trimaran ultime sodebo

• www.sodebo.com

Direction d'où provient le vent par rapport à un bateau à voile, ex : Près, travers, reaching, vent arrière...

Désigne le côté gauche d'un bateau lorsque l'on regarde vers l'avant de celui-ci

Elément de gréement long accroché perpendiculairement au mât et sur lequel sont fixés la base de la grande voile, les écoutes...

Désigne deux pièces transversales rattachées à la coque centrale qui soutiennent les flotteurs latéraux du trimaran. Pièces légères mais robustes car sont soumises à de fortes pressions, notamment lorsque les flotteurs sont secoués par les vagues.

Zone du bateau dédiée à la navigation où se trouve la barre (direction), les postes de réglages de voiles...

Structure qui supporte le cockpit*, le mât et les voiles hissées ainsi que les bras de liaison qui eux-mêmes portent les flotteurs latéraux. Abrite aussi la cellule la vie où notre skipper dort, mange et travaille sa stratégie en contact avec la terre via ordinateurs. Par sa position structurelle et sa taille imposante, une des pièces les plus longues à réaliser.

Pose de couches successives de matière (type fibres en rouleaux...) pour épouser la forme d'un moule

Enfoncer l'avant du bateau sous l'eau dans un mouvement de plongeon

Câble qui maintient le mât par l'avant

Partie avant du bateau

Désigne les deux pièces latérales qui assurent la stabilité du bateau et sur lesquels sont fixés des safrans*, les foils et les éléments qui portent le gréement (mât)... .

Unité de mesure de vitesse utilisée en navigation maritime. 1 nœud (ou nd) = 1,852 km/heure

Objet flottant non identifié

Surface parallèle à l'eau qui réduit la portance généralement imposé à la coque / aux flotteurs

Rail fixé sur le bateau et dans lequel coulisse le point d'accroche de la grand-voile qui permet de régler son ouverture en fonction de la provenance du vent

Réduction de la surface d’une voile grâce à des points d'accroche à différentes hauteurs qui permettent de la replier sur elle-même. S'utilise notamment lorsque les conditions de vent forcisse, pour garder la maîtrise de la vitesse du bateau.

Partie immergée pivotante qui permet de changer la direction du bateau en déviant les flux d'eau sous la coque

Titre d'une chanson de Céline Dion et Garou :-)... Dans le champs lexical maritime, s'utilise pour situer un objet qui se trouve du côté opposé à celui d'où souffle le vent par rapport à un autre référentiel. Par exemple, si le vent arrive sur tribord, on dit que le flotteur tribord est « au vent » et le flotteur bâbord « sous le vent » par rapport à la coque centrale du bateau.

Hauteur de la partie immergée du bateau qui varie en fonction de la charge transportée

Hauteur de la partie émergée allant de la flottaison jusqu'au point le plus élevé du bateau

Désigne le côté droit d'un bateau lorsque l'on regarde vers l'avant de celui-ci

Bateau à trois coques

Collectif définissant les règles de jauge des trimarans « Ultim », notamment la longueur (comprise entre 24 et 32 mètres) et la largeur (maximum de 23 mètres)

Vague formée à l'avant du bateau lorsque celui fend l'eau en avançant

Entreprise spécialisées dans la fabrication de voiles

Type de treuil permettant de contrôler la traction des cordages du bateau

Zone d'efforts subits par une structure entre des pièces rattachées en différents points et suite aux chocs reçus par ces pièces

• A-z lexique

S odebo Ultim 3

Bienvenue dans les coulisses du team Sodebo et de son trimaran géant! Partagez avec nous cette aventure humaine et technologique hors norme

La coque centrale

"La silhouette de Sodebo Ultim 3 est unique. Le skipper est vraiment au centre du bateau"

Les bras de liaison

"Avec la cellule de vie située sur l'avant du bateau, nous avons fait le choix d'une structure en H. Découvrez de quoi il s'agit"

Les flotteurs

"A la construction,nous avons utilisé les moules d'un Ultim déjà existant, mais les avons fait évoluer au fil des chantiers, et notamment raccourcis pour installer des safrans rétractables"

Les appendices

"Les appendices sont des pièces en constante évolution car ils peuvent vraiment faire la différence en terme de performance, ils peuvent toujours être optimisés"

Le mât & les voiles

"Les voiles sont le moteur du bateau : parce qu'elles doivent être adaptées à toutes les conditions de vent, nous en avons fait fabriquer cinq, de 92 à 420m2"

