom d’un fouet fabriqué à partir d’une corde dont les extrémités n’étaient pas tressées et qui laissait sur le dos des blessures semblables aux griffures d’un chat.
Comme des navires qui passent dans la nuit : Une rencontre rapprochée, le passage de deux entités sans connaissance de l’autre
Histoire : Contrairement aux navires à vapeur qui leur succéderont par la suite, les voiliers ne font que peu ou pas de bruit lorsqu’ils avancent. Il est donc très probable que les navires ne se connaissent pas les uns les autres lorsqu’ils naviguent dans l’obscurité
Journal de bord : Un registre méticuleux de détails officiels accompagnés de données telles que les dates et les heures.
Historique : Les navires de guerre et les navires marchands utilisaient une planche en bois attachée à une corde pour mesurer la vitesse du navire. L’unité était calculée en comptant les nœuds de la corde qui passait dans les mains des marins au fur et à mesure qu’ils avançaient. C’est d’ailleurs de là que vient l’unité « nœud », une mesure que nous utilisons encore aujourd’hui sur l’eau.
Sans énergie : Être dans un état de démotivation, manquer d’énergie ou d’enthousiasme.
Histoire : À l’époque des marins, si un bateau était apathique, cela signifiait qu’il était inactif sur l’eau, sans la gîte caractéristique prise lorsque le navire est poussé vers l’avant par le vent.
Longue durée : Une période de temps prolongée.
Historique : Ce terme était utilisé pour décrire toute tâche à bord qui nécessitait le halage ou la traction d’une grande quantité de cordages sur le pont du navire.
Long Shot : Situation dans laquelle le résultat souhaité ou préféré a peu de chances de se produire.
Histoire : Les anciens navires de guerre utilisaient principalement des canons, dont la précision laissait souvent à désirer. La portée maximale des différents canons varie également en fonction de leur conception, de leur âge et de leur qualité. Si un navire devait tirer au-delà de son rayon d’action et effectuer un tir de loin, il était peu probable qu’il atteigne sa cible.
Le terme « Loose Cannon » est utilisé pour décrire une personne, un objet ou une situation qui est instable ou susceptible de causer des problèmes s’il n’est pas surveillé.
Histoire : En raison de leur poids massif, les canons d’un voilier étaient attachés pour éviter qu’ils ne se déplacent au gré des vagues, car un canon mal fixé aurait causé d’immenses dégâts au voilier ou à l’équipage.
Pilier : Un élément crucial, quelque chose dont d’autres choses dépendent.
Historique : Sur un grand voilier ou un autre navire à voile similaire, le pilier était une corde cruciale qui s’étendait du grand mât jusqu’au pied du mât de misaine.
Rattraper une marge de manœuvre : Rattraper le temps perdu ou gaspillé.
Historique : En termes nautiques, la « marge de manœuvre » fait référence à l’ampleur de la déviation d’un navire par rapport à sa trajectoire prévue.
No Room to Swing a Cat : Un espace petit ou confiné.
Histoire : Lorsqu’un marin devait être puni par le chat à neuf queues, tout l’équipage était tenu d’assister à la scène. Par conséquent, il n’y avait pas de place pour donner des coups de fouet.
Embarquer : faire partie d’un groupe ou d’une équipe.
Histoire : En termes nautiques, monter à bord signifiait rejoindre l’équipage du navire.
Sur la bonne voie : Aller dans la bonne direction, vers le bon résultat.
Histoire : Sur un navire de guerre, si un marin se trompait de corde ou de voie, cela pouvait signifier que le navire irait dans la mauvaise direction.
On Your Ends/On Your Beam Ends : Être dans une mauvaise situation.
Histoire : Sur un navire de guerre, des poutres en bois couraient sur toute la longueur horizontale du navire. Si ces poutres étaient proches de l’eau, cela signifiait que le navire risquait de chavirer et de couler.
Par-dessus le marché : Ne pas pouvoir changer d’avis ou se sortir d’une situation.
Histoire : À l’époque de la marine, la punition la plus courante infligée aux marins était le fouet ou la flagellation. Normalement, le membre d’équipage à punir est attaché à une grille sécurisée ou à un tonneau.
Excessif : Manipuler un état de pouvoir de manière à mettre les autres mal à l’aise.
Historique : Ce terme désigne le fait de naviguer sous le vent d’un autre navire, de bloquer ou de « voler » son vent et de le ralentir.
Remise en état : Démonter quelque chose et le refaire entièrement, comme si l’on partait de zéro.
Historique : Ce terme est le nom donné à l’action de l’équipage envoyé parmi les voiles pour tirer les cordages de buntline sur les voiles afin d’éviter les frottements.
Dépasser : Se déplacer trop rapidement au point de manquer sa cible.
Historique : Dans le cas où un navire aurait tenu son virage trop longtemps, il aurait dépassé son point de virage et devrait maintenant parcourir une plus grande distance pour atteindre sa prochaine position de virement de bord.
Accabler : Être dans un état de surcharge émotionnelle ou être submergé par quelque chose.
Historique : Ce terme naval est dérivé du vieil anglais et désigne un bateau qui a chaviré.
Pipe Down : un appel au silence.
Histoire : Au début de la marine, le tuyau du maître d’équipage était utilisé pour communiquer avec l’équipage du navire. En ce sens, la « descente des hamacs » était le dernier signal donné pour la journée, ce qui signifiait que l’équipage pouvait descendre et se reposer pour la nuit.
Caca : Être lessivé, fatigué.
L’histoire : En ce qui concerne la structure et l’agencement du navire, le pont le plus élevé à l’arrière du navire était appelé la dunette. Si un navire était envahi par une grande vague qui le submergeait par l’arrière, on disait qu’il avait fait caca.
Mettre en service : Être poussé, forcé, guidé à prendre une décision spécifique.
L’histoire : Au début, il était très difficile de recruter pour la marine, car les hommes savaient que le travail était difficile. Pour résoudre ce problème et remplir leurs quotas de recrutement, les « Press Gangs » enlevaient activement des hommes dans les ports à terre et les forçaient à travailler pour la marine.
Pousser la barque : Dépenser de l’argent généreusement, sans réserve.
Historique : Ce terme naval vient de l’action d’aider quelqu’un à pousser son bateau ou son navire dans l’eau. Cet acte est considéré comme un acte de générosité, car les navires sont souvent beaucoup trop grands pour être poussés en mer par un seul homme. Le terme a ensuite été utilisé pour désigner le fait de crier une tournée de boissons ou de leur offrir une friandise.
Les rats désertent un navire en perdition : Quitter ou abandonner une activité, une organisation ou une école de pensée avant qu’elle n’échoue complètement.
Histoire : Il était très courant que les navires en mer transportent un grand nombre de rats, soit ramassés dans les ports, soit cachés dans des caisses ou des conteneurs de nourriture chargés sur le pont. Dans le cas malheureux où le bateau coulerait, les rats tenteraient de s’échapper en sautant dans la grande bleue.
Une gestion rigoureuse : Sous contrôle, parfaitement en ordre.
Historique : L’expression a vu le jour vers le milieu des années 1900 et s’inspire des cordages serrés d’un voilier, faisant allusion à un navire en ordre et sous contrôle, et généralement bien entretenu.
Naviguer au plus près du vent : s’engager dans une activité risquée, se priver d’une marge d’erreur.
Histoire : À l’époque des marins, naviguer près du vent signifiait orienter le bateau dans la direction du vent. Cela remplit les voiles et fait avancer le bateau à un rythme plus élevé. Cependant, le moindre ajustement entraînerait le déplacement du navire dans la direction du vent et une perte de vitesse immédiate.
Racler le tonneau : Récupérer la dernière quantité de quelque chose, se retrouver devant un choix qui n’est pas idéal.
Histoire : Dans les années 1600, les navires de guerre transportaient de la viande salée dans des tonneaux. Les marins vérifiaient le fond de ces barils vides lorsqu’ils avaient faim afin de récupérer les restes de nourriture qu’ils avaient pu y laisser.
Scuttlebutt : Rumeur ou ragot.
Histoire : À l’époque de la marine, les marins échangeaient des ragots dans le cadre d’un « scuttlebutt ». Il s’agissait d’un tonneau d’eau percé d’un trou qui servait à distribuer de l’eau potable.
Shake a Leg : Se lever du lit, se mettre en mouvement.