Longueur de la coque centrale

Depuis le 07 janvier Débâchage de la Coque Centrale Peintures faites Anti dérapant fait Panneau éléctronique mis en place Début de la pose des plexis

Depuis le 28 janvier Fermeture trappe pont de la coque centrale cette semaine Première presentation de la bâche aéro Montage définitif des winches, accastillage, hydraulique

Depuis le 20 février Retouches peinture terminées Montage accastillage plage avant (amures) Stickage en cours Antifooling réalisé

Superficie de la cellule de vie

Depuis le 07 janvier Peintures faites Anti dérapant fait Début montage accastillage

Depuis le 28 janvier Pose des hublots Réception des plans d'amménagement intérieur

Depuis le 20 février Retouches peinture terminées Montage des bailles à boots en cours Aménagement intérieur en cours Accastillage et hydrauloque en cours de finalisation

Largeur du bateau

Depuis le 07 janvier Support éolienne en cours Supports de feux en cours

Depuis le 28 janvier Support éolienne à poste Démontage du rail de traveler pour finition stickage

Depuis le 20 février Support de jon buoy en cours Supports de feux posés Montage final accastillage traveler en cours Montage définitif du système de barre

Depuis le 07 janvier Début renforcement

Depuis le 28 janvier Strat de fermeture des renfort Début des retouches peintures

Depuis le 20 février Jauge fibre optique posée Retouche peinture en cours Montage bâche aéro inférieure en cours

de hauteur totale

Depuis le 28 janvier Contrôle ultra son état 0 fait Présentation à blanc de la belt sur le foil OK

Depuis le 20 février Les deux foils sont en place dans leurs flotteurs respectifs Reste à poser les butées hautes et basses

Hauteur du mât

Depuis le 28 janvier Mât entré dans le hangar Réalisation des supports composite

Depuis le 20 février Fin du câblage éléc et électronique Montage du gréement courant Montage des supports aériens

en position haute

Depuis le 28 janvier Montage des boîtiers de lattes Mise en place des lattes

Voile la plus grande

Depuis le 28 janvier J2 terminé J1 en cours de déco J0 terminé

Yachting World

• Digital Edition

Trying to break the 40-day barrier: Thomas Coville and the most radical Ultime yet

• Helen Fretter
• March 8, 2019

Thomas Coville recently unveiled the newest, and possibly most radical, Ultime design yet - we found out more about the unique boat and its extraordinary skipper

Thomas Coville spent nearly a decade of his life pursuing the solo around the world record, finally smashing it on Christmas Day 2016 , when he sailed back into Brest having completed his circumnavigation in 49d 3h 7m 38s.

Coville had demolished Francis Joyon’s record of 57 days, which had stood since 2008. But record chasing is a cruel sport and Coville’s hard-fought accolade of being the fastest man around the world was snatched out of his hands within the year, when Francois Gabart raised the bar to an incredible 42 days, 16 hours, 40 minutes and 35 seconds in December 2017.

Photo Yvan Zedda

Having achieved the one thing that had dominated his entire life since his first aborted attempt in 2008, you might think Coville would have allowed himself a moment of quiet satisfaction. Actually, he says, it was the opposite.

“When I arrived in 49 days, as an athlete, the thing which was in my mind is that I wanted to achieve something else, because I wanted to kill the idea that I’ve done it by luck.”

After victory, he says, the most difficult thing is to win again. To prove (and it’s not clear who he’s trying to prove anything to, but one suspects mostly to himself) that there was not one iota of fluke in what he had just achieved.

“So six months later we launched the boat back in the water and I went to New York to beat that bloody record, crossing the north Atlantic in 4 days and 11 hours.

“And then I could release,” he breathes out deeply in recollection. “Yes! It was not only by luck!”

The Atlantic record was also a foretaste of the kind of speeds to come. He crossed from Ambrose Light, New York to Lizard Point, UK in a breath-taking 4 days and 11h, sailing at an inhuman average speed of 28.35 knots over 3039 miles.

Sustaining speeds of 30-plus knots is the parallel universe in which solo record sailors now reside. Gabart’s record was sailed at an average pace of 27.2 knots over six weeks.

Coville’s new Ultime is designed, like all the trimarans in this space-race class, to push the boundaries of what is possible yet further. And to achieve this, Coville took a unique approach.

Thomas Coville is not just a remarkably skilled and motivated sailor. Besides being erudite, witty and multilingual, he comes across as boundlessly curious about everything and everyone he meets. When it came to designing his new Ultime, he embraced that open curiosity and decided to have a yacht designed – literally – by committee.

“When I came back from my last round the world trip I went to my team and I said, if we want to build a new boat tomorrow, it won’t be made by only one architect, it’s too complicated. The future is, for me, collaborative.

“It’s going to be with that new generation of architects, and we’re going to find some solutions from cars, from planes, from Austria, Switzerland, New Zealand.

“So it’s open thinking, very collaborative – and we’re going to probably going to break some rules about the French way of thinking, the French way of naval architecture, but this is the only way if you want to make big process,” he tells me.

The design team is clearly impressive  – besides long-term members of Coville’s team, like his technical director Elie Canivenc, weather router Jean-Luc Nelias, and Jean-Matthieu Bourgeon, who was in charge of R&D on the innovative Hydroptère, it also included the talented VPLP team, who designed the floats and forward beam, and Martin Fischer, the German designer of the GC32 catamaran, who created the foils.

The build was equally spread out – the central hull, floats and cockpit made by Multiplast, the front beam by CDK, the foils and rear beam by Persico in Italy.

The design group included talent from Ben Ainslie Racing, Oracle, and Luna Rossa America’s Cup teams. “It was quite funny because they’ve been working against each other for so many years and suddenly they’re on the same design team. They were looking at each other like cats and dogs!” Coville recalls.

Latest renderings showing the low boom and forward cockpit (the design was kept top secret until it’s unveiling this week)

But they also brought in expertise from motorsport and aviation, and adopted a policy that no idea was too crazy to consider.

The game change came when they looked into moving the heaviest part of the structure, the companionway and cuddy, radically far forward (it’s an idea Coville says came from discussions about a Porsche victory in the Le Mans 24-Hour Race victory, which was partly due to a decision to move the engine and shift the car’s centre of gravity).

Coville says the central pod weight amounted to 25% of the weight of the hull, and they have shifted it to forward of the mast, nearly over the centre of gravity of the boat. The effect of this is that it lowers the centre of effort down some 2 metres and reduces pitching moment.

The radical move ended much of the battle to save weight aloft. “You can’t imagine how much money we are ready to spend to move the gravity centre of a new boat like this down just 1cm. it’s more than €10,000 per kilo,” he points out.

The other knock-on effect is that it allows the boom to drop to almost flush with the deck, which radically changes the aerodynamic efficiency of the sail. Coville estimates that it reduces airflow disturbance and increases the efficiency of the whole sail area by some 20%. The rig height can also be reduced.

“And then – today we’ve got T-rudders to put the boat [back] on its nose because the foils, most of the time, are pushing too much,” he adds. “Suddenly, you align all of these [forces] and you don’t need to have such big rudders, so you reduce also the drag on the water.

“So everything, by one change, makes the spirals suddenly better.”

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Video: Sodebo Ultim smashes round-the-world solo sailing record

The 31 metre trimaran Sodebo _ Ultim_  has smashed the record for a single-handed circumnavigation with French sailor Thomas Coville at the helm.

Sodebo Ultim arrived into Brest on December 26 to complete the voyage in 49 days, 3 hours, 7 minutes and 38 seconds, shaving more than eight days off Francis Joyon’s record, which had stood for eight years.

This incredible achievement required Coville to sail across more than 28,000 nautical miles of open ocean on the bare minimum of sleep. Speaking after his arrival, the 48-year-old told Le Parisien : “Mentally I had my highs and my lows but I knew where I wanted to get to. Physically I could not have gone much further.”

Launched by Multiplast in 2001 as Geronimo , Sodebo Ultim  is a former Jules Verne record holder. She was refitted in 2013 in collaboration with VPLP Design and now sports a full set of 3DI and NPL sails by North, which gave Coville a wide range of options for dealing with the varied conditions that he faced on his solo circumnavigation.

Sail designer Gautier Sergent worked in collaboration with sail coordinator, Loic Le Mignon and North Sails expert, Quentin Ponroy to design this flexible set-up.

Coville had made five previous attempts before breaking the record, and his 49-day solo circumnavigation now ranks as the fifth fastest round-the-world voyage by any sailing boat.

“Sailing these boats is tough, they are unforgiving,” he added. “If you lose your concentration for two minutes, the boat will take over, and you risk breaking equipment in what quickly spirals into life-threatening situations. You can not back off and 49 days of intense sailing is a long time to maintain your mental focus and physical strength.”

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