Historique : On pense que dans les premiers temps de la marine, ce terme était utilisé pour ordonner aux membres de l’équipage de sortir de leur hamac et de commencer les préparatifs de la journée. On pense également que ce terme vient du fait que les femmes étaient autorisées à monter à bord lorsque le navire était au port, et que l’équipage savait donc quand une femme était encore à bord et devait être réveillée et ramenée à terre avant de mettre les voiles.
La mode des navires et du Bristol : Être de la meilleure qualité et prêt à partir.
Histoire : Ce terme maritime a plusieurs origines probables. Bristol, en Angleterre, connaît l’un des flux de marée les plus variables au monde. Les navires devaient donc être bien construits et bien entretenus pour résister aux marées basses. Elle pourrait également provenir du fait que cette partie du monde avait des normes extrêmement élevées en matière d’équipement et de service naval avant que Liverpool ne prenne sa place.
Shiver Me Timbers (frissons dans le dos) : Expression de contrariété ou de surprise.
Histoire : Dans les années 1300, le mot « shiver » signifiait se briser ou tomber en morceaux. La question de savoir si ce dicton était réel ou simplement inventé dans le cadre du folklore pirate fait l’objet d’un débat.
Montrer ses vraies couleurs : Commettre un acte qui révèle son vrai caractère, souvent utilisé de manière négative.
Histoire : Sur un navire de guerre, les couleurs font référence au drapeau arboré avant de s’engager dans une bataille. Une pratique courante consistait pour certains navires à arborer délibérément le mauvais pavillon afin de tromper leurs ennemis.
Gratte-ciel : Un bâtiment ou une structure de grande hauteur
Historique : Ce terme moderne souvent utilisé pour désigner l’architecture industrielle à grande échelle dans les villes fait en réalité référence à une petite voile placée au-dessus de ce que l’on appelait le skysail afin de maximiser la quantité de vent captée par les voiles.
Sling Your Hook : Partir, se dégager, s’éloigner.
Histoire : La question de savoir si l’origine de ce dicton remonte à l’époque des marins fait l’objet de nombreuses controverses. Ceux qui pensent qu’il trouve ses racines dans l’histoire nautique estiment qu’il peut faire référence au fait de remonter l’ancre du navire avant de prendre la mer.
Caisse noire : Une somme d’argent affectée à l’utilisation de pots-de-vin ou d’influence.
Historique : Dans les années 1800, le cuisinier du navire vendait à terre un mélange de graisse obtenu en faisant bouillir le bœuf salé destiné à l’alimentation en mer. Cet argent était ensuite utilisé au profit de l’équipage ou du cuisinier lui-même et appelé « caisse noire ».
Navigation douce : Progression facile sans obstacle ni difficulté.
Histoire : L’expression « navigation en douceur » fait référence à une navigation en eaux calmes, sans grandes vagues ni mer agitée.
Fils d’un pistolet : Une exclamation de surprise, de contrariété, d’agression.
Historique : Lorsqu’un enfant est né à bord du navire de l’épouse ou de la compagne temporaire d’un des membres de l’équipage, souvent sur le pont des canons. Si personne ne savait qui était le père, ils étaient enregistrés comme étant le « fils d’un pistolet ».
Repas carré : Un repas nutritif de bonne qualité.
Historique : Ce terme provient probablement du fait que les marins se voyaient servir leurs repas dans des assiettes de forme carrée. Cependant, à partir des années 1500, le mot « carré » signifiait que quelque chose était droit, correct ou simple.
Au carré : Se dit d’une question qui a été réglée de manière satisfaisante.
Historique : Dans un navire à gréement carré, les voiles étaient décrites comme étant « au carré » lorsqu’elles étaient correctement réglées, attachées et disposées de la bonne manière.
Pris au dépourvu : Être dans un état de surprise, incapable de parler.
Historique : En cas d’inattention d’un membre de l’équipage à la barre, le vent pouvait se retrouver du mauvais côté des voiles, ce qui faisait reculer le navire.
Lui couper l’herbe sous le pied : Démotiver quelqu’un, lui ôter son esprit d’initiative.
Historique : Si un navire navigue entre le vent et un autre navire, le premier peut être ralenti car la quantité de vent dans ses voiles est réduite.
Tour de rôle : Échanger une activité entre deux ou plusieurs personnes.
Histoire : À l’époque des marins, les membres de l’équipage changeaient de montre en suivant le mouvement d’un sablier. Il s’agit de prévenir les accidents et les mésaventures qui pourraient résulter de la fatigue.
Trois vents en pou pe : être dans un état d’ébriété.
Histoire : Sur un navire, un cordage s’appelle une écoute. Si les écoutes d’un trois-mâts se détachent du trois-mâts inférieur, les voiles commencent à battre et le navire perd toute direction.
Dans l ‘adversité : Continuer, quelle que soit la situation.
Histoire : Ce dicton nautique trouverait son origine dans le fait que des poulies épaisses et fines étaient utilisées à bord pour hisser les voiles.
Marée : Une petite quantité de quelque chose, comme de l’argent, pour vous permettre d’aller d’un point à un autre.
Histoire : Au début de l’ère navale, les navires se déplaçaient principalement sous l’influence du vent. Cependant, lorsque le vent n’était pas assez fort, le navire se déplaçait simplement avec la marée. C’est ce que l’on a appelé une « marée ».
Faire la queue : Agir avec prudence, suivre les règles.
Histoire : Sur un navire de guerre, les membres de l’équipage s’alignaient avec leurs orteils le long de la jointure des planches du pont.
Régler ses voiles : S’adapter ou changer pour correspondre à une circonstance différente de celle fournie à l’origine.
Histoire : En cas de changement des conditions météorologiques, l’équipage modifiait le jeu de voiles du navire pour s’adapter aux nouvelles circonstances.
Essayer une autre tactique : Tenter une tactique ou une méthode différente pour faire face à une situation ou à un problème.
Histoire : Lors d’un virement de bord, ou d’un changement de direction en navigation, il arrive que le nouveau cap soit incorrect. Dans ce cas, le barreur devra réessayer.
Fermer les yeux : Ignorer, faire semblant de ne pas voir quelque chose.
Historique : Ce dicton couramment utilisé trouve son origine dans les actions de l’amiral Lord Nelson lors de la bataille de Copenhague. Au cours de la bataille, un signal a été donné pour cesser le combat et battre en retraite. En réponse, l’amiral porte sa lorgnette à son œil aveugle et insiste plus tard sur le fait qu’il n’a pas vu le signal.
Touch and Go : être dans une situation incertaine.
Historique : Ce terme maritime était utilisé pour décrire une situation dans laquelle un navire naviguant dans des eaux peu profondes touchait occasionnellement le fond, puis repartait de l’avant, sans s’échouer.
Prendre le virage : Passer un cap ou un événement vital qui a eu une grande influence.
Histoire : On pense que cette expression a été inventée par des marins après avoir franchi le cap de Bonne-Espérance ou le cap Horn et poursuivi leur voyage.
Sous la pluie et le beau temps : Se sentir malade, pas soi-même.
Histoire : Sur les premiers navires de guerre, différents quarts étaient assignés aux membres de l’équipage afin de les tenir à l’affût des dangers. Souvent considéré comme le pire poste de veille, le côté « météo » de la proue était souvent soumis au tangage et au roulis du navire, ainsi qu’aux nombreuses vagues qui déferlaient sur la proue. Le membre de l’équipage assigné à ce quart terminait son quart trempé et décrit comme ayant été « sous la pluie ».
Marcher sur la planche : Être évincé, retiré ou tomber littéralement d’une planche dans la mer.
Histoire : Le fait de marcher sur la planche est un élément essentiel du folklore pirate. Il s’agit d’une forme d’exécution navale impromptue qui a eu lieu dans les années 1700 et 1800.
Siffler pour le vent : espérer un résultat improbable.
Histoire : Ce dicton proviendrait de la superstition navale selon laquelle le vent pouvait être invoqué en période d’eau calme en le sifflant. De même, dans le cas d’un gall où il y a un excès de vent, les membres de l’équipage ne doivent pas siffler.
Bénéfice inattendu : Un avantage inattendu, potentiellement non gagné.
Historique : Ce terme nautique était utilisé pour décrire une rafale de vent soudaine traversant une côte montagneuse et permettant au navire de gagner de l’avance.
L’étymologie d’une langue ou d’une expression est aussi intéressante qu’historique. Nous espérons que cette liste a permis d’expliquer les origines nautiques de certaines des expressions les plus courantes utilisées dans notre vie quotidienne.
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Un bateau et son équipage sont soudés pour parcourir les mers, surmonter les dangers et arriver à bon port. a bord, chacun a son rôle, capitaine, patron, bosco, gabier … autant de noms, qui varient selon les bateaux: de pêche, de commerce, de l’etat ou de plaisance. autant de mots pour désigner aussi ceux que l’on nomme «les gens de mer» : pilotes, lamaneurs, quirataires ….
Amatelotage, Hot bunk system – Système établi pour que deux matelots occupent à tour de rôle le même hamac, selon les quarts.
Aplaté, To settle the sailors’ messes, quartering – Se dit des hommes du bord qui prennent leur pas ensemble, qui sont au même plat.
Armateur, Shipowner – Négociant ou particulier qui arme, à ses frais, un navire dont il est propriétaire, et s’occupe de recruter l’ équipage.
Bâbordais, Port watch man – Homme d’équipage faisant partie de la bordée de bâbord, de service les jours pairs, et alternativement de quart avec l’autre bordée, celle de tribord.
Barreur, Helmsman – Celui qui tient la barre, qui manœuvre le gouvernail d’un bateau; s’emploie en plaisance. Synonyme: homme de barre.
Bosco, Bo’sun, boatswain – Diminutif de bosseman, pour désigner celui qui est préposé aux ancres, câbles, c’est-à-dire le maître de manœuvre.
Capitaine, Captain, master, skipper – Dans la marine marchande, officier apte à diriger un navire et à commander l’équipage, titulaire d’un brevet. A la pêche on dit plutôt patron. A bord d’un yacht, le patron, ou skipper, est la personne responsable du bateau, et de sa conduite.
Commandant, Commodore, captain – Titre donné au premier capitaine d’un grand navire. Officier de la marine de l’Etat qui commande un navire.
Coq, Cook – Cuisinier de l’équipage à bord d’un navire.
Calfat, Caulker – Ouvrier ou homme d’équipage qui a en charge de calfater les navires, c’est-à-dire de garnir d’étoupe les coutures, à l’aide du maillet et du fer à calfat.
Cambusier, Storekeeper, purser – Celui qui, à bord, est responsable du magasin à vivres, et chargé de distribuer les rations quotidiennes.
Canotier, Rower – Homme d’équipage d’un canot, qui a pour fonction de nager (ramer).
Cap-hornier, Cape homer, shellback – marin qui a pris la route du cap Horn et l’a franchi.
Equipage, Crew, ship’s company – Hommes embarqués, inscrits maritimes, ayant chacun une fonction à remplir. En plaisance, le terme s’applique à ceux qui participent à la manœuvre.
Equipier, Crewman, seaman – Membre de l’équipage d’un bateau de plaisance, apte à la manœuvre.
Gabier, Topman – Matelot chargé de l’entretien des mâts, vergues, voiles d’un navire, et plus spécialement affecté à la manœuvre des voiles.
Gens de mer, Seamen – Tous ceux dont le métier est de naviguer et, par extension, tout homme, à terre ou en mer, ayant un lien particulier avec la vie maritime.
Gourmette, Cook, storekeeper – Novice chargé de la cuisine; qualification également donnée à celui qui est chargé de la garde des vivres.
Gréeur, Rigger – Homme dont la profession est de mettre en place et d’entretenir le gréement du bateau.
Homme de barre, Helmsman – Homme d’équipage chargé de gouverner le bateau, de tenir la barre.
Inscrit (maritime), Seaman – Marin porté sur les registres de l’Inscription maritime ; tous les gens de mer, non militaires, qui exercent à titre professionnel doivent être inscrits sur des registres dits « matricules », sur lesquels sont notés leurs embarquements.
Lamaneur, Hobbler – Marin pratique, susceptible de porter assistance aux navires entrant dans un port, pour leur halage et leur mise à quai.
Lieutenant, Mate – Officier de la marine marchande, troisième autorité du bord après le capitaine et le second capitaine. A bord d’un bâtiment de l’Etat, officier de ce grade.
Maistrance, Officer corps – Corps des officiers mariniers dans la marine d’Etat, ou corps des sous-officiers de la marine marchande.
Maître, Master, skipper – Grade de sous-officier dans la marine d’Etat. Dans la marine de commerce, le maître au cabotage est le marin qui a ses brevets et peut commander un navire. Plusieurs professions ont également leur maître : voilier, calfat, charpentier.
Maître d’équipage, Boatswain, lesding hand – Premier maître de manœuvre à bord, chargé de faire exécuter les ordres donnés par les officiers.
Marin, Sailor, seaman – Homme exerçant une profession à la mer. Contraire de terrien.
Marin-pêcheur, Fisherman – Homme de mer, inscrit maritime, dont la profession est de pêcher.
Matelot, Salor, seaman, the hands – Homme d’équipage non gradé, inscrit maritime. En plaisance, le matelot professionnel de yacht est embarqué sur le rôle. En pêche, les matelots sont tous les marins-pêcheurs du bord, en dehors du patron. Plus généralement, ce sont les hommes du pont expérimentés; plus jeunes, ils sont mousses, novices, matelots légers (de plus de 18 ans), matelots volants (sans affectation). Mot souvent employé comme synonyme de marin.
Mécanicien, Engineer – Membre d’équipage en charge de la machine.
Monsieur, Sir – Dans la marine d’Etat, appellation de nombreux officiers ou assimilés : commissaire, médecin …
Mousse, Apprentice, boy – Titre le plus bas de l’échelle hiérarchique des membres d’équipage. Le mousse est un garçon de moins de 16 ans, embarqué pour faire son apprentissage.
Navigateur, Seafarer, navigator – Homme voyageant sur mer, parfois synonyme de marin. Plus souvent homme ayant rapporté des résultats scientifiques de ses voyages. En plaisance, désigne celui qui est chargé de tracer et de contrôler la route suivie.
Novice, Apprentice, deckie learner – Marin en apprentissage, entre mousse et matelot, âgé de 16 à 18 ans.
Patron, Skipper, master – A la pêche, marin pourvu du brevet de patron de pêche, qui prend le commandement d’un bateau. C’est aussi le titre d’un marin qui commande au petit cabotage.
Pilote, Pilot – Marin embarqué à bord d’un navire à proximité du port, pour le guider pendant les manœuvres d’approche; son rôle est d’assister le capitaine du navire, mais non de se substituer à lui. On distingue deux sortes de pilotes : le pilote côtier, qui doit avoir la connaissance parfaite des côtes, et le pilote lamaneur (voir lamaneur), affecté à l’assistance des navires pour les entrées et sorties de ports, de rivières et d’estuaires.
Pilotin, Apprentice, junior officer – Ancien nom donné aux élèves officiers dans la manne marchande ; égaIement, avant 1791, jeune marin en apprentissage embarqué sous la direction du pilote hauturier, puis au service de la timonerie.
Pratique, Seamanship – Marin qui a une bonne connaissance d’un port et de ses abords, ou des particularités d’une portion de côte dans des parages qui lui sont familiers. On dit: les « lamaneurs pratiques ».
Premier brin, Able seaman, old hand – Se dit d’un matelot de grande valeur, par analogie au chanvre de premier brin, celui qui a les fibres les plus longues et de la meilleure qualité.
Quartier-maître, Chief petty officer – Grade dans la marine d’Etat, et officier exerçant la surveillance des équipages.
Quirataire, Shareholder – Propriétaire d’une partie de l’armement d’un navire.
Radio, Radio operator – Homme d’équipage préposé au service des transmissions et réceptions radio.
Rôle d’équipage, Crews book, ship’s articles – Registre sur lequel figurent les noms des membres de l’équipage, et contrat stipulant les conditions d’engagement de l’équipage.
Second, First mate – Second officier, immédiatement après le capitaine d’un navire ; possède brevets et compétences pour commander lui-même le navire en cas de nécessité.
Shipchandler, Shipchandler – Fournisseur qui vend tout ce qui est nécessaire à l’armement et à l’avitaillement (approvisionnement) du bateau.
Skipper, Skipper – Patron d’un yacht.
Timonier, Helmsman, quarter-master – Homme de barre. En plaisance on ne dit pas timonier, mais barreur.
Tribordais, Starboard watch man – Homme d’équipage faisant partie du quart de tribord, de la bordée de service les jours impairs, en alternance avec les bâbordais.
Vigie, Lookout – Homme de veille en observation dans la mâture, ou sur le gaillard d’avant.
Voilier, Sai/maker – Celui qui travaille à la confection et à l’entretien des voiles: assemblage des laizes, confection des gaines, renforts, placards, pattes à cosse, etc.
par ERPLAST | Nov 8, 2023
La mer a son langage, une poésie riche et complexe, façonnée par des siècles de navigation et d’exploration maritime. Chaque type de bateau, qu’il s’agisse de voiliers, de foilers, de catamarans ou d’Optimist, apporte sa contribution unique à ce lexique maritime. Pour le non-initié, cette langue peut sembler cryptique, voire intimidante. Mais ne vous inquiétez pas, nous sommes là pour vous guider à travers le labyrinthe des termes spécifiques à la navigation en dériveur, foiler et catamaran.
Le vocabulaire de la voile est largement partagé entre les différents types de navigation. Ces termes généraux sont la fondation, le socle commun sur lequel repose la terminologie spécifique à chaque type de bateau.
Bord : C’est le côté du bateau. En termes de navigation, un « bord » désigne également le trajet que le bateau fait en naviguant dans une certaine direction avant de changer de cap.
Gîte : La gîte est l’inclinaison latérale du bateau. Elle est causée par des facteurs tels que le vent, le déplacement des personnes à bord ou l’effet des vagues.
Lofer / Abattre : Ces deux termes indiquent les ajustements de cap en relation avec le vent. Lofer signifie se rapprocher de la direction d’où vient le vent, tandis qu’abattre signifie s’éloigner de cette direction.
Les dériveurs , du fait de leur conception unique et de leur manière particulière de naviguer, ont développé leur propre vocabulaire.
Dérive : Il s’agit d’une pièce du bateau, généralement faite de métal, de matériaux composites ou de bois, qui descend dans l’eau pour améliorer le plan anti-dérive et la capacité de manœuvrer le bateau.
Chavirer : Ce terme est utilisé lorsque le dériveur bascule sur le côté, souvent à cause d’un vent fort ou d’une manœuvre mal effectuée.
Redresser/Resaler : C’est l’action de remettre le dériveur à l’endroit après un chavirage. Une compétence essentielle pour tout marin en dériveur !
Les foilers , avec leur capacité à « décoller » de la surface de l’eau grâce à l’effet hydrodynamique, ont également développé leur propre terminologie.
Foil : Il s’agit des plans porteurs sous-marins qui permettent au bateau de s’élever au-dessus de l’eau. Le terme « foil » vient du français « aile », en référence à la forme de l’élément.
Décollage : C’est le moment où le foiler commence à voler, c’est-à-dire quand le foil génère suffisamment de portance pour soulever le bateau hors de l’eau.
Voler : Dans le contexte du foiling, voler signifie naviguer avec le bateau hors de l’eau, soutenu par les foils.
Les catamarans , avec leur conception unique à deux coques, ont leur propre lexique.
Coque : La coque est la partie du bateau qui flotte sur l’eau. Dans le cas des catamarans, il y a deux coques parallèles de taille égale.
Trampoline : C’est la partie tendue entre les deux coques d’un catamaran, sur laquelle l’équipage peut se tenir et se déplacer.
Bras de liaison : Ce sont les structures qui relient les deux coques du catamaran et supportent le trampoline.
Ces termes ne représentent qu’une fraction du vocabulaire riche et varié de la voile légère. En vous familiarisant avec ce jargon, vous pourrez non seulement mieux comprendre les subtilités de la navigation, mais aussi communiquer plus efficacement avec vos coéquipiers et d’autres marins. Le langage de la mer est une porte d’entrée vers une compréhension plus profonde de l’art de la navigation.
Sep 25, 2024
Introduction : L'apprentissage de la voile pour les débutants, en particulier les jeunes, se fait souvent sur deux types de bateaux : les dériveurs classiques et les Optimist. Ces deux catégories...
Introduction : L'initiation à la voile pour les enfants doit se faire sur des bateaux adaptés à leur âge et à leur niveau d'expérience. Pour garantir une progression fluide et sécurisée, il est...
Introduction : Apprendre à naviguer est une expérience excitante et enrichissante, mais elle comporte son lot de défis. Pour les débutants, il est facile de faire des erreurs qui peuvent ralentir...
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ANTILLES VOILE
Vacances aux Antilles en croisière à bord d'un voilier privé
Mers&bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance..
Connaitre le vocabulaire marin est indispensable. Bien plus qu’une culture maritime, les mots et expressions, dans le nautisme, permettre de se faire comprendre à bord d’un bateau. Le vocabulaire marin est un gage de sécurité.
Pour un plaisancier, maîtriser le lexique et les termes spécifiques au nautisme revêt une importance cruciale . On pourrait même dire que maitriser ce vocabulaire marin permet de naviguer en eaux claires
Tout d’abord, la pratique de la voile exige une compréhension précise des instructions de sécurité; quel que soit le voilier, du dayboat au voilier hauturier . En maîtrisant les termes nautiques, vous pouvez communiquer efficacement, réduisant ainsi les risques d’accidents évitables. Qu’il s’agisse des feux de navigation, des balises ou des règles de priorité, chaque mot revêt une signification capitale, sauvegardant ainsi la vie des marins et de leur précieux équipage.
L’utilisation appropriée du vocabulaire marin permet de transmettre des informations précises et concises , facilitant les manœuvres délicates et renforçant l’efficacité de l’équipage.
Enfin, et cela est toujours utile, connaître le vocabulaire marin favorise une intégration sociale au sein de la grande famille des plaisanciers . Comme un dialecte secret partagé entre initiés, ce langage spécifique crée des liens solides entre les marins. En maîtrisant ce vocabulaire, le plaisancier devient un membre respecté de cette confrérie, capable de partager des histoires, des astuces et des expériences avec d’autres amoureux de la mer. C’est un sésame ouvrant les portes d’une communauté où se tissent des amitiés durables et des souvenirs impérissables.
Le vocabulaire marin est important lorsque l’on navigue sur un bateau pour plusieurs raisons :
Sécurité : Le vocabulaire marin est utilisé pour communiquer des informations importantes sur la navigation, la météo, les conditions de la mer, les obstacles, les feux et les signaux de navigation. Si vous ne comprenez pas ces termes, vous risquez de ne pas comprendre les instructions importantes et de prendre des décisions dangereuses qui peuvent mettre en danger votre bateau et votre équipage.
Communication : En connaissant le vocabulaire marin, vous pouvez communiquer efficacement avec d’autres marins et les autorités portuaires. Cela vous permet de vous intégrer facilement dans la communauté des marins et d’obtenir des informations importantes sur les conditions de navigation et les ports d’escale.
Précision : Les termes marins sont souvent très précis et spécifiques, et leur utilisation permet une communication claire et concise. Cela est particulièrement important lors de situations d’urgence où il est essentiel que les messages soient compris rapidement et sans ambiguïté.
Tradition : Le vocabulaire marin fait partie intégrante de la tradition maritime. En connaissant et en utilisant ces termes, vous vous connectez à une riche histoire et culture maritime qui remonte à des siècles.
En somme, la connaissance du vocabulaire marin est donc cruciale pour assurer la sécurité, la communication et la précision lors de la navigation, tout en préservant la tradition maritime.
Pour aller plus loin:
Vous connaissez désormais, grâce à cet article, tout le lexique afférent à la voile et aux bateaux. Que vous soyez un passionné ou un simple amateur, la mer, le grand large et les excursions maritimes font fantasmés de nombreuses personnes. Dans le cadre de vos congés d’été vous aspirez peut être à vivre une expérience exceptionnelle en pleine mer. Certains endroits sont plus appropriés que d’autres pour profiter de ces moments, ce qui est le cas de la mer méditerranée et de l’Ile de Beauté. Ainsi dans le cas où vous souhaitez recourir à une location d’un catamaran avec skipper en Corse , laissez nous vous conseiller sur les critères à analyser avant de réaliser votre choix.
En effet si ce projet vous fait rêver il n’en reste pas moins onéreux. L’avantage d’un catamaran consiste généralement en sa dimension importante. Celui-ci peut donc accueillir plusieurs personnes ce qui vous permettra d’une part de mutualiser les frais de location et d’autre part de profiter de ce moment en groupe d’amis, famille ou proches. Il vous incombe donc d’analyser le prix de location proposé par rapport au nombre de personnes pouvant être accueilli. Le deuxième avantage de ce type de sortie réside dans le fait que vous jouirez d’un bateau exceptionnel vous permettant de bénéficier d’une excursion mémorable. Celui-ci est premièrement stable et donc adapté à recevoir tout type de personne ayant le mal de mer ou non. Il est aussi spacieux et très rapide. Enfin cette sortie implique qu’un skipper chevronné vous accompagne pour bien évidemment diriger le catamaran, mais également pour vous permettre de profiter d’une sortie en mer appréciable en jouant au guide et en vous faisant découvrir des coins inaccessibles pour les non connaisseurs.
La finalité de antillesvoile.com est de débattre de Pratiquer la voile aux antilles en toute authenticité en vous donnant la visibilité de tout ce qui est en lien avec ce thème sur le net Ce texte est reconstitué aussi exactement que possible. Si vous projetez d’apporter quelques modifications sur le thème « Pratiquer la voile aux antilles », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre journaliste responsable. Ce dossier autour du sujet « Pratiquer la voile aux antilles » a été trié en ligne par les spécialistes de la rédaction de antillesvoile.com En consultant de manière régulière notre blog vous serez informé des futures parutions.
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«Regardez là-bas, sous le plat-bord», dit le skipper à un invité qui a besoin d’un hameçon pour aider à attraper une amarre. « Sous le quoi? » demande l’invité. « Là-bas, à tribord, sous le plat-bord », dit le capitaine, ajoutant: « Il est juste devant ce coffre de rangement du cockpit. » De toute évidence aggravé, l’invité dit: «Pouvez-vous parler anglais, s’il vous plaît? Et que signifie le «mouillage»? »
La terminologie nautique peut être un obstacle frustrant à la communication sur un bateau, en particulier entre les anciens sels et les débutants. Bien qu’il puisse sembler que les gens qui utilisent ce langage parfois déroutant ne font que dire des mots perplexes pour être snob, ce n’est généralement pas le cas. Faites-nous confiance, sachant que la langue vernaculaire est un élément important pour être un plaisancier capable – ce n’est pas certains plaisanciers en langage secret qui ont l’air cool.
Dans cet esprit, nous avons rassemblé un glossaire basique mais complet pour vous aider à démarrer sur la voie de la maîtrise du bateau. Bien qu’un compte rendu complet de ces mots puisse s’étendre sur un nombre infini de pages, nous avons répertorié les véritables éléments essentiels dont vous aurez besoin pour devenir un membre compétent de tout équipage de bateau et même en avoir l’air.
Connaissez-vous l’arc de la poupe? Sinon, vous le ferez après avoir lu cet article.
Peut-être que les termes les plus importants que vous pouvez connaître en tant que plaisancier sont les mots qui identifient les nombreuses pièces et pièces différentes qui composent un bateau. Que vous demandiez à quelqu’un de fermer la porte à la tête ou de fixer un équipement dans le casier arrière, avoir une connaissance de base des termes de bateau suivants contribuera grandement à faire progresser votre jargon nautique.
Ballast: Poids ajouté à un bateau pour améliorer la stabilité. « Le J / 24 a 950 livres de ballast de plomb. »
Couchette: Un coin couchage sur un bateau. Aussi, un endroit où un bateau est amarré. « Nous avons dormi dans la couchette avant tandis que John et Amy dormaient dans la couchette quart » ou « Nous gardons notre bateau dans une couchette à la marina de McDoodle. »
Fond de cale: La section la plus basse d’un bateau où l’eau s’accumule généralement. « Le bac de douche est situé dans la cale. »
Bimini: Un type de toit en toile pliable utilisé pour protéger les occupants de la pluie et du soleil. « C’était agréable et frais dans le cockpit arrière sous le toit Bimini. » Vous pouvez en regarder un en cours de configuration et voir comment il fonctionne une fois déployé, dans notre revue de bateau vidéo Cruisers Sport Series 258.
Arc: L’extrémité avant de tout bateau. « John est monté à la proue pour abaisser l’ancre. »
Cloison: Il s’agit généralement d’un composant structurel transversal d’un bateau qui supporte souvent un pont. « La cloison arrière sépare le salon principal de la salle des machines. »
Cabine: Un espace clos et protégé sur un bateau. « La cabine du bateau était large et spacieuse avec beaucoup d’espace pour se détendre hors du temps. » Il peut aller d’une petite «cabine douillette» à de grands espaces de vie avec plusieurs pièces, qui peuvent elles-mêmes être appelées cabines.
Cabintop: La surface de pont plate ou incurvée au-dessus d’une structure fermée sur un bateau. « Il y a beaucoup d’espace sur le cabintop pour ranger le canot. »
Plateforme de casting: Un pont surélevé et ouvert sur un bateau de pêche utilisé pour lancer une canne à pêche. Vous pouvez voir un excellent exemple de plates-formes de casting sur le Pathfinder 2600 HPS.
Échine: La partie d’un bateau où ses côtés de coque et son fond se croisent. « Les échines du bateau étaient tranchantes et inclinées, ce qui lui donnait un aspect agressif. »
Taquet: Un raccord en métal ou en plastique utilisé pour fixer solidement une ligne. «Peter a attaché l’aile au taquet droit au milieu du navire.»
Hommage: Bords ou côtés surélevés, conçus pour empêcher les vagues et l’eau de pénétrer dans une certaine zone d’un bateau. « Le cockpit a un hiloire ample pour garder la zone sèche et lui donner une sensation de sécurité. »
Cockpit: Toute zone semi-fermée et encastrée qui est plus basse que les ponts environnants, comme le cockpit d’un voilier ou un bateau à moteur à console centrale. « Le refroidisseur était rangé dans le cockpit arrière. »
Escalier des cabines: Une entrée donnant accès aux espaces sous les ponts d’un bateau. « L’office est situé juste en dessous de l’escalier des cabines, à bâbord. »
Console: Une zone surélevée au-dessus du pont ou du cockpit où les occupants sont souvent assis ou debout pendant que le bateau est en route. « John a conduit le bateau de la barre, qui est située dans la console tribord. »
Plate-forme: Essentiellement toute surface extérieure plate et exposée d’un bateau sur laquelle les gens se tiennent. « Les ponts étaient inondés d’eau salée après que la vague s’est écrasée sur eux. »
Dinette: Un espace pour dîner sur un bateau, généralement avec une table dressée entre deux coins salon. « La salle principale a un énorme dinette au tribord. » Il y en a une superbe photo dans notre revue du Flybridge Prestige 620 S.
Flybridge: Un poste de pilotage, parfois avec un petit espace de divertissement, construit au sommet d’une cabine de bateau. Il est aussi parfois appelé «pont volant». «Nous avons fait rouler le bateau du haut du flybridge, ce qui nous a donné une superbe vue sur l’océan.»
Pont avant: Le pont le plus en avant sur un bateau. «Le guindeau d’ancre est situé sur la proue; vous pouvez y accéder depuis le pont avant. »
Galère: Une zone sur un bateau où la nourriture est préparée. « John a fait cuire à la vapeur les homards sur le poêle dans la cuisine. »
Plat-bord: Le bord supérieur des côtés de la coque d’un bateau. « Les supports de canne à pêche sont situés le long du plat-bord tribord. »
Hard-top: Une structure extérieure en fibre de verre ou en toit composite supportée qui couvre une partie d’un bateau. «Nous avons monté le dôme radar sur le toit rigide» ou «Le toit rigide recouvre la console centrale.»
La trappe: Couvercle ou porte qui se ferme sur toute ouverture du pont ou du cabintop d’un bateau. « La trappe avant a permis à beaucoup de lumière naturelle à l’intérieur du bateau. »
Tête: La salle de bain sur un bateau. « Une tête fermée est installée sous la console centrale, lorsque la nature l’appelle. »
Barre: La zone d’un bateau où se trouvent les commandes de direction et de moteur. « Betsy a dirigé le bateau depuis la barre. »
Coque: Les parties physiques d’un bateau qui sont assis dans l’eau. «Le Jones Brothers Cape Fisherman 23 a une forme de coque qui traverse facilement les vagues.» Voir notre vidéo Bases de la coque d’un bateau pour en savoir plus sur les différentes formes de coque.
Moteur in-bord: Un moteur qui est monté à l’intérieur de la coque d’un bateau. « Le bateau a un moteur in-bord essence de 237 chevaux. » Les bateaux peuvent être appelés in-bord s’ils ont un arbre droit traversant la coque (comme le Marlow Pilot 34), une transmission en poupe traversant le tableau arrière (comme le Monterey 218SS), ou des lecteurs de pod passant par le fond du bateau ( comme dans le cas du Sea Ray L590).
Foc: Généralement, la plus petite de deux voiles ou plus sur un voilier, survolant le mât. « Gael a coupé le foc bien serré alors qu’elle faisait un parcours contre le vent. »
Sièges de saut: Petits sièges escamotables généralement situés dans le cockpit arrière d’un bateau à moteur. « L’Everglades 243cc a deux sièges escamotables de saut dans le cockpit arrière. »
Lignes de vie: Câbles ou lignes utilisés pour empêcher les personnes ou l’équipement de tomber par-dessus bord. «Andrea a saisi fermement les lignes de vie en marchant sur le pont tribord.»
Bien vivre: Un compartiment spécialisé sur un bateau conçu pour garder les poissons, les crevettes et autres appâts de pêche en vie. « Fred a stocké le vivier avec un tas de vairons. »
Casier: Une zone sur un bateau où le matériel est rangé. « Les coffres à pêche sont dans le coffre de rangement arrière. »
Grand-voile: Généralement la plus grande voile sur un voilier. « Eve a hissé la grand-voile alors que John pointait le bateau dans le vent. » (Voir Navigation de base et matelotage: comprendre les voiles pour en savoir plus sur les différentes voiles trouvées sur les voiliers).
Mât: Une structure verticale, généralement en aluminium, qui supporte les voiles sur un voilier. «Nous avons hissé la grand-voile le long du mât avant de lever le foc.»
Quille: La partie la plus basse de la coque d’un bateau lorsqu’elle se trouve dans l’eau. En outre, un appendice de coque qui améliore la stabilité. «Le Bristol 24 a une quille pleine qui contribue à améliorer sa stabilité latérale.»
Puits hors-bord: Une zone en retrait sur un bateau juste en avant de l’endroit où un moteur hors-bord est monté. « Le moteur hors-bord était bien rempli d’eau lorsque nous avons reculé le bateau dans un ensemble de vagues. »
Moteur hors-bord: Un moteur qui est généralement monté sur le tableau arrière d’un bateau qui a un bloc moteur autonome, une transmission et une unité d’entraînement inférieure. « Le bateau a un moteur hors-bord de 350 chevaux sur sa poupe. » Vous pouvez en savoir plus sur les différents moteurs et systèmes d’entraînement en lisant Moteurs marins et systèmes d’alimentation.
Lecteurs Pod: Moteurs in-bord montés au-dessus des unités d’entraînement articulées qui dépassent à travers le fond du bateau. «Les lecteurs de pod offrent une excellente maniabilité et maniabilité.» Lisez tout sur les lecteurs de pod pour en savoir plus.
Hélice: Un appareil rotatif associé à un moteur pour propulser un bateau dans l’eau. « Le moteur hors-bord a une hélice en acier inoxydable. » Regardez notre vidéo Comment fonctionnent les hélices pour en savoir plus sur les hélices (également appelées «accessoires»).
Gréement: Les lignes et les fils qui soutiennent et aident à contrôler un espar ou un mât. «Le pataras, l’étai et les haubans latéraux font partie du gréement qui soutient le mât.»
Rubrail: Un élément extérieur protecteur sur les côtés de la coque qui aide à protéger la coque contre les dommages. « Le rubrail reposait contre le pilotis, protégeant la coque du bateau. »
Gouvernail: Un appendice de coque vertical qui contrôle la direction. «Le long et mince gouvernail du Farr 40 rend le bateau très maniable.»
Salon: Une chambre dans la cabine sur un bateau qui est généralement la principale zone de divertissement. «Nous avons servi des cocktails dans le salon principal; c’était un endroit idéal pour divertir nos invités. »
Scuppers: Drains de pont qui canalisent l’eau de la pluie et pulvérisent par-dessus bord. « Le cockpit s’est rempli d’eau, mais a été rapidement vidé par les dalots. »
Ligne pure: Le contour du pont d’un bateau au plat-bord ou au joint coque-pont de la proue à la poupe. « Le bateau a une ligne pure qui monte gracieusement vers la proue. »
Cabine: Une cabine fermée dans un bateau avec couchage. « La cabine principale avait des logements luxueux, y compris une couchette queen-size. »
Arrière: Section la plus à l’arrière de la coque d’un bateau. « Nous avons monté l’échelle de bain sur la poupe du bateau. »
Stern Drive: Un système de propulsion composé d’un moteur in-bord avec un système d’entraînement orientable qui est monté sur le tableau arrière. «Le bateau était équipé de deux moteurs à gaz internes MerCruiser couplés à des propulseurs de poupe.» Vous pouvez en savoir plus sur les différents moteurs et systèmes d’entraînement en lisant Moteurs marins et systèmes d’alimentation.
Plateforme de bain: Une structure à l’arrière d’un bateau conçue pour faciliter l’entrée et la sortie de l’eau. « Janie était assise sur la plateforme de bain avec ses jambes pendantes dans l’eau. »
T-Top: Une structure métallique sur un bateau qui est généralement recouverte d’une section de toile ou d’un toit rigide pour protéger les occupants du soleil, des embruns et de la pluie. « George et son équipage se sont blottis sous le T-top pendant la tempête de pluie. »
Taller: Une poignée en bois, en métal ou en composite qui est reliée au (x) gouvernail (s) ou à un petit hors-bord et utilisée pour diriger un bateau. «Alors que le vent augmentait, Blair a tiré fort sur la barre pour garder le bateau sur la bonne voie.»
Toerail: Un rail ou un violon en bois ou en fibre de verre situé autour du bord extérieur du pont d’un bateau, généralement situé près de l’endroit où les côtés de la coque rencontrent le pont. « Le bout du bateau en teck était magnifiquement verni. »
Topsides: La partie de la coque d’un bateau qui se trouve au-dessus de la ligne de flottaison. « Jenny a poli les topsides pour une belle brillance. »
Traverse: La section la plus à l’arrière d’un bateau qui relie les sections bâbord et tribord de la coque. « La plupart des gens mettent le nom d’un bateau sur le tableau arrière, bien que certains le mettent sur les côtés de la coque. »
Onglets de coupe: Plaques métalliques réglables sur le fond ou le tableau arrière de la coque d’un bateau à moteur qui aident à ajuster l’attitude de course, le tangage et le roulis du bateau lorsqu’il se déplace dans l’eau. Sur un voilier, un seul compensateur peut être situé sur le bord arrière de la quille pour aider le bateau à mieux diriger dans certaines conditions. « Jim a ajusté les volets de trim pour rendre la proue du bateau à moteur plus loin dans l’eau. »
V-Couchette: Une couchette située à l’avant d’un bateau. « Fred a fait une sieste dans la couchette en V. »
Ligne de flottaison: La ligne autour de la coque d’un bateau où elle coupe l’eau. « Nous avons passé toute la journée à nettoyer la ligne de flottaison du bateau. »
La meilleure façon de se faire une idée de ce à quoi un bateau est conçu et de la façon dont il agira dans l’eau est de jeter un coup d’œil à certaines de ses principales mesures et spécifications. Connaissez ces termes et vous êtes sur le point de pouvoir identifier les caractéristiques clés de tout bateau donné que vous rencontrez en personne, ou dans une critique ou une vidéo.
Faisceau: La mesure de la largeur d’un bateau à son point le plus large. « Le Boston Whaler 320 Outrage a un faisceau de 10 pieds et deux pouces. »
Deadrise: L’angle de la forme en «V» de la coque d’un bateau à moteur, généralement mesuré en degrés au tableau arrière. « Le bateau a un énorme deadrise de traverse de 24 degrés, qui le rend extrêmement capable dans l’eau agitée. »
Déplacement: Le poids de l’eau déplacée par la coque d’un bateau. « Le bateau déplace 18 200 livres. » Le déplacement d’un bateau est égal à son poids à un moment donné, avec une charge donnée.
Brouillon: La distance totale à laquelle un bateau pénètre dans l’eau, de la ligne de flottaison au fond de la quille ou de l’appendice. « Le Schenectady 54 a un tirant d’eau de quatre pieds, six pouces. »
Poids sec: Le poids d’un bateau sans carburant ni eau à bord. « Le bateau a un poids sec de 3 456 livres. »
Franc-bord: La distance entre la ligne de flottaison d’un bateau et le sommet de ses plat-bords. «Le haut franc-bord du bateau nous a permis de nous sentir en sécurité dans les grosses vagues.»
Longueur totale: La longueur totale d’un bateau, mesurée de ses appendices les plus à l’arrière aux plus avancés. Parfois abrégé «LOA». « Le bateau avait une longueur hors tout de 21 pieds, cinq pouces, de sa plate-forme de nage à la flèche avant. »
Longueur de flottaison: La longueur de la coque où elle coupe l’eau, de la proue à la poupe. Parfois raccourci à «LWL». « Le superyacht a une longueur de ligne de flottaison de 102 pieds. »
S’agit-il d’une console centrale ou s’agit-il d’un croiseur express? Continuez à lire pour le découvrir.
Bien que ce ne soit pas une compétence de navigation essentielle à maîtriser dans tous les types de bateaux à moteur et à voile sur l’eau, la plupart des plaisanciers accomplis savent identifier une poignée de différents modèles de bateaux de base, ainsi que ce qu’ils sont conçus pour faire. Voici une liste des types les plus populaires.
Bass Boat: Un type de bateau qui a généralement un pont plat, un franc-bord bas et un tirant d’eau peu profond qui est utilisé principalement pour la pêche des lacs et des rivières protégés. Le Triton 21 TRX est un excellent exemple de bass boat.
Bateau de la baie: Un bateau de pêche à console centrale à franc-bord bas conçu pour une utilisation côtière et côtière. Pour en savoir plus, consultez notre fonctionnalité complète Bay Boat Battles: What Makes One Better Than the Other.
Bow Rider: Un bateau à moteur avec un coin salon installé à l’avant. Pensez à consulter notre guide de l’acheteur Bow Riders: 10 considérations clés avant d’acheter.
Vedette: Généralement, tout bateau à moteur plus grand qui offre un hébergement pour dormir dans sa structure. Ce terme générique peut être utilisé pour décrire des motoryachts, des expresses et un certain nombre de conceptions différentes.
Catamaran: Un bateau à moteur ou à voile avec deux coques.
Console centrale: Un bateau à moteur avec sa console et sa barre situé dans un emplacement central sur le pont. Lisez notre fonctionnalité Bateaux à console centrale: pêchez, croisière ou amusez-vous juste pour vous maigrir sur cette classe de bateaux.
Cuddy Cabin: Un bateau à moteur avec une cabine relativement petite sur sa partie avant. Apprenez ce qui fait vibrer ces superbes bateaux en consultant notre fonctionnalité Cuddy Cabin Boats: Family Friendly Fun.
Bateau pont: Un bateau à moteur avec un plan de pont plat et ouvert et sans hébergement sous les ponts. La plupart des bateaux à pont ont une forme plutôt carrée, au lieu de se rétrécir jusqu’à un point à la proue, pour créer plus d’espace sur le pont vers l’avant. L’ouragan Sundeck en est un exemple classique.
Bateau Downeast: Un style traditionnel de bateau dérivé principalement de la conception commerciale de bateaux à homard Downeast du nord-est américain.
Double console: Un bateau avec deux tableaux de bord séparés par une passerelle qui permet d’accéder à un cockpit avant ou à un coin salon. Vous pouvez avoir une idée de ce que sont ces bateaux en lisant notre fonctionnalité Bateaux à double console: le bon, le mauvais et le laid.
Bateau express: Un bateau à moteur élégant avec un poste de pilotage au niveau du pont, pas de pont volant et une cabine en avant et en dessous du poste de barre. Les gens sur le marché d’un croiseur express seraient avisés de parcourir notre article Choisir le croiseur express parfait pour plus d’informations.
Flats Boat: Un skiff motorisé conçu avec un tirant d’eau extrêmement peu profond pour la pêche dans les appartements et autres zones peu profondes.
Bateau maison: Tout comme son nom l’indique; ce sont des bateaux qui ont un grand logement comme à la maison construit sur une coque de barge.
Bateau gonflable: Tout bateau avec des sponsors gonflables et un fond flexible. En savoir plus sur ces embarcations utilitaires en lisant notre article sur le choix du bateau gonflable parfait.
Jon Boat: Petit bateau utilitaire à fond plat, généralement en aluminium. Nous avons passé en revue une série complète de jon boats dans notre revue vidéo Frontier Series.
Bateau multi-espèces: Un bateau à double console ouvert et robuste avec un cockpit utilitaire conçu principalement pour la pêche des lacs et des rivières. La plupart sont construits en aluminium.
Motomarine: Petite motomarine ouverte à propulsion par jet pouvant accueillir de une à trois personnes. Souvent abrégé en «PWC».
Bateau ponton: Un bateau à pont plat avec une clôture périmétrique construite au-dessus de deux pontons ou plus. Découvrez tout sur ces plates-formes de fête en lisant les bases du bateau ponton.
Bateau à coque gonflable rigide: Un bateau gonflable avec des sponsors construits autour d’une coque rigide en fibre de verre ou en aluminium. Aussi connu sous le nom de «RIBs».
Courir: Un terme générique utilisé pour tout petit bateau à moteur, généralement destiné à la navigation de jour avec un hébergement sous-pont limité (le cas échéant).
Voilier: Tout bateau conduit par des voiles.
Sloop: Un voilier avec un mât, un foc et une grand-voile. Le type de voilier le plus courant.
Yacht Sportfish: Généralement, un grand bateau de pêche hauturière avec un cockpit arrière expansif, des ponts latéraux étroits, un pont avant généreux et un flybridge qui se trouve au-dessus d’un salon principal spacieux.
Bateau de remorquage: Un bateau conçu et construit dans le but de remorquer des personnes qui aiment les sports nautiques comme le wakeboard, le wake surf ou le ski nautique. Souvent, ce sont aussi appelés bateaux de sports nautiques.
Chalutier: Un bateau à moteur récréatif robuste et de longue distance conçu pour la croisière qui ressemble à des chalutiers de pêche commerciale.
Trimaran: Tout bateau à trois coques.
Se promener: Un bateau de pêche construit avec des ponts latéraux qui permet aux pêcheurs de se promener dans la cabane et jusqu’à un pont avant.
Si quelqu’un vous demandait: «Pouvez-vous chercher dans le casier de rangement arrière une trousse de premiers soins» sauriez-vous où chercher? Sinon, les termes nautiques de base suivants qui s’appliquent à la direction, à l’emplacement et à la vitesse peuvent vous être utiles.
S’agit-il d’une cabine avant ou est-ce à l’arrière? Découvrons-le.
En haut: Au-dessus du pont, généralement dans le gréement. « Harry est allé en haut pour réparer l’antenne VHF. »
Un faisceau: A côté ou à angle droit de l’axe d’un bateau. «La police maritime a amené son bateau de patrouille juste à côté de nous.»
À l’arrière: Vers la poupe du bateau, ou plus près de la poupe qu’un autre élément référencé. « La chaise du capitaine est juste à l’arrière du poste de barre. »
Au milieu du navire: La partie centrale du bateau. « Gardons tout l’équipage au milieu du navire pour mieux équilibrer le bateau. »
Vers l’avant: Vers la proue du bateau, ou plus près de la proue qu’un autre élément référencé. « Les sièges avant sont juste en avant du poste de barre. »
Noeuds: Terme utilisé pour décrire la vitesse à laquelle un navire se déplace en milles marins par heure. Un mille marin équivaut à 1,15 mille terrestre. «Nous naviguions à 20 nœuds, ce qui représente 23 mi / h.»
Port: Le côté gauche d’un bateau face à l’avant. « Le casier de vitesse est du côté bâbord du cockpit arrière. »
Tribord: Le côté droit d’un bateau face à l’avant. «L’hameçon est sous le plat-bord côté tribord.
Amarrer un bateau est une compétence importante que tous les plaisanciers doivent apprendre. Si vous êtes nouveau dans la navigation de plaisance et que vous ne connaissez pas une ligne de printemps à partir d’une ligne de poupe, vous devriez lire Conseils sur la navigation de plaisance: conseils pour un amarrage plus facile, cinq catastrophes d’amarrage: ne laissez pas cela vous arriver !, et attacher des bateaux: Bases d’amarrage. En attendant, vous pouvez parcourir les termes d’amarrage de base que nous avons définis ci-dessous.
Ligne d’arc: Des amarres fixées à la proue d’un bateau qui limitent son mouvement.
Taquet: Un raccord en métal ou en plastique utilisé pour fixer solidement une ligne.
Dock: Passerelle plate généralement fixée aux pilotis auxquels les bateaux sont attachés. Les quais peuvent être fixes ou flottants.
Dock Line: Une ligne en nylon tressé ou à trois brins conçue pour fixer un bateau le long d’une cloison, à un quai, dans une cale ou à un autre bateau.
Aile: Un coussin gonflable utilisé pour protéger un bateau contre le contact contre les pilotis, les quais, les jetées, les cloisons ou d’autres bateaux.
Jetée: Une passerelle plate et élancée qui se ramifie à partir d’un quai et divise deux glissades.
Amarrage: Ce mot se réfère à de multiples formes d’attacher un bateau. Vous pouvez appeler un flotteur ancré en permanence avec un point d’attache un mouillage; vous pouvez appeler une ligne d’amarrage une ligne d’amarrage, et lorsque votre bateau est amarré dans sa cale, vous pouvez dire qu’il est amarré.
Empilage: Un long morceau cylindrique de bois ou de métal enfoncé dans le fond qui est utilisé pour fixer les quais en place ou auxquels les bateaux peuvent être attachés.
Spring Line: Lignes de quai utilisées pour empêcher un bateau d’avancer et de reculer.
Ligne Stern: Ligne de quai solidaire de la poupe d’un bateau qui limite ses mouvements.
Mis à jour 27/09/2024 à 22:19 GMT+2
Caroline Garcia.
Crédit: Getty Images
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La construction navale occidentale traditionnelle fait la part belle depuis des siècles aux monocoques, un terme probablement anachronique pour parler de navires anciens, la question du nombre de coques étant alors absente. Mais les expéditions successives ont permis aux explorateurs d'ouvrir le champ des connaissances en découvrant de nouvelles formes de bateaux. C'est probablement de l'un de ses voyages qu'est venue l'idée à William Petty de concevoir le premier catamaran , qu'il ne nomme alors pas ainsi, au début des années 1660.
Le terme apparaît pour la première fois, en anglais, dans le livre de William Dampier, Voyages aux Terres Australes, à la Nouvelle Hollande, sous la forme de catamaran . Il décrit ainsi les bateaux : "Sur la côte de Coromandel, on les appelle catamarans. Il s'agit d'un ou deux rondins, parfois d'un bois léger […] si petit, qu'il ne transporte qu'un homme dont les jambes et le fondement sont toujours dans l'eau."
En français, on trouvera, pour commencer, les formes catamaron, catimaron et cantimaron, avant que la forme anglaise ne prenne le pas. William Dampier décrit une forme de radeaux observée en Nouvelle Hollande et autour du golfe du Bengale, qui pourrait s'apparenter à des multicoques rudimentaires. Le terme vient de la langue tamoule kattumaram, composé des racines katta, qui signifie lier et maram, ayant pour sens bois.
Si l'on s'en tient à l'interprétation littérale, le nombre de coques compte peu. Un bateau avec une coque principale et deux flotteurs serait donc également un catamaran . Et pourtant, lorsque le trimaran , inspiré des traditions polynésiennes, se développe en occident, il faut lui trouver un nom. C'est un barbarisme issu du mot catamaran qui prend le dessus, en remplaçant cata par tri, le préfixe signifiant trois. Attesté en 1952 en français et 1949 en anglais, il est au départ condamné par quelques figures comme Jean Merrien. Le terme est aujourd'hui incontesté.
D'autres néologismes ont vu le jour depuis, suivant le cours des inventions des architectes navals, avec l'arrivée de quadrimarans à quatre coques ou de pentamarans à 5 coques.
A l'heure où le multicoque prend tant de place dans le nautisme, il était temps de rendre hommage à l'héritage des Tamouls dans la plaisance !
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OFF 'C 'EL CATAMARAN TROUVE LES MOTS POUR FÊDÉRAt oile
Vocabulaire nautique, le vrai parler marin. © Chloé Torterat. Il est un monde bien particulier que celui du vocabulaire maritime. En effet, les marins ont un langage bien à eux qui échappent totalement aux novices. Apprenez les bons termes pour ne plus vous tromper. On ne dit pas….
Mers&Bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. Retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance. Connaitre le vocabulaire marin est indispensable.
Voici un florilège des mots et expressions marines les plus utiles. Alpha : J'ai un plongeur ou un scaphandrier à la mer. Tenez-vous à l'écart et avancez lentement. Amarrer : retenir le bateau avec une amarre (cordage ou un câble qui permet de relier le navire à un ponton fixe).
Débutons avec quelques éléments que vous retrouverez sur la plupart des voiliers. Barre. Elle peut être à roue (comme un volant, c'est le cas sur la photo) ou franche (comme une barre qu'on tire ou pousse).
Cette page liste les principaux termes techniques utilisés sur un voilier. (source : Wikipedia) Tout. A. B. C. D. E. F. G. H. J. L. M. P. Q. R. S. T. V. W. A. Manœuvrer le voilier de manière à éloigner son nez de l'axe du vent. ABATTRE. Action de descendre une voile. On dit aussi "amener" une voile. AFFALER. Angle d'un bateau par rapport au vent.
Ce glossaire de la navigation à voile liste les principaux termes techniques utilisés pour la manœuvre et l'utilisation d'un voilier. Les différents types de voiles sont décrits, avec des illustrations, dans l'article : Voile. Pour les termes non spécifiques à la voile : voir l'article glossaire maritime et les expressions de ...
Les marins ont de belles expressions pour expliquer les choses de la vie. En débarquant, ils emportent avec eux à terre quelques-unes de ces maximes maritimes. Bien compréhensibles pour les navigateurs, elles sont aujourd'hui passées dans le langage courant des terriens. En voici quelques-unes expliquées.
Le mot « catamaran » provient de « kattuamaran » issu de la langue tamoule (« katta » qui signifie « lien » et « maram » pour « bois »). Ce type d'embarcation est commun dans de nombreuses parties du monde, en particulier dans le Pacifique.
aft-cabine : cabine occupant l'arrière et toute la largeur d'un bateau du type vedette par exemple. aiguillot : partie de la ferrure du gouvernail. allure : angle d'un bateau par rapport au vent. amener : affaler, abaisser une voile ou un pavillon de signalisation.
Notre liste complète de dictons et de phrases sur la marine. Un coup de semonce : un coup de semonce, qu'il soit littéral, symbolique ou métaphorique. Historique : Ce terme maritime désigne le fait de tirer un coup de canon sur la proue d'un navire adverse pour indiquer qu'il est prêt à combattre.
On utilisera tout simplement les touches « + 10° » et « - 10° » de la commande du pilote… En partant du principe qu'on a de l'eau à courir, c'est-à-dire pas d'obstacle, ni en surface ni juste en dessous ! Envoyer la grand voile.
Capitaine, Captain, master, skipper - Dans la marine marchande, officier apte à diriger un navire et à commander l'équipage, titulaire d'un brevet. A la pêche on dit plutôt patron. A bord d'un yacht, le patron, ou skipper, est la personne responsable du bateau, et de sa conduite.
Orangemarine vous propose ce guide afin de découvrir tout le vocabulaire du bateau. Plus de 100 mots et toutes les illustrations !
Voler : Dans le contexte du foiling, voler signifie naviguer avec le bateau hors de l'eau, soutenu par les foils. Les catamarans, avec leur conception unique à deux coques, ont leur propre lexique. Coque : La coque est la partie du bateau qui flotte sur l'eau.
Mers&Bateaux vous propose un dictionnaire de la voile et des bateaux, sous forme de lexique des mots et expressions maritimes. Retrouvez toutes le vocabulaire marin, les notions et termes de la plaisance. Connaitre le vocabulaire marin est indispensable.
Peut-être que les termes les plus importants que vous pouvez connaître en tant que plaisancier sont les mots qui identifient les nombreuses pièces et pièces différentes qui composent un bateau.
Caroline Garcia aurait juste pu annoncer la fin de sa saison ce vendredi mais la numéro un française a choisi de le faire en vidant son sac.
Le catamaran, en croisière, c'est plus d'autonomie en eau et en carburant, plus d'énergie, plus de confort, un meilleur accès à l'annexe et donc plus de mobilité… Mais il y a aussi les « moins » : moins de promiscuité, pas de gîte, mois besoin d'escales au port, et donc moins de manœuvres de port ! Un bilan subjectif ? Sans doute.
OFF 'C' EL L'OPTIMIST TROUVE LES MOTS POUR LE Ecole François devoile. PART ENA 'RE. oile.
Les mots catamaran et trimaran sont ancrés dans le vocabulaire nautique. Mais pourquoi utiliser ces termes pour les multicoques, que l'on aurait logiquement pu appeler bicoque ou tricoque ? Explications par un peu d'histoire et d'étymologie.
Catamaran - Nom commun (Navigation) Embarcation dotée de deux coques parallèles, conçue pour la navigation. Dans toute l'histoire de la navigation, le catamaran est sans doute l'embarcation qui réalise les transformations les plus radicales et, sous sa forme moderne, les plus récentes. — René Marie de La Poix de ...
Vous pouvez cliquer sur n'importe quel mot pour naviguer dans le dictionnaire. Définition de CATAMARAN : Radeau des indigènes de l'océan Indien, constitué de plusieurs troncs de cocotier, et manœuvré à la voile ou à la pagaie.